Causerie Triste

métaphore peut être très proche formellement de la comparaison : quand le comparant est présent, on parle alors de métaphore in praesentia  : « Vous êtes un ciel d’automne clair et rose » (Baudelaire, « Causerie » in les Fleurs du mal ) Ou plus coulée« Dans le ruisseau, il y a une chanson qui coule » (Pierre Reverdy, « Surprise d’en haut ») Ou plus fulgurante quand le comparant ou le comparé ne sont pas explicitement

Clairvaux, Claude Gueux fut numéroté dans un atelier et rivé à une besogne. Le directeur de l’atelier fit connaissance avec lui, le reconnut bon ouvrier, et le traita bien. Il paraît même qu’un jour, étant de bonne. humeur, et voyant Claude Gueux fort triste, car cet homme pensait toujours à celle qu’il appelait sa femme, il lui conta, par manière de jovialité et de passe-temps, et aussi pour le consoler, que cette malheureuse s’était faite fille publique. Claude demanda froidement ce qu’était devenu

_________________________________________________________________________________ lgies Pomes -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Chnier dpassa les simples causeries en vers de ses dbuts pour entretenir avec ses Muses un dialogue productif Par vous la rverie errante, vagabonde, Livre vos favoris la nature et le monde. Par vous, mon me au gr de ses illusions Vole et franchit les temps, les mers

: « Point de soleil. Trois pièces, un cabinet sombre, la cuisine de l’autre côté du palier, le tout coûtait quatorze cents francs l’an. […] Sombre, attrayant comme sont certains lieux qui ont étouffé trop d’âmes, je crois que ce petit logis était triste » (Mes apprentissages). Colette y lit beaucoup. Elle est affectée par les infidélités de Willy. Dans son sillage elle accède aux salons littéraires et musicaux, chez Mme de Caillavet, Rachilde, Mme de Saint-Marceaux : elle y croisera Anatole France

... (point admiratif et six points : on est assez religieux au | |Palais pour nous le passer), et sa première pensée fut, ainsi que le prouve la date de l'ordonnance ci-dessous désignée, | |de réparer les infortunes causées par les affreux et tristes désastres de nos temps révolutionnaires, en restituant à ses | |fidèles et nombreux serviteurs (nombreux est une flatterie qui doit plaire au Tribunal) tous leurs biens non vendus, soit | |qu'ils se trouvassent dans le domaine public, soit qu'ils

lien d’amitié et de symphatie ce qui est dû aux préférences et le goût communs. Dans les conversations avec Rhodophe il manque de véritable échange de pensées et de sentiments puisque pour son amant le langage ne sert qu’à la séduire. Les causéries avec le curé, Lheureux ou le notaire ne s’avouaient que l’incompréhension parce que chacun d’eux s’occupe seulement de son propre point de vue ou de son propre interêt. 2 Dialogue et contrepoint Le dialogue, même très banal ou mal à propos

renforce encore la fonction spéculaire du proverbe, invitant ainsi le spectateur à se reconnaître dans des situations mimant la réalité de la vie et les situations de communication propres à tout un chacun : la conversation, le badinage mondain, la causerie galante ou même l'adresse lyrique à Dieu ou à la Nature... Le langage voulu par Musset est donc bien celui du coeur, en partie on l'a vu, dans la proximité de sa personne avec les caractéristiques des personnages. Mais la caractérisation des personnages

ils étaient bien seuls, et la veillée Leur semblait longue. Assis près de l’âtre et rêvant, Tandis qu’ils écoutaient les longs sanglots du vent Et la mer se brisant aux rochers des presqu’îles, Un nuage passait sur leurs âmes tranquilles. La causerie avec le foyer s’éteignait. Le vieux prêtre fermait son livre, et se signait Comme contre un désir coupable et qu’on repousse ; Le vétéran vidait sa pipe sur son pouce ; Et tous deux se taisaient, songeant qu’ils étaient seuls Et que tous ces

admirateur de Schopenhauer. Son œuvre est protéiforme et propose mille voies interprétatives et elle est avant tout une œuvre d'art qui, par définition, cherche donc à susciter une émotion esthétique. Maupassant n'écrivait-il pas dans sa chronique « Causerie triste » (Le Gaulois, 1884) : « Qu'est-ce donc qui soutient l'homme ? Qui le fait aimer la vie, rire, s'amuser, être heureux ? L'illusion. Elle nous enveloppe et nous berce. » ?

se d it o e u homme tiraillé par ses remords, qui le plongent dans une profonde mélancolie. Il pa ait he he u o e de s’e d faire. LV. CAUSERIE Il semble exprimer que ses elatio s ave les fe es l’o t less i t ieu e e t et l’o t e du t iste et faible. LVI. CHANT D’AUTOMNE I. L’auteu t aduit l’at osph e de l’auto e. Cette saison est triste et sonne la fi de l’ t . II. L’auto e le e d aussade et il o t e u’il p f e l’ t , plus rayonnant. LVII. A UNE MADONE L’auteu se le d i