Causes Et Conséquences Délocalisation

mondialisation est un processus inachevé et on ignore encore toutes les caractéristiques et les conséquences sur l’organisation du monde tant actuel qu’à venir. Elle est un sujet de questionnement et de débats : est-elle la cause de l’aggravation des inégalités sociales et économiques, de la dégradation de l’environnement…des guerres… ? Y’a-t-il une autre façon de penser l’espace mondial ? I- les conséquences néfastes de la mondialisation en débat : A- l’aggravation des inégalités économiques

6 2) Les conséquences de la crise financière de 2008 par rapport au surendettement. 7 III/ La place du surendettement dans la société de consommation en France. 8 1/ Qu'est-ce qui poussent les gens à s'endetter ? 8 2) Gérer son budget et ne pas surconsommer 9

Le stress au travail dans l’enseignement REMERCIEMENTS Sommaire I.En général 8 a.Qu’est ce que le stress au travail  8 b.Les causes du stress au travail  9 c.Les conséquences du stress au travail pour le salarié 9 d.Les conséquences et le coût du stress au travail pour les entreprises 10 e.Le burnout et le borout 11 f.Le coping 12 II.Le corps enseignant 12 a.Comment se traduit ce malaise ? 14 b.Comment y remédier ? 16

Chapitre III – Nos sociétés sont conflictuelles. Travail préalable : enquête personnelle sur un conflit social. + power point prof. Les conflits sociaux : définitions, causes, moyens d’expression, déroulement… |Lieu du conflit et éventuellement nom des acteurs concernés et activité | |Origine (s) du conflit | |Acteurs en présence

La mondialisation en fonctionnement. La mondialisation c’est l’échange généralisé entre les différentes parties de la planète, par sa mise en œuvre spatiale et par les conséquences qu’elle génère, elle bouleverse l’économie mondiale. I- Processus et acteurs de la mondialisation A- La mondialisation : clé d’analyse 1- Les étapes de la mondialisation - Le terme mondialisation est apparut au XX° siècle mais ce processus existe depuis longtemps (route de la soie entre Europe et Asie

les deux continents où la tuberculose touche le plus de personnes ? Dans quelles régions du monde cette maladie progresse-t-elle depuis 1990 ? 2) Doc 3 et 5 : Dans quelle région du monde le sida est-il le plus répandu ? Quelles sont les deux conséquences du sida pour le Sud de l’Afrique ? 3) Doc 2 : Pourquoi les maladies sont-elles plus répandues et plus mortelles dans les pays pauvres que dans les pays riches ? Quelle est la solution évoquée dans le texte ? Trace écrite : Les différences

des différentes régions du monde (globalisation de l’économie, développement à l’échelle mondiale des sociétés de consommation via la mise en place du capitalisme libéral et du libre échange), créant une interdépendance entre elles (échanges, délocalisations), par le biais des différents types de flux internationalisés (multiplication des échanges internationaux. Ce sont les progrès successifs des transports et des communications qui ont favorisés son processus. En effet, à partir de 1945, ce dernier

faire tout seul, personne ne payera pour entretenir le climat → défaillances de marché ne permettent pas une allocat° optimale des ressources, donc mise en place d’une action collective. 2- La présence d’externalités négatives. Externalités = Conséquence positive ou négative pour un agent économique de l’activité d’autres agents économiques sans que ceux-ci n’en retirent un gain ou n’en supportent les coûts. En cas d’externalités négatives, coût individuel < coût social collectif et bénèf privé

recettes et ses dépenses. 4) Risque systémique : Le risque systémique, ou la crise systémique sont des expressions utilisées en finance où le terme systémique exprime un changement d'échelle, une prise en considération globale du mécanisme et de ses causes, et qui inclut donc l'environnement dans lequel il s'inscrit. Le risque systémique est la probabilité d'occurrence d'un dysfonctionnement paralysant l'ensemble du système financier dans une vaste zone ou dans le monde entier, par le biais des engagements

effet sur l’emploi et la croissance ? « Rien n’est moins sûr, conclut Patrick Artus. Cette baisse […] réduit l’emploi et la masse salariale ainsi que la demande intérieure. D’un autre côté, cette politique améliore la compétitivité et limite les délocalisations : le solde des deux effets est donc difficile à évaluer. » Catherine Rollot, « Le coût du travail, une fausse évidence à manipuler avec précaution », Le Monde, 14 septembre 2004 DOCUMENT 3: Le régime de croissance fordiste Michel Aglietta