Cent ans de solitude

paysans des environs d’Épernon d'où elle ne reviendra à Paris que six ans plus tard pour entrer comme pensionnaire à l’école du couvent de la Trinité, rue de Charonne dans le faubourg Saint-Antoine. Dès cet âge, la jeune Louise-Élisabeth dessine partout, sur ses cahiers, sur les murs de son école. Vers l’âge de sept ou huit ans, Louis Vigée s’extasie devant un dessin de sa fille et prophétise qu’elle sera peintre. À onze ans, la jeune fille quitte le couvent et vient vivre aux côtés de ses parents

de passer à la postérité. Baudelaire y met en lumière la dualité entre la violence et la volupté, le bien et le mal, la laideur et la beauté, l’enfer et le ciel. Un refus de l’autorité Né à Paris le 9 avril 1821, Charles Baudelaire n’a que six ans lorsque son père meurt. Sa mère se remarie un an plus tard avec le général Aupick. Il refuse cette union et sera toujours en opposition avec ce militaire aux valeurs et aspirations très différentes des siennes. Il entre au lycée Louis le Grand à

femme est le 5è ouvrage d’Annie Ernaux. Il fait partie d’une trilogie parentale avec La place, récit de la mort de son père, et La honte, où l’auteur revient sur la tentative de meurtre de son père sur sa mère. Une femme est un petit livre d'à peine cent pages. Dans ce bref ouvrage écrit juste après le décès de sa mère atteinte la maladie d’Alzheimer, se prenant pour témoin, Annnie Ernaux raconte avec des mots et des phrases simples les grandes lignes de sa vie : depuis son enfance, en passant par

Holden se rend en train à New York, là où il vit mais il a peur de rentrer chez lui. Il va donc vagabonder dans les rues et s’installer dans un hôtel miteux durant trois jours. Le jeune homme relate cette errance et les découvertes qu’il y fait. La solitude qu’il ressent sera l’occasion pour lui de réfléchir sur ce qui lui passe par l’esprit. Il nous présente ses proches : sa soeur Phoebé qu’il adore pour la pureté de son âge, ses frères, Allie, mort d’une leucémie quand il était enfant, et D. B,

Mais, désirant en même temps donner un but utile à mon voyage, je formai le dessein de découvrir par terre le passage tant recherché et sur lequel Cook même avait laissé des doutes. Je partis, je vis les solitudes américaines, et je revins avec des plans pour un second voyage, qui devait durer neuf ans. Je me proposais de traverser tout le continent de l'Amérique septentrionale, de remonter ensuite le long des côtes, au nord de la Californie, et de revenir par la baie d'Hudson, en tournant sur le pôle

l’enfance et l’âge adulte. Son âge varie suivant les cultures comme par exemples aux États Unis où elle commence vers l’âge de treize ans et s’achève vers dix-neuf ans. Dans notre société il s’agit du moment de rupture entre l’enfance et l’âge adulte. Ce passage peut aussi être marqué par une cérémonie. En effet, la communauté juive lorsque l’enfant arrive à ses treize ans, organise une bar mitzvah. Au Japon, un jour de janvier reste consacré au passage à l’âge adulte. L’adolescence est l’âge où l’on

sur le camp de bataille, poussée par les lettres d'amour. Elle avoue à Christian qu'elle l'aimerait même laid car son âme est pure. Christian comprend qu'à travers lui, c'est Cyrano qu'elle aime. Il meurt sous ses yeux. Le dernier acte se déroule 15 ans après, Roxane s'est enfermée au couvent, elle est toujours en veuvage. Cyrano lui rend visite tous les samedis. Il ne s'est jamais dévoilé. Mais ce dernier samedi il a été victime d'un attentat. Il arrive blessé, il se sait mourant, il demande donc

| | |Saint-Denis | |Décès |18 novembre 1952 (à 56 ans) | | |Charenton-le-Pont | |Langue d'écriture |Français

  la   Communication   –   DRAC   Île-­‐de-­‐France.     (production  en   cours)     INTENTION   «  Je  crois  à  la  volupté  de  la  chair  et  à  l’irrémédiable  solitude  de  l’âme.  »   Gertrud.  Hjalmar  Söderberg     Gertrud   parle   d’art,   de   politique   et   d’amour.   La   pièce   raconte   le   destin   tragique   d’une   femme

(Diderot 244-245). Rejetée par sa mère et ne connaissant pas l’identité de son père biologique, Marie-Suzanne Simonin ne sait qui elle est, d’où elle vient ni où elle va. La seule certitude tangible repose sur le fait qu’elle ne soit pas faite pour la solitude des cloîtres. La Religieuse de Diderot se repose sur une alternance de récits et de discours où Suzanne retranscrit, commente, et juge son passé en s’adressant à la sensibilité et à la raison de son destinataire, M. le marquis de Croismare, en qui