Catastrophe nucléaire de Tchernobyl

l'ADN Comment expliquer que la quantité d’ADN d’une cellule ne devienne pas nulle alors que celle-ci se divise à de multiples reprises ? Mutations de l’ADN et variabilité génétique Comment expliquer les conséquences de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl sur les êtres vivants ? La mutation de Mystique des X-Men lui conférant sa couleur de peau bleue est-elle purement de la fiction ? L’histoire humaine lue dans son génome En quoi l’étude des génomes humains révèle une sélection

Brésil M. Séisme et tsunami au Japon Conclusion Glossaire Annexes Interview ------------------------------------------------- Introduction Une catastrophe naturelle est un événement d’origine naturelle, subi et brutal, qui provoque des bouleversements importants pouvant engendrer de grands dégâts matériels et humains. Si les catastrophes naturelles sont provoquées par des causes météorologiques, sismiques ou autres sur lesquelles l’homme n’a pas de prise, leurs bilan dépendent fortement

II: Une possible reconstruction ! A) Des progrès dans le but d'améliorer la situation. B) Une prise de conscience positive. C) L'intervention des États et la politique dans l'environnement => Pourquoi aujourd'hui malgré les nombreuses catastrophes nous ayant déjà touchés, ne modifions-nous pas notre mode de vie ? Quels sont les possibles solutions prévues à ce problème environnemental et comportemental ? Introduction : Depuis le milieu du 19ème siècle le monde a connu des bouleversements

l’environnement. La nature reste marquée par des catastrophes majeures : explosion de la centrale nucléaire de Tchernobyl en 1986, ruptures d’oléoducs, destruction de la taïga par les pluies acides. Il n’y a pas de politique de l’environnement : malgré les pollutions dramatiques de l’air, du sol et de l’eau et une radioactivité préoccupante sur certains sites de stockage des déchets, le gouvernement a décidé la construction de 30 nouveaux réacteurs nucléaires. III- Un territoire éclaté confronté

survenu le 26 avril 1986 dans la centrale nucléaire ukrainienne de Tchernobyl. L'ensemble du territoire biélorusse a été profondément contaminé par les retombées radioactives de la catastrophe, tant il est vrai que les taux de contamination évoluent avec le temps et que les éléments radioactifs se sont dispersés, sous l'effet de la pluie et du vent, à la surface et à l'intérieur des sols. Les effets en matière sanitaire, agricole ou budgétaire de la catastrophe ont évidemment été dévastateurs et demeurent

pays. Si une catastrophe naturelle ou une guerre survient, alors la destruction ne fera pas diminuer le PIB mais la reconstruction le fera augmenter. Nous avons un document tiré de « Alternatives internationales » présentant les grandes catastrophes industrielles dans le monde depuis 1976. Ce document nous montre par exemple des incidents tels que celui de Bhopal en Inde qui tua 20 000 personnes ou encore celui de Tchernobyl en Ukraine qui fut un des plus grandes catastrophes nucléaire connue. Nous

au travail. Mais l’amélioration des techniques est-elle réellement une source de bonheur ? En effet le progrès technique se révèle également dangereux et est à l’origine d’accident parfois mortel tel que l’explosion en 1986 de la centrale nucléaire de Tchernobyl. Il peut aussi être contesté car est-il bénéfique à l’ensemble de la population ou est-il au contraire la cause de la création d’une société inégalitaire ? Vouloir limiter le progrès technique est donc t’il défendable ? Faut-il privilégier

chiffre n’a cessé de croître. L’industrie utilise de grosses quantités d’eau. L’industrie nucléaire prélève l’eau en masse pour le refroidissement, mais la totalité de cette eau est ensuite rendue à la nature : il n’y a donc pas consommation. En France notamment, où l’industrie nucléaire est très développée, environ 60 % des prélèvements d’eau, en volume, servent au refroidissement des centrales nucléaires, au Canada 55 % et aux États-Unis 40 %. Les industries les plus gourmandes en eau sont les

sensibilisant et les aiguillant sur les questions de responsabilité sociale, environnementales et de gouvernance. Les exemples suivant font parties des plus flagrants quant au besoin d’une entreprise comme VIGEO. L’affaire ERIKA nous a démontré par une catastrophe écologique sans précédent que les questions juridiques étaient floues au possible. La responsabilité de la société TOTAL dans cette affaire a été extrêmement compliquée à révéler, n’étant pas directement responsable du naufrage. Là est réellement

bondissent de 3 à 13 dollars le baril. 1979 : Les pays non membres de l’OPEP se lancent dans un développement rapide de prospection et forage = mer du Nord, Sibérie, Alaska, baie de Campeche au Mexique… Les efforts de recherche concernant énergie nucléaire s’intensifient. Les politiques d’économies d’énergie se développent. Le charbon et le gaz naturel pour l’électricité sont utilisés. Le prix au baril culmine a 41 dollars en 1981. L’économie mondiale marque un coup d’arrêt. Les répercussions