Catherine Frot

Evocation de l’époque du XVI° et son jugement sont en apparence élogieux. Ainsi au début du roman, longue galerie de portraits flatteurs des grands de l’époque mais quelques éléments discrets de satire (portrait Duchesse de Valentinois, évocation de Catherine de Médicis qui est pour l’auteur une reine ambitieuse et dissimulée) f. fiction et décor historique L’Histoire n’est pas seulement un décor mais fait partie intégrante de l’action. C’est lors du bal (fiançailles du duc de Lorraine)

son lever et par l’énumération de verbes d’actions qui traduisent son courage et sa capacité à exercer des activités politiques. C’est une femme des lumières : cf. vocabulaire de la connaissance. Ce portrait de femme, qui s’inspire probablement de Catherine II de Russie (Monarque éclairé : modèle idéal du siècle des Lumières), apporte la preuve que la femme a les moyens physiques et intellectuels d’égaler l’homme. Cet exemple vient alors contredire la citation de Molière qui reflète les préjugées des

(les Saints), et ils lisent quotidiennement la Bible. Les protestants sont beaucoup plus exigeant sur le devoir que les catholiques. La France est majoritairement catholique. Les protestants vont casser les statues de Marie et des Saints. En1572, Catherine de Médicis et Charles IX veulent la paix avec les protestants → mariage entre Marguerite de Valois (catholique) et Henri de Navarre (chef des protestants). C’est l’union catholique et protestante, le mariage est imposé. La nuit du 24 août, on massacre

Beaulieu, signé le 6 mai 1576, sont une véritable défaite pour le roi qui doit faire des concessions d’une très grande importance dès le début de son règne qui semble alors définitivement marqué par cet échec. En effet, cette paix, négociée par Catherine de Médicis (-) donne des avantages aux huguenots. Tout d’abord, le roi désavoue la Saint Barthélémy et en réhabilite les victimes, mais le culte protestant est désormais libre dans tout le royaume, à l’exception de Paris et de là où réside la Cour

C’est donc un endroit où se fait tout ce qu’il y a de mieux ; ainsi le festin est-il qualifié de royal l.2. C’est aussi un lieu où les plus hauts personnages de la cour sont présents. Dans cet extrait, sont cités notamment le roi Henri II, la reine Catherine de Médicis, la reine dauphine Marie Stuart. C’est donc un cadre brillant qui va accueillir une rencontre extraordinaire. Des circonstances romanesques * Le bal est prétexte à une véritable parade : Mme de Clèves passa tout le jour des

l'on en juge à la manière plus ou moins artificielle des comédiens à prononcer certaines phrases. Tavernier nous présente un siècle de la Renaissance crédible, sans pour autant "vouloir faire un film historique", a-t-il déclaré. . La reine mère, Catherine de Médicis n'a qu'une scène. La première scène se situe en 1567, année où éclate la première des huit Guerres de religion qui empoisonneront la fin de règne de la Maison des Valois. Les dernières scènes se situent l'année du massacre de la St-Barthélémy

politique. 1. Despotisme éclairé. - Nécessité de changer le mode de gouvernance. Inspiration de la monarchie anglaise. Contrat entre peuple et gouvernants. Frédéric II de Prusse (gouverne de 1740-1786), Joseph II d’Autriche (gouverne de 1780-90) et Catherine II de Russie (1762-1796). 2. La république. - Idée peu répandue. Plus de monarchie constitutionnelle. Comme Montesquieu l’explique dans l’esprit des lois(1748). Ils revendiquent l’équilibre des pouvoirs. - Démocratie= idéal, car le système grec

Oeuvres majeures : - " Les lettres persanne " (1721) - " De l'esprit des lois " (1748) - Constantes de l'auteur : - Les thèmes : la religion, les lois, l'organisation des pouvoirs, l'esclavage. - Montesquieu influença particulièrement Catherine II de Russie, qui est, selon lui, une monarque " éclairés ". Il fait de nombreux voyages en Russie. - Une des armes de Montesquieu est de mettre dans la bouche d'un autre narrateur ses idées. Il évite le censure. Charles-Louis de Secondat, connu

que pouvait avoir Mlle de la Marck, sa petite fille, qui était alors à marier » (l. 12-15). En effet, cette duchesse s’avait emparé de l’amour total du roi puis que cette passion avait « commencé il y [a] plus de vingt ans » (l. 5-6). En suite, Catherine de Médicis (1519-1589), devenue Reine de France en 1533, était réputée pour son esprit, son sens politique et son humeur ambitieux qui « lui faisait trouver une grande douceur à régner » (l. 24-25). « Cette princesse était belle, quoiqu’elle eût

nouveau roi protestant Henri IV va apporter l’apaisement (B) A. contexte religieux Depuis la mort d’Henri II en 1559, les guerres entre catholiques et protestants ne cessent pas. Elles divisent même le territoire de la France. La régente Catherine de Médicis tend vers une politique de paix religieuse, que les Guises refusent. Des massacres « d’hérétiques » protestants sont organisés en France, les chefs catholiques rejettent « la liberté religieuse sous l’autorité royale ». Les Huguenots,