Cass Com 2 Juillet 1996

 DROIT DES OBLIGATION 2 : RESPONSABILITE CIVILE & DELICTUELLE 12/01/15 le 12/01/2015 +participation orale BASE : 1. le cours 2. Bibliographie : TERRER TESSYER (droit des obligations -précis Dalloz) G VINY & Patrice JOURDAIN ( droit de la responsabilité civile) RGDI Philippe BRUN la responsabilité civile extra-contractuelle Lexis nexis SAVAUX FLOUR AUBERT la responsabilité

économique .La finalité de cette loi est de protéger l’entrepreneur individuel cela peut être un commerçant ou non. On a donc tendance à globaliser ce qui n’est pas original car dans certains pays (Italie, Suisse,) il n’y a pas de droit commercial. §2 La frontière entre droit commercial et droit des affaires Pourquoi parler d’un droit des affaires ? Selon certains c’est parce que le droit commercial serait trop étroit pour faire face à tous les problème de la vie économique. Ex : La fusion

RESPONSABILITE CIVILE 9 CHAPITRE 1 : LES OBLIGATIONS DU BANQUIER A L'EGARD DU CLIENT . 11 Section1. L'appréciation de l'opportunité du crédit 11 Section 2 : La surveillance des fonds prêtés 22 CHAPITRE 2 : LES OBLIGATIONS DU BANQUIER A L'EGARD DES TIERS. 28 Section 1 : Les conditions objectives du soutien abusif 29 Section 2 : Les conditions subjectives du soutien abusif: La connaissance de la situation de l'entreprise 34 DEUXIEME PARTIE : UNE RESPONSABILITE DU BANQUIER EMPRUNTANT

exemple de contrat aléatoire. Mais attention le législateur se trompe ce n'est pas un contrat aléatoire car l'assureur ne spécule pas sur le risque, il gère le risque. ( dans un contrat aléatoire il y a une même chance de gain et de perte pour les 2 parties) il faudra attendre une loi de 1930 pour que le contrat d'assurance soit règlementé de manière générale. Entre 1786 et 1930, la relation entre l'assureur et l'assuré n'est pas règlementée. Pendant plus d'un siècle les assureurs français

Le dt commercial est difficile à définir car il se limite par l’étude du phénomène commercial au sens que ce terme à ds le langage courant. Le dt commer ne régit pas toutes les acté écoq (exple : agricult, prof° libérale, le dt de la distrib°, indus). Définir le dt commer est d’autant plus difficile depuis l’appar° du concept de dt des aff. Le dt commer peut ê définit comme la partie du dt privé relative aux opérations juridiques faites par les commerçants. Il s’agit d’un ensemble de règles applicables

entre un produit dérivé et un produit structuré, au moins ce que sont des OPCVM « à formule », visés à l’article R. 214-27 du Code monétaire et financiers, des OPCVM structurés de droit étranger 2 équivalents, visés à l’article 36 du règlement de l’Union européenne n° 583/2010 de la Commission du 1er juillet 2010 mettant en œuvre la directive 2009/65/CE, des titres de créances complexes et des titres financiers équivalents, notamment les EMTN (Euro Medium Term Notes). Tous ces « produits » ont envahi

pour ces paiements ou ces crédits, garanties souvent liées étroitement aux instruments utilisés, comme dans le crédit documentaire, et parfois données par des banques spécialisées (BEA) ou des organismes non bancaires (CAGEX, Société d’affacturage). 2 – Pour les entreprises et les institutions financières, les activités commerciales internationales : (importations, exportations, investissements de projets internationaux) sont une source de contraintes et d’opportunités. Des techniques financières

BIENS IMMEUBLES parce que placé par le propriétaire du fonds pour le service ou l’exploitation de ce fonds (art. 524 C.civ.) - destination agricole - destination commerciale - destination industrielle - destination civile 2) meuble considéré fictivement comme un immeuble car attaché à perpétuelle demeure à un immeuble (art. 525 C. civ.) 106 droits réels portant sur un immeuble : l’usufruit de EXERCICES 1) Donner 3 exemples de biens dans chacune

.............................................................. 7 2. Les assemblées générales extraordinaires ................................................................................ 8 3. Les décisions pouvant être prises par l’assemblée générale ordinaire ou extraordinaire.......... 8 4. Limites aux pouvoirs de l’assemblée ........................................................................................ 10 SECTION 2 : LA CONVOCATION DES ASSEMBLEES .................................

de l'éthique de l'entrepreneur au droit des affaires Actes du colloque organisé par le Centre de Recherches en Éthique Économique et des Affaires et Déontologie Professionnelle de la Faculté de Droit d'Aix-Marseille, Aix-en-Provence 4 & 5 JUILLET 1996 Librairie de l'Université 12, rue Nazareth - 13100 Aix-en-Provence - 1997 - Ouvrages de la collection Éthique et Déontologie Librairie de l'Université d'Aix-en-Provence Xavier Agostinelli : Le droit à l'information face à la protection