Casse-noisette

sobre, concis qui connait un grand succès inspiré à l’auteur par son enfance passée avec son grand père au château des « Gueules cassées » de Moussy- le-Vieux, établissement hébergeant les poilus revenus défigurés de la guerre de 1914. Il publie ce roman riche en 1998 en hommage aux victimes de la guerre et en particulier à son grand père Eugène Fournier « Gueule cassée » qui, repris son ancienne profession d’ingénieur après la guerre, se maria à Germaine fille de tailleur juif de Varsovie avec

l'URSS s'élève a plus de 16millions de mort. Dans les médiat et les arts, le fait que l'homme est victime de la guerre est souvent employé . Dans le livre de Marc Dugain, « La chambre des officiers » le romans évoque l'histoire des « gueules cassées » ces soldats qui on était physiquement rendu inadapté a une vie normal . Dans le film Forest Gump de Robert Zemeckis , le lieutenant Dan est revenu dévasté de la guerre du Vietnam et pour l'oublier, boit, se drogue et part a la dérive. Dans l’œuvre

contrairement aux personnage qui sont mis en évidences par des couleurs vives comme le rose le bleu ou le blanc. L'utilisation du clair/obscure nous révèle aussi les corps d'anciens soldats démembrés. B/ La propagande allemande et les trois gueules cassées Le principe de la propagande allemande pendant la première guerre mondiale : Le but de la propagande allemande est de faire croire que l'armée du reich est invincible. Durant toute la guerre la population allemande fût inondées d'affiches, de

Document 1 : Aquarelle d’André Devambez (1915, Musée des deux Guerres Mondiales, Paris). II. Les conditions de vie : Document 2 : Témoignage d’un poilu. III. Bilan physique et psychologique des poilus : Document 3 : les gueules cassées. Les tranchées sont une ligne de front continue de 700 km, chaque jour, 8000 soldats en moyenne tombaient et leurs corps venaient s’ajouter à ceux des jours et des semaines précédentes. Les conditions de vie dans ces tranchées

Stadt, Stuttgart. © SESAM, Paris, 1998. La mort 979899 98 - Otto Dix En 1920, lors de la première foire internationale à Berlin, Dix exposa Kriegsversehrte (mit Selbstbildnis) (Infirmes de guerre) (avec autoportrait), frise de "gueules cassées" dans une rue, amputés, défigurés, aveugles. La rue de Prague et Die Skatspieler (Les Joueurs de skat), toutes deux de 1920, sont proches de cette oeuvre d'autant plus emblématique qu'elle fut saisie par les nazis en 1933 et probablement détruite

deux est désignée le reflet. Il doit donc refléter ce que fait son partenaire. Ensuite, on échange les rôles. On peut jouer à plusieurs duos en même temps. GRAND JEUX : ( western ) - Jeu du tire à l'arc Casse boite de conserve Les pommes à attraper dans un tonneaux avec la bouche Le casse tête (mettre au mur des images de personne avec l'inscription WANTED en noir et blanc et laisser les joueurs tirer en essayant de viser la tête) | Lampion du 14 juillet : Fournitures :

on voit trois gueules cassées. Le titre est un peu trop simple pour exprimer une telle boucherie sur des hommes, mais c’est-ce que Otto Dix voulait faire comprendre. Il est plein de rancœur face au peu de reconnaissance qu’a la population pour les soldats. Ces soldats on été victimes d’une boucherie, ils ont subi des souffrances morales mais aussi physiques, et la population les rejette au lieu de les honorer pour ce qu’ils ont donné pour l’Allemagne. Ces trois gueules cassées représentent les conséquences

la même forme. Bien qu'il soit en noir et blanc, cet album a permis à Hergé de développer son dessin. Le caractère de Tintin n'est pas encore complètement défini. C'est l'un des trois albums où l'on peut voir Tintin ivre (les autres étant L'Oreille cassée et Le Crabe aux pinces d'or). Cependant, il est déjà généreux : il invite un mendiant à dîner avec lui (le mendiant se révèlera être un agent du Guépéou déguisé). Mis à part Tintin et Milou, les innombrables personnages de l’album sont secondaires

de 1918, Otto Dix peint les conséquences physiques de la guerre. La situation présentée est une scène ordinaire : trois personnes jouent aux cartes. Mais cette banalité est contrebalancée par l'horreur dégagée de ces personnes, véritables "gueules cassées" de la première guerre mondiale. L'aspect des joueurs n'a plus rien d'humain, l'un d'entre eux tient ses cartes avec le pied, on voit les parties génitales d’un autre. Ils conservent leurs uniformes, mais ce ne sont désormais que des moitiés d’hommes

- Les balles ou éclats d’obus sont à l’origine de blessures au visage d’un genre nouveau et d’une spécialité qui va se développer avec la guerre : la chirurgie faciale, qui ne pourra que très partiellement soigner les « gueules cassées ». - Loin de leur famille, ne supportant plus ces terribles