Centre démocrate humaniste

toute l'histoire genevoise. Les premières traces d'occupation humaine du site de Genève remontent à 3'000 av. J.C. environ; elles ont été découvertes sur les rives du Léman, où s'élevaient des villages lacustres. La colline de la Vieille Ville, centre de l'ancienne Genève, ne sera habitée que beaucoup plus tard, probablement pas avant 1000 av. J.-C.; vers 500, des membres de la peuplade celte des Allobroges s'y installent à l'intérieur d'un refuge fortifié. © Helvetia Genevensis 2006 Antiquité

nous paraît opportun de dire avec tranquillité que nous nous sentons plus proches et plus aisément compris d’un national-socialiste allemand que d’un pacifiste français. » On se demande pourquoi l’auteur n’ose pas dire, comme c’est son idée, d’un démocrate français, d’autant plus qu’en 1938 le pacifiste français n’aspirait qu’à tendre la main au national-socialiste allemand. 6 La trahison des clercs défaite de la France que le maintien du système abhorré 1 ; l’espoir mal dissimulé, dès le début

souhaite incarner l’école française de sociologie. Worms rentre au Conseil d’Etat en 1894 et s’implique dans les travaux sociaux en créant une revue internationale de sociologie. La sociologie va connaître une institution tardive : le laboratoire « Centre d’étude sociologique » ouvre en 1946 et la 1ère licence de sociologie ouvre en 1958. II. Une science des sociétés Notion de science et de rupture, notions de lien, d’interdépendance… Pour bâtir une science des sociétés, il faut rompre avec

pliure des mondes rigides et des mondes fluides, ce projet, dont vous faites part, est une cartographie active. www.moneynations.ch/cartographes In catalogue de l'exposition "Micropolitiques" sous commissariat de Paul Ardenne et Christine Marcel au Centre National d'Art contemporain Magasin à Grenoble du 6/2 au 30/4/2000   Quand l'art politise et se politise En fait, plutôt que fourbir le monde réel en signes constituant, sur le mode du référentiel, autant d'"images", l'artiste contextuel choisit d'investir

exécutive, La puissance judiciaire. La séparation des pouvoirs de Montesquieu est différente de celle d'Aristote. Aristote se contente de décrire comment le pouvoir s'organise, alors que Montesquieu, lui, fait une analyse humaniste et prescriptible. Une perspective humaniste : Pour Montesquieu, l'objectif à atteindre est la protection des individus contre les abus des détenteurs du pouvoir. Selon lui, « Tout homme qui a du pouvoir est tenté d'en abuser ». Selon Montesquieu, les 3 pouvoirs

création du Système Monétaire Européen, parce que le Serpent Monétaire Européen a très mal fonctionné, à tel point qu’en 1978, sous l’impulsion du couple franco-allemand, il a été décidé de créer un nouveau système monétaire, assez proche du serpent, et centré sur l’écu. 10 juin 1979, première élection du Parlement européen au suffrage universel direct, mais élection à relativiser car la participation a dépassé à peine les 40%, mais succès pour la France, car le 1er président du Parlement européen fut

la famille et la propriété privée. La droite se souviendra souci de construire une aristocratie et une hiérarchie naturelle des valeurs. 3 niveaux des idées : la science, l’ opinion, l’ ignorance 2 Vision nouvelle, théorie des idées : beau est un centre immuable. Seulement le roi philosophe peut faire de la politique (être supérieur qui cumule les plus grandes qualités humaines, certain degré de connaissance, également homme d’action). Perfection du monde des idées. Créateur de l’art politique.

Marseille Lyon Bordeaux et Lille (en nbr d'habitants) ac croissance des banlieues où apparaît l'implantation de nvlles industries (automobiles ac habitat ouvrier médiocre) et qui constitue la fonction résidentielle moins cher. D'où ségrégation entre centre et périphérie. Importance de la petite ville (peu de villes ont plus de 5000 habitants). Chapitre 2: la stabilité apparente de la France rurale. I) Crise des campagnes Crise multiforme et complexe. Difficultés car concurrence

cette vision. La seconde thèse considère que la cité peut être le fruit de la volonté humaine. De fait, c’est un accord entre les hommes qui créé la cité. Cette dernière est donc fondée par une convention. Cette idée est défendue par Platon et les démocrates athéniens, qui considèrent que les Hommes construisent leurs cités. Celle-ci est particulièrement intéressante, puisque si l’on considère que la cité est imposée par une force supérieure, les Hommes ne peuvent la modifier. En revanche, si on voit

affrontement fréquent : « Vous revendiquez sans cesse vos droits, que faites-vous de vos devoirs ? » Sur cette longueur d'onde légale et morale se disputent des philosophies de la vie qui semblent départager les esprits autoritaires et les esprits démocrates, les conservateurs et les progressistes. Ces simplifications sont abusives. On glisse rapidement sur la question. Pourtant elle engage des attitudes très profondes. Le procès d'un certain moralisme du devoir n'est pas à refaire. Il a éteint