Cathode

d’électrons lorsqu’on irradie sous vide un métal avec un rayonnement lumineux. (Expérience réalisée en 1887 par Hertz). Montage expérimental: (Figure 3) Le montage expérimental consiste en un tube où règne le vide, dans lequel un métal formant la cathode C (au potentiel VC) est soumis à un radiation lumineuse de fréquence n. L’anode A (VA=0) est un anneau pour collecter les électrons émis. Résultats expérimentaux:  Existence d’un seuil en fréquence: On n’observe du courant que si la fréquence

diodes rapides de signal peuvent travailler à des fréquences élevées aussi bien en régime de petits signaux qu’en régime de commutation. 2/13 Prof. H. Cisse Théodore, Année scolaire 2012-2013 Cathode (K renversé) 1) Symbole Anode (A couché) On appelle le côté P l’anode et le côté N la cathode. 2) Caractéristique d’une diode : Polarisation directe I Rs A Vs V La caractéristique U  f ( I ) aux bornes de la diode montre deux régions : la région directe (diode montée

CUIVRE ET ENVIRONNEMENT Blisters et déchets de cuivre de récupération Cuivre haute teneur (chutes métallurgiques, vieux scraps, tubes ...) Cuivre basse teneur (déchets composites, vieux scraps mixtes ...) Four à anodes Anodes Électroraffinage Cathodes Four à arc Billettes Scories cuivreuses Boues anodiques (Au, Ag ...) Four à induction Alliages Fusion en four à réverbère Haut-fourneau, diamètre 2 m (charge à 20 - 30 % Cu) Coulée des anodes Cuivre noir (oxydé) Déchets de fabrication

qui après séparation des oxydes de fer et de silicium est envoyée dans des décomposeurs pour précipitation de l'alumine. L’aluminium : L'aluminium est obtenu à partir de l'alumine par électrolyse dans une cuve comportant un garnissage en carbone (cathode). L'aluminium formé par électrolyse se dépose au fond de la cuve. Propriété de l’aluminium : bon conducteur de la chaleur et de l'électricité faible masse volumique : 2,7 kg/dm3 point de fusion : 658° C faible module d'Young : 70000 N/mm2 / 70000

systèmes : Le freinage des électrons sur une cible dans un tube à rayons X : les électrons sont extraits par chauffage d'un filament métallique, la cathode, et accélérés par une tension électrique dans un tube sous vide. Ce faisceau est focalisé de manière à bombarder une cible métallique en tungstène ou en molybdène, appelée anode ou anti-cathode. Le ralentissement des électrons par les atomes de la cible provoque un rayonnement continu de freinage, dit Bremsstrahlung (nom commun féminin)10.

d’obtenir du chlore, de la soude et de l’hydrogène. La réaction chimique globale est la suivante : 2 NaCl + 2 H2O → Cl2 (g) + H2 (g) + 2 NaOH (l) Il existe trois procédés d’électrolyse différents actuellement exploités : - le premier avec une cathode en mercure, dit procédé « mercure » ; - le deuxième avec un diaphragme percolant comme séparateur des chambres anodique et cathodique, dit procédé « diaphragme » ; - le troisième avec une membrane échangeuse d’ions comme séparateur des chambres

impuretés moins volatiles. Cette technique est employée pour le zinc ; — la voie électrolytique dans laquelle le métal à purifier sert d’anode ; il se dissout et se dépose à la cathode. Seuls le métal à raffiner et les métaux plus électropositifs sont oxydés et passent en solution. Ces derniers ne se déposent pas à la cathode et restent en solution. Les impuretés non dissoutes forment des boues dans le compartiment anodique. Des purges de l’électrolyte sont nécessaires pour extraire les impuretés

l’hydrogène. La réaction électrochimique s’opère au sein d’une structure essentiellement composée de deux électrodes (l’anode et la cathode) séparées par un électrolyte liquide (acide phosphorique), conducteur des protons H+. Plus précisément, les réactions suivantes interviennent aux deux électrodes : À l’anode : [pic] À la cathode : [pic] Composants : • Les plaques d’interconnexion : Les plaques d’interconnexion –montage bipolaire- sont en carbone poreux équipées

inconvénients ainsi que plusieurs impacts considérables sur des aspects de notre société actuelle. On produit des rayons X grâce à des tubes à rayons X qu’on appelle aussi tubes de Coolidge ou tubes à cathode chaude. On émet des électrons grâce à une cathode qui sont accélérés par une différence potentielle élevée vers une cible constituée d’une anode en métal. Les rayons X sont soit créé par le freinage des électrons par les atomes de la cible qui crée un rayonnement continu

de ces ions sera marquée par l’apparition d’un dégagement gazeux ou d’un dépôt métallique au niveau des électrodes. Le dépôt du métal ou le dégagement d’hydrogène à la cathode est proportionnelle à la quantité d’électricité qui traverse la cuve d’électrolyte. Les quantités d’électricités nécessaires pour libérer à la cathode une valence gramme d’un métal quelconque sont égales. e-2) Effet thermique : Un calorimètre permet de mesurer la quantité de chaleur dégagée par l’échauffement du fil conducteur