Cellule de prison

FICHE DE LECTURE 1. INTRODUCTION : L’auteur : Véronique VASSEUR est née le 8 avril 1951 à Paris. Diplômée docteur en médecine en 1976, elle devient conseillère à la sécurité sociale en 1978. Elle intègre la prison de la Santé (seule prison située au cœur de Paris) en 1992 en tant que médecin de garde puis est nommée médecin-chef un an plus tard. En 1996 elle est également nommée au poste de praticien hospitalier au sein du service de médecine interne de l’hôpital Cochin. En janvier 2000

soufrant d’un cancer elle a perdu 19 kg en 1 ans mais Les médecins ne croyant pas a sa maladie la prisons ne la pas pris en charge. Pour cela l’état français fut condamné par la cour européenne des droits de l’homme pour traitement inhumain ou dégradant. Dans un autre cas les conditions de vis sont dénoncés par les contrôleurs de sécurité puisque certains détenu ont une hygiène déplorable une cellule de 12 m2 qui fait que les 3 détenus a l’intérieur étaient obligé de vivre allongé avec un trou dans

Commentaire d’Arrêt : Ordonnance du président de la Section du contentieux du Conseil d’Etat du 22 décembre 2012, Observatoire international des prisons et autres. « Après l’émotion provoquée le 6 décembre par le rapport du contrôleur général des lieux de privation de libertés sur la prison marseillaise des Baumettes, l’Observatoire international des prisons a réclamé des travaux urgents devant le tribunal administratif de Marseille. L’OIP ne s’était pas satisfait de ces demi-mesures » et a déposé

concentration de Auschwitz en 1944, où il a été assassiné. Pendant son incarcération, il a créé une série de peintures, dont "Autoportrait dans le camp", qui est devenue l'une de ses œuvres les plus célèbres. Dans cette œuvre, Nussbaum se représente dans sa cellule, en uniforme de prisonnier, regardant directement le spectateur avec un regard mélancolique. Cette peinture est un témoignage poignant de la souffrance et de la résilience de l'artiste dans un contexte de violence et d'oppression.Contexte historique

lendemain avec une lourde douleur à la tempe et se redressa et se massa la nuque et essaya de bouger son bras mais son épaule le faisait trop souffrir. Il se trouvait selon lui sous terre dans une cellule humide où seulement quelques torches illuminaient l'allée sombre de la prison. Il avait bien atterri en prison. Durant une bonne journée il se demanda qui avait bien pu les trahir. Il pensa tout d'abord qu'ils avaient manqués de vigilance et que la brigade de la pensée les avait démasquée puis il compris

 Alternatives a la prison Retention de sureté En droit pénal français, la rétention de sûreté est une procédure visant à permettre le placement dans un centre socio-médico-judiciaire de sûreté, de prisonniers ayant exécuté leur peine mais présentant un risque très élevé de recidive parce qu’ils souffrent d’un trouble grave de la personnalité. Cette mesure est limitée aux condamnations pour les crimes

[pic] Le clonage humain, constitue-t-un progrès ou une menace pour la société ? I. Introduction : Grace à l’avancer des techniques médicales, on a maintenant la possibilité de cloner des cellules souches afin d’obtenir une copie à l’identique de cette cellule. Pensez-vous donc qu’utiliser cette découverte soit un progrès ou une menace contre la société si elle est appliquée aux êtres humains ? On distingue deux types de clonage reproductif et thérapeutique; le premier d’entre

apprendre de l’expérience de ces hommes exposés à des dérives inimaginables. Il faut que je me pose la question : A quoi sert la prison ? J’ai maintenant besoin en tant qu’acteur, de réponse. J’ai vécu, donc dans un monde parallèle, une dimension invraisemblable avec des codes différents de ce que nous connaissons. Des règles qu’il faut apprendre très vite car, en prison plus qu’ailleurs, nul n’est sensé ignorer la loi.. Si on subodore l’existence de ce monde parallèle, car on le subodore croyez-moi

C’est le récit d’un jeune condamné à mort. Celui-ci est doublement captif. D’une part, enfermé physiquement dans une cellule et d’autre part, prisonnier d’une seule idée qui le hante depuis cinq semaines : « condamné à mort ». Il est dans l’incapacité de penser à autre chose. Celui-ci repense alors aux évènements du jour d’avant la proclamation de sa condamnation, il décrit la salle, les juges, les jurés, l’atmosphère qui régnait,… Il est alors en admiration devant les couleurs, les lumières, la

vit pendant les dernières semaines de sa vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu’il a fait pour être condamné à mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut dire être condamnés à mort. Il nous raconte sa vie en prison ; nous parle de ses sentiments ; peurs et espoir, de sa famille ; sa fille, sa femme et sa mère. Il raconte aussi quelques bribes de son passé et cesse d’écrire quand arrive le moment de l’exécution.  2- Schéma narratif : NB: Le récit commence