Caudillo

est la rose qui cache la forêt, en l'occurrence un paysage politique français ravagé. Ainsi, à ceux qui les croyaient morts, les communistes montrent qu'ils sont encore assez vivants... pour s'entre-tuer. Le Front national ajoute au crépuscule du caudillo la frénésie schismatique des vassaux. L'extrême gauche s'encombre de tous les déçus du socialisme, des renégats de l'écologie et des charognards qui espèrent engraisser leur populisme avec la dépouille du capitalisme. Le centre et la droite plastronnent

vingtaine d'années. 1. L'historiographie de l'armée brésilienne Dans la plupart des pays d'Amérique Latine, les forces armées se sont emparées de force du pouvoir politique à un moment ou un autre. Représentées par un seul homme charismatique, le caudillo, ou par un groupe d'officiers, la junta militar, les forces armées sont des acteurs politiques et sociaux très présents depuis le début du dix-neuvième siècle. Leur place dans les sociétés contemporaines est loin d’être négligeable. De fait, les

d’Ormesson / Héloïse d’Ormesson 3. Ne lâche pas ma main / Michel Bussy / Pocket 4. Une autre idée du bonheur / Marc Levy / Robert Laffont 5. Congo Inc / Jean In Koli Bofane / Actes Sud 2 De Gaulle. “Et qui est-il, lui, de Gaulle ? Duce, führer, caudillo, conducator, guide ? […] J’appelle le régime gaulliste dictature parce que, tout compte fait, c’est à cela qu’il ressemble le plus.” (François Mitterrand, “Le Coup d’État permanent”, Paris, Plon, 1964.) Le peintre Jean Dubuffet, cité par Paul

jeunesse en revenant dans l’Espagne franquiste après un long exil. Il réécrit alors son utopie, publiée en 1959 sous le nouveau titre de La revolución sentimental ; mais elle n’est plus qu’un pamphlet anti-communiste trop dans la ligne des positions du caudillo pour être vraiment analysée par les historiens de l’utopie. Au début du siècle Eugène RICHTER, (auteur en 1891 de Sozialdemokratische Zukunftsbild), homme de droite (Parti Libéral Allemand) fait habilement la satire du socialisme d’État, lui aussi

mai 2005, le général Arroub, qui jouit d’une réputation d’homme intègre et dirige le 3e Bureau de l’armée, est déstabilisé par la controverse liée à l’ouverture en grande pompe d’un musée à la gloire du maréchal Méziane, un fervent supporter du caudillo espagnol Franco. Puis, en juillet 2006, c’est au tour du général Belbachir, qui dirige le renseignement militaire, d’être mis en retraite d’office à la suite d’une étrange affaire liée à un groupe terroriste nommé Ansar al-Mahdi. Enfin, en septembre 2006

les remonte comme une pendule (p. 236) [...] Et la ligne de mire et la ligne de mort dans la main autoritaire et [...] la ridicule statue vivante de ses petites jambes courtes et de son buste long mais ne parvenant pas malgré son bon sourire de Caudillo grandiose et magnanime à cacher les irrémédiables et pitoyables signes de la peur de l’ennui de la haine et de la connerie gravés sur son masque de viande fauve et blême comme les graffiti obscènes de la mégalomanie gravés par les lamentables

Khomeyni comme le Coran ascendant – sans jeu de mot. En tant 442/518 que tel, il dispose des mêmes qualités que le pape, à savoir l’infaillibilité. Guide spirituel, il est aussi guide politique. Comme en leurs temps le führer, le duce, le caudillo, le conducator, le timonier, le dignitaire musulman dit la loi : logique performative. Il dispose du monopole de la lecture correcte du livre saint, lui seul est habilité à prélever comme il l’entend ce qui justifie une théocratie intégrale

fondo de su alma, se revolvió su sangre itálica, y lo que hasta entonces adorara ciegamente le resultó extraño e indiferente —toda su ardiente vida alejandrina— y dijo: «Que no le lloren. No es digno esto de él. Mejor, exaltar su memoria, el gran caudillo que fue y que tantos y tantos bienes conquistó. Y si ahora ha caído, no es de modo miserable, sino como un romano al que vence otro romano.» 54* 27 DE JUNIO DE 1906, 2 p.m. (Enero 1908) Cuando los cristianos llevaron a la horca al inocente

habían terminado montándose unos encima de otros; corrían, daban la vuelta, inclusive antes de recibir el choque del rival. Muy pronto quedó en pie únicamente un grupo embravecido y hormigueante del que sobresalía, a ratos, la venda blanca del nuevo caudillo. Entonces, el gran Meaulnes no pudo contenerse más, agachó la cabeza, puso las manos sobre su cintura y me gritó: -¡Vamos allá, François! A pegar de que la rápida e inesperada decisión me sorprendió, salté sin dudas sobre sus hombros, y en un instante

tacite mais intéressante. Les affrontements de Corée étaient oubliés en vertu du principe : « Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. » La guerre froide connut cependant un dernier orage : la crise de Cuba. Paradoxalement, l’île révoltée contre un caudillo corrompu et cruel, Batista, était devenue communiste. Le leader de la révolte, élève des jésuites, n’était pas communiste. Mais la bêtise obstinée de la domination américaine le poussa bientôt à le devenir, recherchant pour cela la protection russe