Cauchemar

Brom Marie ‘Un rêve peut vite tourner en un cauchemar’ Le téléphone sonna et je réussi a entendre les pas de ma mère avancer en direction du téléphone puis quand elle décrocha le téléphone. Je ne savais pas de qui il s'agissait mais c’était sûrement pas pour moi. Ce n’était jamais pour moi d’ailleurs, je décida d’arrêter d’espérer qu’une amie imaginaire un jour m’appel comme toutes les filles de 12 ans le font après les cours. Quand soudain, ma mère m’appela et me tandis le téléphone avec

monstrueux, surgi du néant une mitraillette à la main, se met à vous poursuivre. Puis il ouvre le feu, en longues rafales qui n’en finissent pas. Vous allez tomber sous ses balles quand soudain, vous vous réveillez en hurlant. Ouf! ce n’était qu’un cauchemar, un de ces rêve si particuliers, si dérangeants. Il se produit durant le sommeil paradoxal, avec une caractéristique première, validée par les chercheurs: il réveille le dormeur, le laissant angoissé. A distinguer du « mauvais rêve » qui, quoique

fraternité mais pour les filles. On pourrait être sororitaires…» * Pénéloppe : «Maintenant je vais mourir et je t’aurai vue devenir une étrangère sans que je puisse rien y faire.» * Pénéloppe : «Hey, c’est mon cauchemar. Je peux-tu, s’il vous plaît, crier dans mon cauchemar sans que tu passes des remarques?» * Pénéloppe : «Je ne suis pas Alice, je suis Pénéloppe, ta sœur. Ta sœur…» * Pénéloppe : «Oui… sauf ma sœur, mais das son cas c’est normal.» * Molière : «Ah? Votre sœur n’a

45 et 46 « remonta (sur son lit),se pelotonna, se cacha », nous évoque l'enfant qui se réfugie sur son lit pour se cacher d'une chose qui lui fait peur. Cette idée est renforcée par la présence de Camille sous le lit de Laurent, stéréotype d'un cauchemar d'enfant. Cette enfance évoquée nous rappelle également le comportement de Camille sur la barque avant de mourir. Ceci nous montre une fois de plus l'inversion des rôles entre Laurent et Camille qui prend le dessus sur Laurent. et prend ainsi plus

ce qui symbolise l’ampleur de sa crainte. Aussi, la citation suivante démontre la frayeur du narrateur: « c’était quelque chose qui me poursuivait partout, et me pressait, comme un cauchemar.» (Ligne 10-11) Ici, la comparaison crée l’élément dominant, soit l’angoisse chez le personnage qui fait référence au cauchemar lors d’un rêve pénible. De plus, ce dernier fait voir, par la progressivité de l’histoire qu’il est désespérer dans son état d’esprit. Entre autres, il exprime un certain découragement :

ressentant une étrange impression, certainement due au terrible cauchemar, que je tentai vite d'oublier. En descendant, pas vraiment pressée en ce samedi matin de vacances, je fus surprise d'entendre des voix provenant du salon. Je reconnus la voix de M. Jenkins, le père de ma meilleure amie Jenna, ainsi que des sanglots,...ceux de ma mère. Alors, je compris. Je compris deux choses. Premièrement, ce n'était pas un cauchemar et, deuxièmement, je ne l'oublierais jamais. Deux mois

| | | | |Elle réfléchit à sa relation avec Steve, qu’elle aimait beaucoup et regrettait que Neil ne l’aime pas. | | | | |Elle s’endormit et fit un cauchemar dans lequel elle voyait un homme ligoter Neil. | |Chap. |Pages |Titre |Résumé | |6 |

mais il lui dit que ses symptômes ne sont pas alarmants et lui donne des médicaments. | 25 mai. (pages 21 – 23) | -Narrateur-Etre invisible dans le cauchemar | La maison du narrateur | Malgré les médicaments, son inquiétude persiste et il pense a la fragilité du corps humain. Il a peur de se coucher le soir, parce qu’il est hanté par un cauchemar récurrent, au cours duquel il est agressé et presque étranglé par un être invisible. | 2 juin. (pages 23 et 24) | -Narrateur-Présence invisible |

Œuvres & thèmes I « Histoire des arts » Nouvelles fantastiques Johann Heinrich Füssli, Le Cauchemar Nom Prénom Classe [Image en plat 2 de couverture] Étudier une image Un cauchemar Le mot « cauchemar » À l’origine, le mot « cauchemar » est d’abord employé au sens de « suffocation » : le dormeur a le sentiment d’un poids incommode sur le torse et se trouve dans l’impossibilité de se mouvoir, de parler, de respirer. Puis le mot a pris le sens de « rêve effrayant ». 1 a. Décrivez la position

Prisonnière d’un cauchemar Ça s’est passé lors d’une froide nuit d’été dans le cœur d’une campagne africaine, juste après une soirée que j’avais passée avec des amis. Il était minuit passé quand je quittai le salon après avoir pris congé d’eux. Je m’appuyai contre le montant de la porte et je regardai autour de moi. Ma chambre était entièrement obscure. Lorsque j’eus terminé ma toilette de nuit, j’éteignis la lumière de ma petite salle