Censure 14 18

LA CENSURE EN FRANCE Le service de la censure fut ouvert dès le 30 juillet 1914, 3 jours avant la mobilisation générale, il reçut ses directives le 3 aout par une note du ministre de la guerre, indiquant qu'il était désormais interdit de transmettre des nouvelles de la guerre sans que celles-ci n'ai pas été communiquée ou visée par le « bureau de presse » du ministère. A ces débuts le but de la censure fut de surveiller les informations militaires et diplomatiques. Le gouvernement

Geismar à 18 mois de prison. 29 octobre : L'épiscopat français prend position contre le commerce des armes. 1er novembre : Incendie du Dancing "Le 5-7" à Saint-Laurent-Du-Pont, les issues de secours sont bloquées, 146 jeunes gens de moins de 25 ans, périssent dans cette catastrophe. Série de 5 reportages (France 3, novembre 2008) encore visibles sur le site suivant : http://rhone-alpes-auvergne.france3.fr/dossiers/48686712-fr.php 9 novembre : Mort du Général de Gaulle 15 novembre : Censure de Hara-Kiri

A) La rationalisation des contrôles et balances réciproques Les règles relatives à la responsabilité du gouvernement, bien que rationalisées sous la IV e République, notamment par le délai de 24h entre le dépôt et l’adoption de toute motion de censure ou de défiance , l’investiture rapide du gouvernement, par la seule présentation du président du Conseil devant l’assemblée nationale, furent détournées avec pour conséquence un retour aux maux de la III e République. Pour prévenir tout échec de

république, ce depuis 1957. Le président était le chef de l'État et le chef du pouvoir exécutif. Le premier ministre était, lui, le chef du gouvernement. Le président était le chef de l’armée, élu au suffrage universel direct par les électeurs de plus de 18 ans, tous les 5 ans sans limitation de mandat. Le président devait avoir la nationalité tunisienne. Le président n’avait pas à rendre compte de ses décisions. Le gouvernement, lui, est responsable de ses actes seulement envers le président. Le parlement

République qui rend difficile la mise en œuvre de ce droit de dissolution puisqu’il faut pour dissoudre l’Assemblée nationale qu’en l’espace de 18 mois deux gouvernements aient eu à subir une motion de censure. Or la motion de censure n’est pas adoptée car le gouvernement démissionne de lui-même, donc très peu de motions de censure sont adoptées. Lors des 18 premiers mois de la mandature quoi qu’il arrive le parlement ne peut être dissout. Il n’y a eu qu’une seule dissolution sous la IVème République

siècle des lumières. Les lumières étant un mouvement culturel et artistique dont l’objectif est de répandre un esprit critique et un idéal de liberté. En 1721, étant alors magistrat, il publie anonymement les Lettres persanes à Amsterdam pour fuir la censure. Mais le succès qu’elle rencontre fait bientôt la renommée de Montesquieu qui lui ouvre les portes de la reconnaissance littéraire.

Ce texte est une fable de La Fontaine écrite en 1678 intitulée "La Cour du Lion", cette fable se trouve dans Livre VII, dans son œuvre il fait une critique sociale de l'homme en les remplaçant par des animaux, ce qui lui permettrait d'éviter la censure. Il conseille indirectement le lecteur sur le comportement à avoir au près, qui à l'époque, est Louis XIV. Nous allons d'abord dans une première partie nous intéresser plus précisément à la structure de la fable puis dans une dernière partie nous

PRIERE A DIEU INTRODUCTION : • AUTEUR : Voltaire (1694-1778) exilé en Angleterre (censure). Un des philosophes les plus actifs de son temps. Il a fréquenté Frédérique 2, roi de Prusse. Ses cendres sont au Panthéon. Principales oeuvres : Zadig, Candide, Micromégas pour les contes philosophiques et des essais tels que essai sur les moeurs. • ŒUVRE : Traité sur la tolérance est un essai philosophique (1763) où Voltaire développe ses idées contre le fanatisme et la persécution. • EXTRAIT

gouvernement en réalité contraint à la démission. Par ailleurs, le président de la République et le Premier ministre peuvent révoquer les ministres (art. 8, al. 2 C.). b) Le second pouvoir est le pouvoir d’adresser des messages aux assemblées (art. 18 C.), par le truchement d’un porte-parole puisque, depuis 1873, il ne peut pénétrer dans leur enceinte (supra § 156), pour leur annoncer une situation ou une décision importante, par exemple lorsque le président va dissoudre l’Assemblée nationale

 dissoudre  l'Assemblée  n ationale  (art.  12)   •la  mise  en  œuvre  des  pouvoirs  exceptionnels  de   l'article  16  (art.  16)   •le  droit  d e  message  aux  assemblées  parlementaires   (art.  18)   •la  nomination  de  trois  des  membres,  et  du  président   du  Conseil  constitutionnel  (art.  56)   •le  droit  de  saisine  d u  Conseil  constitutionnel  (>>  art.  54   et  art.  61)