Cass Com 2 Juillet 1996

plus sensibilisée à la technique pénale, a répondu positivement (Cass. com. 29 avril 1997 n°1068 PB, Ferreira), tandis que le Conseil d’Etat adoptait la réponse inverse (Avis CE du 5 avril 1996 n°17611, Sect.,Houdmond : RJF 5/96 n°607). Le Conseil d’Etat n’a pas souhaité s’emparer d’un pouvoir de modulation que le législateur français ne lui avait pas conféré, alors que la jurisprudence de la CEDH ne lui semblait pas l’exiger. 2) Ceci étant, compte tenu des incertitudes de la jurisprudence de la

Généralités, 1-35. ART. 1. – NOTION, 1-3. ART. 2. – ENJEUX, 4-15. § 1. – Arguments favorables à la présence des parties civiles, 5-9. § 2. – Arguments hostiles à la présence des parties civiles, 10-15. ART. 3. – CONCEPTIONS ENVISAGEABLES, § 2. – Compétence matérielle, 68-76. ART. 4. – EXCEPTION D’IRRECEVABILITÉ, 77-87. § 1. – Conditions de l’exception d’irrecevabilité, 79-82. § 2. – Mise en œuvre de l’exception d’irrecevabilité, 83-87. SECT. 2. – Modalités de l’accès à la qualité de partie

particulièrement, avec le développement de l'assurance vie; et, pour l'essentiel, c'est la loi du 13 juillet 193033(*), qui a démontré cette réalisation remarquable de la jurisprudence. Ainsi, concernant les effets de la stipulation pour autrui, nous allons déterminer les rapports entre le promettant et le tiers bénéficiaire (section 1) et les rapports entre le stipulant et le promettant (section 2). SECTION 1 : LES RAPPORTS ENTRE LE PROMETTANT ET LE TIERS BENEFICIAIRELe tiers bénéficiaire est considéré

Je veux réussir mon droit, A. Colin, dernière éd. M.-A. FRISON-ROCHE, Introduction générale au droit, Dalloz, Travaux dirigés, dernière éd. Th. GARE, Annales Introduction au droit et droit civil, Dalloz, dernière éd. - Ouvrages d’approfondissement 2 J.-M. CARBASSE, Manuel d’introduction historique au droit, PUF, dernière éd. J. GHESTIN, G. GOUBEAUX et M. FABRE-MAIGNAN, Traité de droit civil. Introduction générale, LGDJ, dernière éd. Ph. JESTAZ, Le droit, Dalloz, Connaissance du droit, dernière

pragmatiquement, à partir des fonctions spécifiques que les clauses contractuelles sont susceptibles de remplir. Après avoir analysé les fonctions des clauses contractuelles (Section 1), quelques principes communs à leur efficacité seront dégagés (Section 2). Section I. Les fonctions des clauses contractuelles  Lorsqu’on appréhende les clauses contractuelles sous un angle fonctionnel, on constate que les fonctions qu’elles remplissent sont essentiellement de deux ordres. Leur première fonction est

Distinction des contrats d'affrètement et de transport. 9 section 2 Le contrat de tonnage. 15 chapitre 2 Les autres normes juridiques applicables aux contrats de transports maritimes. .......................................................................................................................................23 section 1 Les normes concurrentes. 23 section 2 La détermination de la loi applicable. 30 titre 2 Les contrats de transport exclus du champ d'application des règles

90, le niveau global des aides d’Etat était d’environ 100 milliards d’euros par an dans la Communauté. Depuis 1999, il est passé sous la barre des 90 milliards d’euros par an. ( voir le neuvième rapport de la commission sur les aides d’Etat du 18 juillet 2001 )    Or on sait que le traité de Rome ne permet pas le libre octroi d’aides à l’économie. Ses articles 87 et 88, qui font partie intégrante du chapitre sur la politique de concurrence, instituent un principe d’interdiction des aides d’Etat, principe

aux contrats du commerce international, ce sont les principes UNIDROIT. Qui s’appliquent sur décision des parties, mais les juges peuvent aussi s’en servir pour interpréter, c’est un outil pour le juge aussi. Au niveau européen, on a vu apparaitre 2 projets : • Le premier, les principes LANDO, officiellement « principes du droit européen des contrats ». Du nom de l’universitaire qui y a travaillé… • Second projet parallèle, projet de Code Européen des Contrats, élaboré par un groupe de réflexion

outre démontrer le défaut de soins diligents et raisonnables, c'est-à-dire la faute du débiteur. Corrélativement, la preuve par le débiteur d'une cause étrangère n'est pas exigée car sa bonne foi est déjà un obstacle au principe de sa responsabilité. 2) Intérêt de la distinction des obligations de moyens et de résultat La responsabilité est ainsi objective ou sans faute lorsque le débiteur s'est engagé à une obligation de résultat. Elle est en effet fondée sur le défaut objectif du but promis indépendamment

Section 2 : Recommandations générales Vu les différentes analyses portées sur cette étude, des recommandations pour la population (Paragraphe 1), ainsi que pour les institutions chargées de la Propriété Intellectuelle doivent être proposées pour l'amélioration des activités de sensibilisation et d'information au Sénégal (Paragraphe 2) Paragraphe 1 : Recommandation pour la population Deux recommandations sont à faire : D'abord, la population sénégalaise est une population très fermée. Ainsi,