Cass Crim 30 Juin 1999

- Propositions doctrinales de relecture[->30] Bibliographie[->31] Introduction 1. – Pragmatisme jurisprudentiel – Le pragmatisme de la jurisprudence contraste avec le détail de l'élaboration des constructions doctrinales (V. supra JCl. Civil Code, Art. 2, fasc. 10[->32] ou Notarial Répertoire, V° Lois (en général), fasc. 20[->33]). Il y a certes eu des raisonnements jurisprudentiels explicitement menés en termes de droits acquis (V. notamment Cass. civ., 20 févr. 1917 : GAJ civ., t. 1, Dalloz

l’étude du droit, 12ème éd. Litec, coll. Manuels, 2008 Ch. Larroumet, Introduction à l’étude du droit privé, 5ème éd. Economica, 2006 H, L et J. Mazeaud par F. Chabas, Leçons de droit civil, Introduction à l’étude du droit, 11ème éd. Montchrestien, 1999 3/ Les « traités » se veulent exhaustifs. Ils sont à déconseiller en première année pour servir de moyen de réviser la matière mais peuvent être utilisés plus ponctuellement afin d’approfondir un point du cours. J. Ghestin, G. Goubeaux et M. Fabre-Magnan

pour dégradation exceptionnelles causées par des usagers aux voies publiques. Distinction contributions / impôts : Contributions uniquement destinées à financer une opération publique, dont la réalisation est nécessaire par la personne privée (CE, 1999, vincent) Mode d’établissement : la collectivité publique est tenue de rechercher un accord amiable avec les intéressés. (CE, 2008, office national de la chasse) : pas uniquement voie d’autorité 4 / La cotisation sociale Prélevement versé

La tentative est soumise au principe de légalité. La répression n’est donc possible que dans les cas prévus par la loi. Des distinctions sont à faire au regard de la classification tripartite : - La tentative est toujours punissable pour les crimes, c’est un principe général - La tentative n’est punissable que si la loi le prévoit pour les délits (Par exemple, la tentative de vol (311-3) ou d’escroquerie (313-3) est punissable tandis que la tentative d’abus de confiance ne l’est pas - La tentative

des fonctions pour éviter l’arbitraire (pour la protection des individus). Il y a 4 phases : - Le parquet oriente le dossier - L’instruction (obligatoire pour les crimes) à lieu. Le juge instruit à charge et à décharge - La phase de jugement vérifie la culpabilité du prévenu - La peine est appliqué (voir loi du 15 juin 2000 renforçant la protection de la présomption d'innocence et les droits des victimes et Loi du 4 Mars 2004 portant adaptation de la justice aux évolutions de la criminalité)

victime, devant la juridiction civile. En matière civile prescription de droit commun de 5 ans (à compter du jour où le titulaire du droit a connu ou aurait pu connaître les faits qui lui permettent d'exercer l'action, article 2224 du CPC, loi 17 juin 2008) Les règles procédurales ne sont pas les mêmes (Code de procédure pénale/civile). Bien que différentes, les deux responsabilités sont souvent en contact. En effet souvent un même acte constitue à la fois une infraction pénale susceptible

mais plutôt aux influences d'un parent présumé aliénant. Cela dit, il reste difficile d'interpréter ces chiffres en raison d'autres variables en jeu. Un cycle d'études empiriques auquel nous participions (Joyal, Quéniart, Van Gijseghem et Cloutier, 1999) indique que, dans un échantillon représentatif de dossiers de divorce et de séparation (N : 300) impliquant des enfants de zéro à douze ans, on compte 68 % de règlements consentis à propos de la garde et des droits d'accès. Pour 14,5 %, un jugement

moraux résultant d’une atteinte à l’intégrité physique De principe, l’indemnisation des conséquences extrapatrimoniales d’une atteinte corporelle n’est depuis longtemps plus discutée, tant à l’égard des victimes directes que des victimes par ricochet (Cass. civ., 13 février 1923 : « la douleur éprouvée par les enfants d’une personne, morte victime d’un accident, suffit, en l’absence de tout préjudice matériel, pour permettre à ces enfants d’exercer contre l’auteur de l’accident une action en dommages-intérêts

n°994, DF 43/06 n°688, concl. Glaser DF 48/06 n°746 (3) CE Plén. 26 avril 1985 n°40799, RJF 85 n°873 (4) CE 26 janvier 1990 n°58314, SA Jean Fabre, RJF 90 n°254 concl. O. Fouquet p.169 CE 23 mai 1990 n°64274, Colibri-France, RJF 90 n°798 (5) CE 9 avril 1999 n°171554, SA Pierre Thomas, RJF 99 n°681 (6) CE 27 juillet 2005 n°254695, SARL Fidutec, RJF 05 n°1152, DF 7/06 n°163 3 CGI. Cette charge ne cesse d’être déductible en application de l’article 238-A du CGI que lorsqu’elle est versée dans un pays

distinction entre exception d’inconstitutionnalité et question préjudicielle, cf. T.-S. Renoux, « L’exception, telle est la question », RFDC, 1990, n°4, p. 651. 2 F. Delattre, JO, AN, 21 juin 1990, p. 2775. 3 J. Larché, JO, AN, 12 juin 1990, p. 1504. 4 J. Brunhes, JO, AN, 24 avril 1990, p. 605. 5 J. Larché, JO, Sénat, 12 juin 1990, p. 1889. 6 Voir notamment G. Alberton, « Peut-on encore dissocier exception d’inconventionnalité et exception d’inconstitutionnalité ? », AJDA, 2008, p. 967 ; V. Bernaud, M.