Celimene

suffisance : chacun se déclare le préféré de Célimène. Plutôt que de se quereller, ils s’engagent l’un et l’autre à céder la place devant une marque certaine de cette préférence. Arsinoé : Acte 3, scène 3, 4et 5. On voit apparaître le personnage en connaissant ses caractéristiques grâce à Célimène. C'est Arsinoé qui est demandeuse de l'entrevue, on croit alors qu'elle va diriger les choses et prétend ne pas s'attarder. Mais Arsinoé est victime des propos de Célimène. Celle-ci se débarrasse d'Arsinoé mais

LE MISANTHROPE ACTE IV scène 3 I/LA REACTION D'ACLCESTE: a)Un amour lucide: Alceste comprend parfaitement qu'il est manipulé et que Célimène se joue de ses sentiments en lui retournant ses accusations sans y répondre avec une certaine cruauté comme le montrent les vers 1374/1376: "C'est moins que l'on me veut plaindre et c'est moi qu'on querelle", avec en plus un ton grave et douloureux encore, l'amour le rend faible, incapable de rompre. En contradictions avec ses propos valorisants. Il emporte

les mœurs) qui apparaît sur les tréteaux italiens dès les années 1620 en France, au sujet de la comédie. Personnages.  Alceste, amant de Célimène  Philinte, ami d’Alceste  Oronte, amant de Célimène  Célimène, amante d’Alceste  Éliante, cousine de Célimène  Arsinoé, amie de Célimène  Acaste, marquis  Clitandre, marquis  Basque, valet de Célimène  Un garde de la maréchaussée de France  Du Bois, valet d’Alceste. Argument. Alceste, idéaliste, prétend se comporter sans hypocrisie

allons avoir une galerie de portraits successifs, et le jeu consiste à lancer un nom à Célimène pour que Célimène dresse un portrait sur le défaut du personnage. Vient le portrait de Cléon, lancé par Clitandre. Phlinte pense que cela va être dur de dresser un portrait de lui car tout le monde en dit du bien… Plan I - Portrait de Cléon. II - Portrait de Damis. Etude I - Portrait de Cléon. Célimène à il n’a aucun mérite, tout en revient à son cuisinier (métaphore filée cuisine/personnage)

L'hypocrisie : elle est illustrée par Célimène, pour qui les faux-semblants amoureux font partie de la vie sociale, et peuvent être exploités pour favoriser ses intérêts. Dans la première scène, elle expose à Alceste sa conception de l'amour. Elle lui avoue qu'elle l'aime, mais refuse de se couper du monde et de la cour. De même, on peut douter de la sincérité des sentiments de Célimène envers Alceste. La société du paraître : c'est le monde de la cour, représenté par Acaste et Clitandre. Les deux

un atrabilaire qui devient amoureux mais un amoureux qui devient atrabilaire. Autrement dit « le noir chagrin » d’Alceste n’est pas structurel mais conjoncturel. C’est parce qu’il souffre de n’avoir pas de preuves assez certaines de l’amour de Célimène qu’il projette sur le monde sa propre souffrance (comme Rousseau- son ardent défenseur- relisait l’Histoire de l’Humanité – la dégradation de l’âge d’or à l’âge de fer- à l’aune de son propre parcours). Ne pas emprisonner le personnage dans un

lorsqu’on vient d’en rire, on devrait en pleurer ! » Le Misanthrope de Molière est une pièce de théâtre composée de cinq actes et écrite en vers. Alceste le protagoniste, qui est un jeune homme qui prône la sincérité absolue, est amoureux de Célimène, qui elle aime plaire et il ne supporte pas que celle-ci rencontre bien des hommes dans son salon. Cette histoire d’amour sans avenir amène Alceste à se retirer du monde, car celui-ci lui semble trop hypocrite. Molière par son génie nous fait rire

Molière avait su dire tout haut ce que le roi pensait. Molière n’aime pas les courtisans qui flattent, qui mentent et calomnient. Il n’apprécie pas la prétention des petits marquis ni l’infidélité des femmes : comme Alceste souffre de l’attitude de Célimène, Molière a souffert de l’infidélité de sa femme. Molière dénonce le manque de franchise de l’homme envers lui-même comme envers les autres. Dans la biographie de Molière de Christophe Mory, l’auteur prétend que dans ses pièces Molière

écrit par Molière en 1666. Nous sommes au début de la scène 3 de l’acte IV. La scène 3 de l’acte IV est une scène très longue. Sur scène sont présents Alceste et Célimène. C’est la seconde fois que ces deux personnages sont seuls sur scène. "Ennemi du genre humain", Alceste, le Misanthrope, n'en est pas moins amoureux de la coquette Célimène qui vit entourée de galants. Dans la scène précédente, Alceste vient de faire savoir en l'absence de la jeune femme, qu'il a en sa possession, un billet, sans destinataire

sur lui. Lui, qui est éperdument amoureux de Célimène, se laisse aveugler par ses sentiments. Alceste la surprend en pleine tromperie grâce à une lettre qui prouve l'infidélité de Célimène à son égard et demande des explications dans la scène 3 de l'Acte IV. Elle le laisse parler, refusant le dialogue pour qu'il puisse s'emmêler les pinceaux tout seul et qu'elle puisse retourner le tout à son avantage. Le jeune homme s'enrage et quand, enfin, Célimène s'explique, il se laisse adoucir par de belles