Catherine Deneuve

uns aux autres ». Portrait de Catherine II de Russie Puis une fois rétablie une forme d’égalité physique, elle revendique l’égalité intellectuelle, en détruisant l’argument masculin par le choix même des verbes qui le présentent : « Ils prétendent avoir aussi la tête mieux organisée, et, en conséquence, se vantent d’être plus capables de gouverner ». Elle répond à cette affirmation masculine par un exemple, celui de la « princesse allemande », qui rappelle Catherine II de Russie pour laquelle Voltaire

divine nature » (vers 18) Nous comprenons que le poème est un compliment s'inspirant du pétrarquisme à la femme puisqu'il la présente comme une divinité inatteignable. Les Sonnets pour Hélène s’adressent à Hélène de Surgères, fille d’honneur de Catherine de Médicis ; par son prénom, elle rappelle bien sûr Hélène de Troie, qui par son rapt provoqua une guerre de dix ans entre Troyens et Achéens. La guerre de Troie, ainsi que les personnes qui l'animent, appartiennent à la mythologie. Ainsi « l’objet

publique accompagne toutes ces mesures[20]. 26 janvier : la décision du gouvernement genevois d'augmenter le prix du pain déclenche une émeute à Saint-Gervais, le quartier le plus populaire de Genève[21]. 31 janvier : Zoubov devient le favori de Catherine II de Russie[22]. 10 février : suppression de la corvée par Joseph II[23]. Sa mort en 1790 empêchera l’application de la mesure. Projet de Joseph II de création d’un impôt de quotité payable par tous les propriétaires et celui d’un cadastre général

désormais un jardin public constituant le plus important et le plus ancien jardin à la française de la capitale et qui, autrefois était celui du Palais des Tuileries, ancienne résidence royale et impériale, aujourd'hui disparu. À partir de 1564, Catherine de Médicis, reine veuve de Henri II de France, , fit commencer la construction du palais des Tuileries, tout en débutant l'aménagement d'un jardin à l'italienne à l'ouest de celui-ci, constitué de six allées dans le sens de la longueur et huit dans

La rupture avec la papauté Depuis 1527, le roi Henri VIII souhaite faire annuler son mariage avec Catherine d'Aragon, fille des Rois catholiques et tante de l'empereur germanique Charles Quint. Mariés depuis 1509, ils ne parviennent pas à avoir d'héritier mâle. Le roi souhaite pouvoir se remarier avec sa maîtresse Anne Boleyn, une jeune femme de l'entourage de la reine Catherine. Le pape Clément VII refuse le divorce. Henri VIII décide alors de rompre avec le pape. En 1530, l'assemblée du clergé

les préjugés, un service essentiel rendu à la philosophie dont les Lumières recueillent maintenant les fruits : « Les armes dont nous nous servons pour le combattre ne lui en appartiennent pas moins parce que nous les tournons contre lui ». Catherine II vue par l’ambassadeur d’Angleterre (1778) L’impératrice a d’un homme la force de caractère, l’obstination dans la poursuite de ses plans et l’intrépidité dans leur exécution mais il lui manque les vertus les plus viriles de la délibération, de

MACARONS Le macaron apparaît en Europe au Moyen Âge où il va se diversifier et trouver de nouvelles formes et saveurs. D’Italie, il passe en France à laRenaissance. C’est en effet Catherine de Médicis qui a fait découvrir au xvie siècle les « maccherone » aux Français. Curieusement, cependant, il n'est pas mentionné dans le Traité des confitures et fardements publié par Nostradamus en 1552. Il apparait, la même année, pour la première fois en français, sous la plume de Rabelais, dans le Quart

d’Henri de Navarre auprès d’Henri III pour tenter de négocier la paix. Catherine de Médicis l’appelle aux conférences de Saint-Brice et le 23 octobre 1587, le soir de la victoire de Coutras, Henri de Navarre loge chez lui. En 1588, alors qu'il se rend à Paris pour la publication de la deuxième édition des Essais, les ligueurs le jettent en prison, mais il est délivré quelques heures plus tard grâce à l'intervention de Catherine de Médicis. La même année, Montaigne fait la connaissance de Marie de

œuvre est actuellement exposée au musée des Beaux-Arts de Rouen. A travers cette peinture, François Clouet fait de cette peinture une œuvre politique et historique grâce aux personnages qui y sont représentés. En effet, on peut reconnaître notamment Catherine de Médicis, Diane de Poitiers, Marie Stuart. François Clouet est un artiste peintre née à Tours vers 1516. Au décès de son père, il recueille l’héritage de « peintre et valet de chambre du roi ». Il a été peintre officiel de François 1er puis

plus hauts personnages de la cour à son époque mais aussi les bouleversements politiques du moment. Commençons tous d’abord par définir l’identité de chacun des personnages. La nymphe assise au centre du tableau et drapée d’un linge noire est Catherine de Médicis, veuve du roi Henri II. Diane de Poitiers représentée sous les traits de la déesse Diane est coiffée du traditionnel croissant de lune et parée de bijoux qui signent les offrandes du roi de France. En effet, nul n’ignore le fait que Diane