Cass 1ere Civ Arret 8 Octobre 2009

 BESSON.     -­‐‑ «  Le  droit  commercial  international  »  -­‐‑  MONJU/BESSON  (dernière  partie).  (faire  des   photocopies)   -­‐‑ «  Droit  du  commerce  International  »  Précis  Dalloz.     -­‐‑ CPC   -­‐‑ Revue  de  l’arbitrage       11  Octobre  2012     On   va   traiter   une   seule   partie   qui   est   l’arbitrage   commercial   international.   C’est   une   matière   importante   car   l’arbitrage   est   devenu   de   très   loin   le   mode   normal   du   règlement   des   litiges

................ 8 Chapitre premier : La prévention des difficultés des entreprises. ..................................................................................... 8 Section 1 : L’appréhension de la difficulté des entreprises. .................................................................................... 8 Paragraphe 1 : Les mesures d’information............................................................................................................. 8 Paragraphe 2 :

des professionnels des exceptions. A l’égard des consommateurs il y a aussi une interdiction générale du refus de vente. Article L 122-1 du code de la consommation admet qu’un motif légitime puisse justifier un refus de vente. Exemple ; arrêt du 21 octobre 1998, la chambre criminelle n’a pas admis que des pharmaciens refusaient de vendre des contraceptifs alors même que les pharmaciens ne disposaient pas de stock de ces contraceptifs pour des raisons éthiques et médicales. * Deuxième série

étranger ou une administration étrangère. L’interlocuteur, ici, est donc un organe public étranger, et non un particulier. Conflits de juridiction : ils comportent 2 aspects : ➢ l’identification du tribunal compétent pour trancher un litige en 1ère main. (le demandeur suit le tribunal du défendeur normalement, mais il peut y avoir un problème de compétence directe) ➢ compétence indirecte hypothèse où le tribunal ou juge étranger a rendu sa décision, et on va se demander comment la mettre

Alors une remise en ordre , un toilettage, s'impose, mieux, il est imminent de s'y atteler. Ainsi, pour louable qu'elle soit, la prise en compte du sort des victimes ne doit pas permettre une remise en cause constante du droit de responsabilité. Un arrêt très récent, en l'occurrence l'arrêt Perruche rendu par l'assemblée plénière de la cour de cassation 17 nov 2000 , a frisé l'intolérable, a franchi l'infranchissable, pire il a provoqué un séisme dans le droit de la responsabilité en reconnaissant

avocat mais sans supprimer totalement cette possibilité. B- Les principes supralégislatifs de droit international. Une différence doit être établie entre les principes du droit européen et les principes du Conseil constitutionnel. L’article 8 de la convention européenne de sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales relatif au respect de la vie privée peut subir certaines exceptions à conditions qu’elles soient précises, nécessaires et proportionnées au but à atteindre

le secret de son identité (accouchement sous X). le lien de filiation est un lien de droit, c'est un lien juridique. 2°) LE STATUT DE L'EMBRYON ET DU FOETUS : puisque la personnalité est acquise à la naissance l'embryon (appelé comme cela jusqu'à 8 semaines de grossesse) ni le fœtus ne sont dotés de la personnalité juridique. Le comité d'éthique a décidé qu'il s'agissait de personnes humaines potentielles mais ce ne sont pas des personnes. L'IVG est légal et ce n'est ni un meurtre ni un assassinat

créancier pouvait invoquer la responsabilité délictuelle de son débiteur il y aurait entorse à la loi contractuelle et en particulier à la prévision des parties. C'est pourquoi la jurisprudence a posé le principe du non cumul ( civile, 11 janvier 1922, doc 8 fiche 1 ). a) Les conditions - L'existence d'une relation contractuelle entre les intéressés. En principe, le non cumul ne reçoit application que dans les rapports entre contractants (commerciale, 9 juillet 2202 ) - Le manquement à une obligation

elle entend la recycler en réductions de prix. L’enseigne en question explique cette suppression par les litiges mettant en cause la réalité ou le formalisme de la coopération. De même, Michel Édouard Leclerc a indiqué lors du colloque LSA du 4 octobre 2011 sur les négociations commerciales qu’il poserait comme préalable à toute négociation un engagement du fournisseur de défendre en justice le contrat conclu en cas d’action de la DGCCRF pour déséquilibre significatif. Alors que la plupart des

aux dispositions législatives et statutaires non conformes au code CIMA, ne peuvent recevoir application. Et seules doivent être mises en harmonie avec l’AUDSCGIE les dispositions pour lesquelles le code CIMA n’a pas légiféré ». A la lumière de cet arrêt, il ressort que, bien que l’entreprise d’assurance SNAR-LEYMA soit d’abord une société commerciale, il n’en demeure pas moins qu’elle est particulière parce qu’évoluant dans le domaine des assurances et qu’en vertu de l’article 916, elle est assujettie