Catastrophe de Bhopal

grandissante que le terme d’éco-développement fut créé part Ignacy Stachs2 tandis qu'il était conseiller spécial du secrétaire Général de l'ONU, prévu dans son rapport d'étude, que le développement économique effréné conduirait inéluctablement à une catastrophe écologique planétaire. Se définissant comme “ecosociœconomiste”, il a developpé une approche combinant politique sociale, préservation de l'environnement et développement économique, présentée et débattu lors de la conférence de Stockholm sur le

-Ecologie s’intéresse aux interactions entre les sociétés humaines et le monde biophysique. -Risque : probabilité d’une rencontre d’un aléa et d’une vulnérabilité. *risques naturels (tempêtes, séismes) *anthropiens, générés par l’homme (grisou, catastrophes industrielles). -Les risques naturels s’effacent, l’homme les aggrave. Tout devient presque anthropique. -Comment concilier les logiques économiques et politiques avec les enjeux environnementaux ? Dvp durable ? I – Des risques accrus et globalisés

géopolitiques (instabilités au Moyen-Orient) ou climatiques (sécheresse : blé au Etats-Unis), génèrent des répercussions sur la formation des prix. La mondialisation se veut libérale. De ce fait, les entreprises délocalisent sans scrupules (catastrophe de Bhopal) leur production vers les pays du « Sud » avec l’aval des autorités locales souvent corrompues. Compte tenu du manque de lois encadrant le « travail », on pourrait assimiler la mondialisation à une forme d’esclavage moderne. Des organismes

à la fois favorable à la production agricole (riz) et terriblement exposé aux inondations (c’est un immense delta), la persistance de la pauvreté (IDH de 0,559, mais avec une progression non négligeable : 0,365 en 1980) et la récurrence des catastrophes conduit à s’interroger sur les causes de la durabilité de la pauvreté davantage que sur les voies du développement. L’intérêt principal de cet exemple est d’introduire dans le débat du développement durable et du changement climatique la question

Les choses J. J. Goldman, La société de consommation J. Baudrillard un philosophe, La distinction P. Bourdieu, sociologue, Foule sentimentale A. Souchon. 4° La prise de conscience L’homme, avec la technique, modifie son rapport à la nature. Catastrophes de Bhopal Inde 84, Tchernobyl Russie 1986, Fukushima Japon 2011. Réactions : écologistes, altermondialistes, développement durable. 5° Louer, acheter d’occasion, vers un « no conso » Covoiture, location, critique du made in china et des marques J. Rémy

rapport Meadows de 1972 rédigé par le Club de Rome. « Halte à la croissance » montre du doigt les inégalités sociales croissantes et l’épuisement inéluctable des ressources naturelles. 1980 : écodéveloppement à développement durable. Catastrophes écologiques (Bhopal, Tchernobyl) vont accélérer les inquiétudes. Organismes importants pour le DD : OMC, OMS, BIRD, ONU et OIT. Montréal, 1987 : 27 pays signent un protocole d’interdiction d’utilisation de gaz fluorés (préservation de la couche d’ozone)

maîtrise de ce produit encore mal connu est dans le même temps à l’origine de la plus grande catastrophe industrielle de l’histoire après Bhopal: l’explosion du navire français chargé de nitrate d’ammonium « Liberty Ship Grandcamp »: un feu se déclare dans la cale, des curieux s’attroupent puis c’est soudain l’explosion : le navire est pulvérisé, une ancre est retrouvé à 3 km. Il y a eu lors de cette catastrophe 600 morts et 3000 blessés. *La pollution par les nitrates En France la présence de nitrates

ex l’amiante, aérosols, climatiseurs… - Le tabac : dans les lieux clos…  Les effets directs sur l’homme : Ils sont évidents lorsque l’ on sait que l’homme respire environ 15 à 20 kg d’air par jour.  la pollution aiguë : catastrophe industrielle (Seveso , Bhopal…). Dans ce cas les victimes vulnérables sont les enfants, les personnes âgées et les insuffisants respiratoires. Maladies d’actualité : bronchiolite, SRAS, légionellose…  La pollution chronique : concerne essentiellement les

d’exposition au risque mais aussi elle est inversement liée à la capacité de la société à s’en protéger.Le degré d’exposition (exposition au risque, en relation avec le lieu/Naples/ Massif central).La société peut-elle protéger, prévenir en cas de catastrophe (structure, évacuation…). La vulnérabilité va de l’humain à la natureRésilience : processus au cours duquel une société est confrontée à un crise, un choc violent qu’elle absorbe et dépasse sans s’effronder, revenant à son état avant la crise ou

soient beaucoup moins probables que dans les pays du Nord, en raison du développement moins avancés des pays du Sud, ils peuvent exister quand même. On trouvera dans ces pays plutôt des risques industriels que nucléaire, comme par exemple la catastrophe de Bhopal, en Inde, le 3 décembre 1984. l'explosion d'une usine a dégagé près de 40 tonnes de pesticide, et a tué officiellement 3500 personnes, mais selon les associations de victimes, ce nombre est près de 6 fois supérieur. L'augmentation du développement