Causes De La Rigidité Des Salaires Sur Le Marché Du Travail En France

1.3 L’école classique française . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2 La pensée de Marx . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2.1 La position de Marx face aux classiques . . . . . . . . . . . . 1.2.2 La théorie de la valeur-travail et la notion d’exploitation . . . 1.2.3 L’inéluctabilité de la crise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3 Les néoclassiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3.1 Un renouveau de l’école classique . . . . . . . . . . .

enjeux de la croissance Si la croissance apparaît comme une condition nécessaire du développement, elle n’en constitue pas une cause suffisante. Certes la croissance génère des revenus et une augmentation du niveau de vie (le PIB se distribue en salaires, profits et impôts = approche par les revenus). De même, la croissance permet de dégager des ressources suffisantes pour que l’Etat puisse assurer des dépenses d’éducation, d’infrastructures ou de santé généralement associé au développement (croissance

capitalisme 12 c. Le capitalisme au XXe siècle 14 d. L'avenir du capitalisme 15 e. Les limites du capitalisme 16 IV. L'économie de marché 17 a. Un concept théorique 17 b. La systématisation de l'économie de marché 18 c. Economie de marché et concurrence 20 d. Les imperfections des marchés 21 V. L'économie mondiale 23 a. L'évolution de l'économie mondiale 24 b. Economie mondiale et globalisation financière 26

pressions exercées par les coûts salariaux à proximité du pleinemploi, ont été tour à tour invoqués. Les uns ont donc accusé l'interventionnisme de l'Etat dans le domaine monétaire, les autres l'insuffisance de cette intervention dans le contrôle des salaires, ou plus généralement des revenus et des prix. La persistance, depuis plusieurs années, de la coexistence de taux de chômage et de taux d'inflation élevés a nécessité une révision de ces théories qui n'a pas apporté d'éléments décisifs de crédibilité

4 – LES ENJEUX DE L’OUVERTURE INTERNATIONALE 41 – INTERNATIONALISATION DES ECHANGES ET MONDIALISATION A – Le marché mondial est-il un facteur de croissance et de développement ? 1 – La mondialisation est un phénomène historique a) – Les différents aspects de la mondialisation 1 – Depuis le début des années 1990, la « mondialisation » désigne une nouvelle phase dans l’intégration planétaire des phénomènes économiques, financiers, écologiques et culturels. Un examen attentif montre que ce phénomène

Le PIB souffre d’imperfections dans sa mesure : - Economie souterraine : Le PIB ne comptabilise pas la partie des biens et des services produits dans ce cadre. Elle peut être légale (activité domestique, service entre voisins) ou illégale (travail au noir). - Le PIB ne prend pas en compte les externalités positives ou négatives de croissance donc il n’y a pas de mesure en terme de développement durable. - L’évolution du PIB dépend en partie des prix relatifs des produits. Le

BULLETIN DE LA BANQUE DE FRANCE 1er trimestre 2014 195 102–195 Sommaire Études L’évolution de la monnaie et du crédit en 2013 Côme ROERO Le taux de croissance annuel de l’agrégat monétaire M3 de la zone euro s’établit à + 1,0 % en 2013, après + 3,5 % en 2012. La composante française de M3 ralentit également, passant de + 2,4 % en 2012 à + 0,9 % en 2013. En 2013, le crédit aux ménages et le crédit aux sociétés non financières sont plus dynamiques en France que dans la zone euro

pays. e Le cadre de r´f´rence que l’on utilise pour d´finir ces indicateurs macro´conomiques est ee e e issu de la comptabilit´ nationale qui ´tablit un certain nombre de concepts ` l’aide desquels e e a elle construit des statistiques ´conomiques. En France, l’INSEE construit des statistiques e qui permettent d’avoir une vue d’ensemble de l’´conomie. e Dans ce chapitre, nous utilisons des identit´s comptables qui d´crivent des relations e e entres les variables ´conomiques et qui sont vraies par d´finition

étrange de prime abord. Mais en fait ménage et économie ont beaucoup en commun. Un ménage doit faire face à de nombreuses décisions. Il doit décider quels membres de la maisonnée seront affectés à telle ou telle tâche et ce que chacun retirera de son travail : qui prépare les dîners ? Qui aura le dernier dessert ce soir ? Qui décidera du programme télé de la soirée ? Bref, la maisonnée doit allouer ses rares ressources entre ses membres, en tenant compte des capacités de chacun, de ses efforts et de ses

répondre à ces questions. Pour répondre à ces questions, la science économique va utiliser une démarche scientifique qui cherche à mettre dans un premier temps en valeur des données objectives, càd des rapports constants qui sont pour les unes des causes et pour les autres des conséquences. Par exemple la fonction de consommation de Keynes donne une réponse sur la propension à consommer. Il y a donc une corrélation entre le revenu d'une nation et sa consommation. Cela permet de construire les modèles