Ccf Reunion Face Au Risque

Partant de cette nouvelle approche , le secteur bancaire se devait d’entrer en compétition au sein même du système bancaire d’une part, et avec d’autres sources de financement, de l’autre . Mes dames et messieurs Notre économie fait face aujourd’hui à de nouveaux défis, aussi bien au niveau interne qu’externe. Il est nécessaire , au plan interne, de réaliser un taux de croissance à même de répondre aux besoins et exigences des populations en matière d’enseignement , de santé

négociations préliminaires en Chine avec le groupe aéronautique public Avic pour, soit y implanter une chaîne d’assemblage à l’image de celle d’Airbus, soit y participer à la conception d’un avion d’affaires. PaGe 14 Andorre : 1,60 €. Antilles, Réunion, Guyanne : 2 €. Belgique : 1,50 €. Canada : 3,95 DC. Espagne : 1,60 €. G-B : 1,10 £. Hongrie : 820 HUF. Italie : 1,90 €. Liban : 4000 LBP. Luxembourg : 1,50 €. Maroc : 15Dh. Portugal : 2 €. Suisse : 2,60 FS. Tunisie : 2.20 TND. USA : 2,75 $. Zone

Activités et performances de la banque au 30/09/2006 4.5.1. Les indicateurs trimestriels comparés au 30/09/2006 4.5.2. Notes aux indicateurs d’activité de la BIAT au 30/09/2006 4.6. Matrice SWOT ( forces, faiblesses, opportunités et risques) 4.7. Facteurs de risque et nature spéculative de l’activité de la Banque 4.8. Dépendance de l’émetteur 4.9. Litige ou arbitrage 4.10. Politique d’investissement de la banque 100 100 100 101 101 102 102 103 103 103 104 104 104 104 105 105 106 106 107 107 108

en abordant ses prolongements à travers les comptes trimestriels, les comptes régionaux ou les comptes satellites. Terminons par les conseils méthodologiques d’usage à tout début de cours, d’autant plus importants qu’ici vous êtes le plus souvent face à vous-même pour travailler, sans l’interlocuteur régulier qu’est l’enseignant en cours traditionnel : travaillez le plus régulièrement possible, et gardez l’habitude d’apprendre par cœur les définitions et les principaux concepts ou modes de calcul

des ménages à faible revenu. q  Participation encore insuffisante des banques au financement du logement malgré la disponibilité d’excédents de liquidités. 405** Plus de 3 fois l’encours actuel Les banques ne peuvent supporter le risque de taux dans ce type de scénario. Il faudra développer des ressources longues : q  Faible exposition des banques au crédit immobilier. q  Absence de financement à long terme du logement (20 à 25 ans maximum). q  Instruments de prêt relativement

.................................................................... 46 4.2 GROUPE ONA (COMPTES CONSOLIDES) ............................................................................................................. 47 PARTIE VII : FACTEURS DE RISQUES............................................................................................................. 49 PARTIE VIII : FAITS EXCEPTIONNELS ET LITIGES ................................................................................... 51 PARTIE

Loi 1981 ) Doc. 26 Com 4 juillet 1995 Privilégie règles de la Cvt° de compte courant entre le banquier réceptionnaire et cédant) Cessionnaire SDBO Cession Dailly Débiteurs cédés CHU Marine INA Ø Cédant Sct MAT Banque réceptionnaire CCF CA accueille l’action du cessionnaire contre la Banque receptionnaire CASS : cassation sur fondement règle mandat et dépôt (Art. 1937 et 1993). TD – S6 - Cession de créance & S7 – Subrogation & S8 – Délégation & S9 - Solidarité 10/35 COMMENTAIRECOMPARÉ

Afin de recueillir un maximum d’informations, les communications avec les clients seront flexibles et l’entreprise sera suffisamment souple pour proposer des services adaptés aux besoins spécifiques. C’est ainsi le cas de la Banque Chaix, Filiale du CCF, dont l’obsession est de faire simple dans la présentation des produits mais aussi de ne pas vouloir tout faire, ce qui exige de ne s’intéresser qu’aux besoins essentiels de ses clients et de se remettre en question en permanence. Tout comme la grande

consolidé Variations des capitaux propres consolidés Résultat global consolidé Annexe aux comptes consolidés p. 181 p. p. p. p. p. p. p. 182 184 185 186 187 188 189 4 FACTEURS DE RISQUES Risques de marché Risques industriels ou liés à l’environnement Autres risques Assurances et couverture des risques p. 73 p. 74 p. 83 p. 85 p. 91 10 ANNEXE 2 – INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES SUR L’ACTIVITÉ D’HYDROCARBURES p. 269 (NON AUDITÉES) Informations sur l’activité d’hydrocarbures au titre

renforçant la solidité des groupes bancaires. Pour autant toute menace n’est pas écartée, la BCE elle-même et les marchés financiers pointent du doigt le risque souverain. Les banques pâtiront en outre d’une conjoncture économique morose en 2011. Cette dernière induira un ralentissement de la croissance des PNB. Reste que la baisse du coût du risque et des provisions conjuguée aux efforts des banques pour maîtriser leurs coûts devrait continuer de tirer leurs bénéfices vers le haut. Les établissements