Cause Du Bipartisme

matière de souveraineté nationale, on parle de l'électorat fonction. Cela veut dire qu'une fois le représentant une fois élu exerce librement le mandat qui lui a été confié jusqu'à son terme. En particulier, les électeurs ne peuvent pas remettre en cause le mandat qu'ils ont confiés et ne peuvent utiliser de procédures de rappel. On ne peut pas reprocher à un représentant en cours de mandat de ne pas respecter ses engagements. Souveraineté populaire Dans cette conception, chaque membre du peuple

dynamique politique va s’agencer en fonction de cette entreprise. Les compétiteurs ont des programmes dépendant des idéologies, font valoir l’usage qu’ils feront du pouvoir lorsqu’ils l’auront acquis, mais toute cette agitation qui semble mettre en cause l’exercice du pouvoir a d’abord pour raison d’être de galvaniser les forces qui permettront de s’en emparer. La primauté attribuée à la lutte s’explique en second lieu par le fait que ses péripéties n’affectaient pas directement le fonctionnement

représenté. 1) L’objet du mandat représentatif L’objet du mandat est ce qui est confié aux représentants. C’est tout simplement l’exercice de la souveraineté. En matière d’exercice de la souveraineté, toutes les fonctions de l’Etat ne sont pas en cause, seule la fonction législative leur est confiée. La loi est l’expression de la volonté du souverain : 1ère conséquence : seuls les organes législatifs ont la qualité de représentants du souverain. 2ème conséquence : toutes les autorités législatives

présidents conservateurs Le 1ier Warren Burger puis ensuite a partir de 86 William Rehnquist a été nommé par Reagan mais malgré ses nomination de présidents conservateurs la cour a persévéré dans une voie modérément libérale ; Elle n’a pas remis en cause les acquis , a même admis l’avortement en 1969 , interdit les discriminations à l’égard des homo en 1973 et en 1974 a concourue à la chute d’un présidents conservateur , Nixon, en rendant une affaire célèbre celle du Watergate . Il est vrai que l’expérience

Etat / particulier). Le Droit public inclus le Droit Constitutionnel. 2. Droit Constitutionnel et science politique Jusqu’au début du XX siècle, Droit constitutionnel et science politique ne formaient qu’une seule et même discipline, à cause de deux facteurs : - la science politique se donnait pour tâche de découvrir le meilleur système de gouvernement. Elle avait donc pour contenu un ensemble de prescriptions qui, lorsqu’elles étaient précisent, pouvaient prendre l’apparence de règles

tractations politiques. Quant à l’effet sur le parti politique on peut citer ici les trois lois de Duverger le scrutin majoritaire absolu mène au bipartisme en effet l’obligation de se prononcer de choisir en un seul tour conduit l’électeur vers l’un des deux partis politiques qui existe. Deuxième loi le scrutin majoritaire à deux tours conduit au bipartisme dépendant ce la signifie qu’au premier tour les électeurs vont choisir le parti qui corresponde à leur idéologie et au second tour ils se prononceront

vie de moins de six mois en moyenne. Mais il est nécessaire de se pencher sur les facteurs de l’instabilité politique de l’époque. * A / La majorité parlementaire fictive. On observe une absence de majorité au sien du législatif, et cela à cause du système de partis politique. On pouvait compter près d’une quinzaine de formations politiques représentées à l’Assemblée Nationale. De plus, les gouvernements étaient obligés de s’appuyer sur des coalitions regroupant au moins quatre ou cinq de

mutuellement indépendantes. La séparation des pouvoirs est dite rigide car d’une part, il y a l’accent sur la spécialisation des compétences des différents pouvoirs, et d’autre part, l’absence de moyens réciproque permet à l’un des organes de remettre en cause l’existence de l’autre. Les différents pouvoirs ne disposent pas des différents moyens de pressions pour influencer les autres pouvoirs. Dans la séparation stricte des pouvoirs, le législatif,

dictature, le Comité de Salut public chargé de l’exécutif dominant l’assemblée. Robespierre alors membre, exerce la réalité du pouvoir (= La Terreur) avant la révolte de la majeure partie de ce comité. La constitution de 1793, jamais appliquée à cause des guerres, proposait un système proche du régime d’assemblée = prééminence accordée à une assemblée. Suisse = exemple de régime d’assemblée. Assemblée fédérale -> Conseil National + Conseil des États Section 1 : Le régime présidentiel, l’exemple

régional. - les collectivités territoriales disposent de ressources propres, elles ont leur propre budget pour exercer leurs compétences. Toutefois, la décentralisation se situe dans le cadre d’un Etat unitaire donc elle ne doit pas remettre en cause l’unité et l’indivisibilité de l’Etat. Dans ces conditions, l’Etat aura un droit de regard sur les décisions prises par les collectivités territoriales décentralisées. Les collectivités territoriales n’ont pas le droit de faire de lois car seul le