Cass Crim 18 Février 1998

tenté de détruire ce qu’il y avait d’humain chez certaines personnes humaines. considérant que ces personnes ne devaient plus être considérées comme tel,mais comme des animaux. Le droit était assez démuni face à ce type de comportement,face à de tels crimes qui montraient un degré de barbarie inégalé,que les juristes ont essayé de trouver un nouveaux concept permettant de sanctionner ces comportements : concepts de crime contre l’humanité,d’atteinte à la dignité humaine . Ainsi,tuer,asservir,dégrader

Formation permanente CUP, 1999; Foriers, P.A. et alii, Vente et cession de créance, Editions Formation permanente CUP, 1997; Foriers, P.A., La caducité des obligations contractuelles par disparition d'un élément essentiel à leur formation, Bruylant, 1998; François, L., Le problème de la définition du droit, Faculté de droit de Liège, 1978; François, L., Le cap des tempêtes, Bruylant, 2001 ; Hansenne, J., Introduction au droit privé, Story-Scientia, 1990; Jassogne, C., Forges, M., Leclercq, J.F

la loi) l'animal doit être considérer comme un bien ou une chose en G les gens qui trouve en un animal une personne ( au USA un singe et une personne dans le coma sont des choses ) → article « personnalité des animaux » marguénaud Dalloz 1998 p 205 Section 2 :La reconnaissance pour les personnes morales I/ Le débat doctrinal Consulter « l’anthologie de la pensé juridique » (Malaurie) Certains auteurs nie l'existence de la personne morale, dont Pagnol → la personne moral dissimule

accidentelle d’un fœtus => peut-on tuer un fœtus ? être humain ou personne ? La dignité ne s’applique t-elle qu’a la personne née ? La CA va condamner le médecin pour homicide par imprudence, donc même protection pénale qu’une personne née. La Cass va ensuite censurer cette décision, en considérant que « doit être censurer la décision d’appel qui énonce que l’enfant était a terme depuis plusieurs jours (...) disposant d’une humanité distincte de sa mère ». La CEDH a été saisi 8 juillet

presse au Bénin[16], elles sont muettes sur la question du moins pour ce qui est d’une définition du délit de presse. La loi 60-12 du 30 juin 1960 parle plutôt « des crimes et délits commis par la voie de la presse ou par toute autre moyen de publication ». La loi 97-01 du 20 août 1997 n’est pas plus explicite. Elle parle « des crimes et délits commis par les moyens d’information et de communication audiovisuelle » sans une définition du délit de presse en soi. On retrouve dans cette dynamique

: (la prévisibilité ne doit pas être entamée par les conflits de loi dans le temps et les conflits de qualifications) §1. Légalité et légitimité de la norme pénale A- Légalité et légitimité sociale (nécessité et proportionnalité du droit pénal) - Crim. 5 mars 2013, n° 12-80891 : Bull. à paraître : estime que les articles 1 à 3 de la loi n° 2010-1192 du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage dans l'espace public (contravention de 5ème classe non codifiée, v. sous art. 225-4-10 qui

......................................... 17 3. Bureau de l’assemblée ............................................................................................................. 18 4. Constatation du quorum ........................................................................................................... 18 § B. DEBATS LORS DE L’ASSEMBLEE ..................................................................................................... 19 § C. LE VOTE...............................

le caractère réel de ce contrat, ce qui avait pour conséquence que les parties n’étaient pas engagées au moment de l’accord des volontés mais seulement au moment de la remise de la chose prêtée (Cass, Civ 1, 20 juillet 1981). La cour de cassation, face au scepticisme des auteurs, a produit un arrêt (Cass, Civ 1, 28 mars 2000) dans lequel elle procède à un revirement : « le prêt consenti par un professionnel du crédit n’est pas un contrat réel. » Et, la première chambre civile de la cour de cassation

fonction et des pouvoirs. Dans la SARL, la direction de la société est désignée sous l'appellation de gérance et la fonction de dirigeant est assurée par un ou plusieurs gérants personnes physiques. Aux termes de l'article 63 de la loi 05-96 du 13 Février 1997, dans leurs rapports avec les associés, leurs pouvoirs sont déterminés par les statuts et, dans le silence de ceux-ci chaque associé peut effectuer tout acte de gestion dans l'intérêt de la société. Cet article ajoute que dans leurs rapports

les obliger à se soumettre à la comptabilité publique. Ce n’est pas l’actualité qui démentira ce fait, une réunion de concertation entre la chambre des comptes de la cour suprême et la commission des finances de l’assemblée nationale s’est tenue le 18 novembre 2010 à l’Assemblée nationale avec pour thème « Le cadre juridique et institutionnel des entreprises du secteur public et parapublic ». Parmi les conclusions qui en ressortent de cette plate-forme d’échange entre les parlementaires et les juges