Cavour Et Unité Italienne

démocratie) en « Italie ». D'où l'importance d'avoir une unité italienne. Mais le sentiment d'appartenance à l'Italie n'existe pas vraiment. Il va se développer après cette révolution (notamment chez la bourgeoisie et les artisans). Cependant, le taux d'analphabétisme est encore très important. Un pays empêche l'unification : l'Autriche. Cette opposition va augmenter le processus d'unification. Le concept de Nation italienne précède la Nation italienne même. Il existe 2 possibilités à l'unification :

des canons. Document 3 : L’hymne de Mameli (L’hymne national italien) 1) Pourquoi parle-t-il de Scipion ? Avec le heaume de Scipion: Goffredo Mameli comme toutes les personnes éduquées de son temps possède une solide culture classique. Le Scipion auquel il fait référence ici est Scipion l’Africain, général romain vainqueur des Carthaginois à Zama, bataille décisive des guerres puniques. D’une manière générale, les patriotes italiens faisaient constamment référence à la grandeur de la Rome antique

ou industrialisation ? Débats sur le rythme des transitions. Rupture ou continuité ? De la révolte à la réforme : le siècle des révolutions 1er et 2ème XIXème siècle : 1er : vague de révolutions : 1820’s : étudiants allemands, espagnols, italiens. 1830’s : prise d’ampleur. Révolution en France, belges, Pologne. Demande des Nations pour un Etat, demande de libertés. 1848 : l’Europe s’enflamme, demande libertés, droits sociaux. Libéralisation des systèmes. 2ème : réformes, entrée dans la logique

et péninsule italienne. Il n’existe pas d’État = Allemagne 30 États, Italie 8 États. Grande aspiration à la nationalité par les libéraux, romantiques et démocrates. Les Empires multinationaux : constructions très anciennes autour de dynasties à la suite de conquêtes = 1 nation dominante et des nations dominées. Empire d’Autriche : dynastie des Habsbourg, nation dominante : Autrichiens. Dominés : hongrois, tchèques, slovaques, slovènes, croates, une partie des polonais, italiens, ruthènes, minorité

À partir de 1832, le Consiglio d’Ornato donne à la ville une remarquable unité stylistique (port, place Masséna). Nice se développe lentement sur la rive droite du Paillon et le long de la route de France et de la promenade des Anglais (1822).
Le roi Charles Albert veut chasser les Autrichiens du Nord de l’Italie : il sera battu à Novare, et en 1849, il doit abdiquer. Son successeur, Victor Emmanuel II et son ministre Cavour, se tournent vers Napoléon III. En contrepartie de son soutien militaire

multinationaux on veut l’autonomie ou l’indépendance - dans les états infra nationaux : la nation recherche son unité - dans les espaces allemand et italien morcelés politiquement : revendication de réaliser l'unité nationale. 2- La naissance de l'Italie L'unité et la création d'un état italien se font autour du roi Victor-Emmanuel du royaume de Piémont Sardaigne et grâce à son 1er ministre Cavour. Alliance avec la France en mai 1859 contre l'empire d'Autriche (en échange de Nice et de la Savoie)

voir 2 courants d’idées Le courant nationaliste Ce sont des nations qui revendiquent leur indépendance, et de la liberté Ex : _ Les polonais qui en veulent aux Russes [Projet de la Prusse : à long terme l’unification de l’Allemagne] _Les Italiens sous domination Autrichienne _Les Grecs sous domination turque, ottomane. _Autres peuples soumis aux Turcs dans les Balkans (Roumains, Serbes, Bulgares) _Belges sous domination hollandaise Toutes ces nations dominées invoquent le droit des

carte en faisant disparaître des frontières et en créant d'autres au détriment d'autres états donc (Autriche notamment). 1 – L'Italie napoléonienne en 1812 On trouve deux modes de domination sur l'Italie : – l'annexion (direct), où des territoires italiens font directement partie de l'Empire français. On crée donc de nouveaux départements. Au total entre 1802 et 1809, 15 nouveaux départements seront créés (anciennes républiques de 1802), comprenant le Piémont, la Ligurie, la Toscane, Rome (Napoléon

peuples à disposer d’eux même au sein d’une nation qui prend alors son sens moderne. Avec celui-ci, la nation ne s’incarne plus seulement à travers la figure royale mais prend une dimension universelle et désigne une communauté, consciente de son unité et de ses particularismes et désireuse de prendre en main son destin politique. Le nationalisme n’est pas ici un antonyme du libéralisme, et peut même s’avérer être étroitement lié avec ce dernier. En effet, les revendications d’émancipation des peuples

s'effondrer et le chômage progresser. Les paysans attendent la réforme agraire. Le gouvernement est incapable de prendre la moindre réforme et en 1919, les usines sont occupées et les paysans se partagent les terres des grands propriétaires. + Les italiens sont déçus par les conclusions de la guerre, car ils ne reçoivent pas les territoires promis par les alliés. Les mouvements nationalistes et extrémistes prennent de l'ampleur tandis que les partis traditionnels ne peuvent s'entendre. Mussolini