Ce Qui Creve Mes Yeux

Au fil de ses recherches, il découvre qu'il est lui-même le meurtrier, que c'est son véritable père qu'il a tué, et qu'il a en outre épousé sa mère. Selon les textes, le sort des personnages varie alors. Dans la plupart des cas, Œdipe se crève lui-même les yeux pour ne plus voir ses crimes. Parfois il reste à Thèbes définitivement (Odyssée), mais le plus souvent il part en exil, soit avant (Œdipe roi, Œdipe à Colone), soit après la mort de ses deux fils (les Phéniciennes). Dans l'Œdipe à Colone,

deux fils ( Étéocle et Polynice ) et deux filles ( Ismène etAntigone ). Les dieux envoient la peste dans Thèbes pour punir cette cité dans laquelle tant de crimes ont été commis. Après les révélations de Tirésias, Œdipe découvre la vérité, se crève les yeux, et part en exil à Colone. Il sera guidé par sa fille Antigone. Jocaste se pend. Pendant l’exil d’Œdipe, une guerre éclate entre les deux frères, Étéocle et Polynice qui veulent tous deux le pouvoir ( autre grand sujet de la littérature : les

navires vers les récifs (Ulysse, prévenu par Circé, demande à son équipage de se boucher les oreilles avec de la cire ; quant à lui, il se fait attacher au mât du bateau) ; celui de la lutte contre le cyclope Polyphème, un fils de Poséidon à qui il crève l'œil avec un pieu après l'avoir enivré (le cyclope, blessé, lança d'énormes rochers en direction d'Ulysse qui le manquèrent et s'abimèrent dans la mer Ionienne où ils sont encore visibles) ; celui de la nymphe Calypso le gardant sur son île durant

déchiffrer et délivre ainsi la ville du monstre. Il épousa Jocaste, sa mère. Il eut par la suite 4 enfants, Etéocle, Polynice, Ismène et Antigone. La prophétie s’est donc réalisée. Après qu'Œdipe réalise qu'il a tué son père et épousé sa mère, il se crève les yeux, lègue le trône à ses deux fils qui devraient gouverner en alternant chaque année, et part avec Antigone, sa fille, errant dans les rues, mendiant sa nourriture sur les routes. Celle-ci lui sert de guide et veille sur lui jusqu'à la fin de son

l'auteur lui même. La technique narrative adoptée est celle de l'emploi de la deuxième personne du singulier durant tout le roman . En effet, il s'agit ici de la particularité de l'œuvre ; les personnages principaux sont cités en « tu » : « Tes yeux . Immenses. Ton regard doux et patient où brûle ce feu qui te consume» sont les premières phrases qui ouvrent le roman et qui entament la première histoire . En ce qui concerne l'histoire du jeune homme et la seconde partie du roman , on trouve ceci

c’est en quelque sote une irrésistible nécessité des faits et des choses; pour les Anciens c'était la loi du Destin ou bien sa volonté: et comme celui-ci, , était l'enchaînement éternel des causes, la raison des choses, la fatalité devenait à leurs yeux une sorte de providence. Dans le roman il y a donc la présence d’un destin tout-puissant dans cette notion de fatalité auquel l’homme ne peut combattre. Tout cela définit le tragique. Faisons maintenant le parallèle entre cette définition, et «Les

Mais durant ce danger un écueil je trouvai, Qui brisa ma nacelle, et moi je me sauvai, À force de nager évitant le naufrage. Philippe Desportes, Les Amours de Diane 1573. III. Ma Boheme (1870) Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ; Mon paletot aussi devenait idéal ; J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal ; Oh ! là là ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon

fonction de son épilogue ou des connaissances que l'on a, des motivations qui lui ont donné naissance. L'image de l'albatros capturé évoque l'idée d'un être totalement étranger au monde qui l’entoure, et donc comme Victor Hugo lors de son voyage : « les yeux fixés sur mes pensées, sans rien voir au dehors » «  Sans entendre aucun bruit ». « L’ombre des anges » d’Isaac Lerutan , est un poème d’amour dans une tournure de voyage qui se répète infiniment comme une belle preuve d’amour . J’ai beaucoup aimé

rode maintenant comme une louve à travers l'appartement, allongeant le pas, braquant ses yeux, deux poignards sur les pendules. Elle fait halte dans la chambre de sa fille, ou il n'y a ni lit personnel ni clef personnelle. Ouvre l'armoire et flanque en l'ai ces vêtements achetés bêtement [...]. Des son lever le lendemain matin, avant d'aller au conservatoire, la fille devra tout ranger. Ces vêtements sont aux yeux de la mère autant s'indices de l'égoïsme et de l'obstination d’Erika. Egoïsme que dénote

installé, Le monde est à ses pieds. Sournois et insidieux, Il impose sa loi, Et plus que tous les dieux, Il est le maître roi. Tyran du dernier âge, Il n'a pas de visage. Et il n'a pas de coeur, Et il n'a pas d'odeur. Et il n'a pas pas de foi, "Marche ou crève" est sa loi. Impitoyablement, Il vole l'âme des gens. Le monstre est bien vivant JEAN DE L'ESPINE l'ARGENT 2. Qui argent a, la guerre il entretient, Qui argent a, chacun lui fait honneur : C'est monseigneur ; Qui argent a, les dames il maintient