Centre mondial des finances de Shanghai

accentuée depuis la fin des années 1980 par la création de marchés financiers au niveau mondial. Toutefois s'y ajoutent : • l'aspect culturel qu'apporte l'accès d'une très large partie de la population mondiale à des éléments de culture de populations parfois très éloignées d'une part et aussi la prise de conscience par les pays développés dans leur ensemble de la diversité des cultures au niveau mondial. • l'aspect politique que représente le développement d'organisations internationales

Casablanca, à travers stratégiques arrêtés. entreprises entament son partenariat avec London Stock ou poursuivent leurs expansions en marocaines Exchange Group (LSEG), se dotera Mais il est important de souligner que Afrique. Et Casablanca Finance City des outils nécessaires pour devenir un l’appui des pouvoirs publics est plus que asseoit son positionnement comme réel moteur de développement pour les primordial pour faire de cet avenir une hub financier régional. entreprises africaines

dynamisme d’innovation permet à Air Liquide d’ouvrir de nouveaux marchés, de progresser pendent la création de nouveaux produits pour ses clients et surtout, de garder une longueur d’avance sur ses concurrent, le principal étant Linde AG. Tous les centres de Recherche et Développement (R&D) se trouvent en Europe, spécifiquement en France, un autre aux États-Unis, et un autre au Japon. Aujourd’hui le programme « innovation ouverte » a été créé par l’Air Liquide. Ce système permet de développer de

des lieux de dynamisme pour les pays auxquelles elles appartiennent. La région Ile de France représente plus du sixième de la population française. Paris, qui est la capitale de la France et ville mondiale, reste en concurrence avec d’autres mégapoles comme Londres, Tokyo, New York ou encore Shanghai. Il est donc important que l’Ile de France conserve son statut de pôle actif. L’Ile-de-France est un territoire avec de formidables atouts, mais fragmenté, mal relié par des transports en commun insuffisants

et les échanges internationaux de biens, de main-d'œuvre et de connaissances. Ce terme, spécifique à l'environnement humain, est souvent utilisé aujourd'hui pour désigner la mondialisation économique, et les changements induits par la diffusion mondiale des informations sous forme numérique, c'est-à-dire sur Internet. |Sommaire | |[masquer]

sortir de la crise lors de l'élection de Roosevelt en 1936. Nouvelle récession en 1938 lorsque les prix et la production baissent de 20% en un an. Il est difficile de dire si la crise de 29 était terminée au moment de l'entrée dans la seconde guerre mondiale. En 1938, les échanges internationaux restent inférieurs de 25% par rapport à 1929. Seuls certains secteurs ont pu prospéré: la production d'électricité a doublé en Allemagne en 10ans, et la crise a accentué les mutations qui étaient en cours depuis

b. Environnement concurrentiel………………….. c. Opportunités…………………………………….. d. Menaces…………………………………………. e. Forces de Porter………………………………… Conclusion………………………………………….. Introduction Sanofi-Aventis, un leader mondial de l’industrie pharmaceutique, propose des solutions adaptées aux enjeux locaux de santé publique grâce à une offre complète de médicaments et de vaccins, pour améliorer la vie. Les femmes et les hommes de Sanofi-Aventis sont une force au service

dominé par deux sociétés : le norvégien Tandberg et l'américain Polycom, suivies, de loin, par Sony et Aethra. Selon la société d'études Wainhouse Research, les ventes de systèmes de visioconférence représentaient, hors services associés, un marché mondial de 285 millions de dollars au cours du premier trimestre 2009. Tandberg est crédité de près de 42 % de part de marché et Polycom de près de 36 %. Le chiffre d'affaires des systèmes de visioconférence et des infrastructures associées représentaient

et l’orientation du pouvoir l’empêchent également de profiter du soutien occidental dans la reconstruction d’après-guerre. Le bilan est lourd. Alors que jusqu’aux années 1820 la Chine était la première puissance internationale avec le tiers du PIB mondial, elle se retrouve en 1949 avec un PIB représentant moins de 1 % de la richesse produite dans le monde et doit reconstruire un pays ravagé par la politique des « 3 Tout » (Sankō Sakusen)[1] du Japon impérial. Ce n’est que récemment, en évoluant

: par exemple les écarts de coûts salariaux, la montée en puissance de certaines industries telles que le textile en Chine, l’automobile dans les PECO, les signes précurseurs de « délocalisations » de fonctions tertiaires dont l’infogérance, les centres d’appel… Elle s’explique également par des facteurs psychologiques : peur du changement avec la globalisation, modernisation de nombreux pays nouveaux, recherche d’un bouc émissaire et d’une explication simpliste à nos problèmes de chômage. Or ce