Ligne claire

Sujet: Analyse sémiotique des deux grandes vignettes Tintin au tibet INTRODUCTION Dessiner est un art qui consiste à une réflexion sur le trait en tant que support. La sémiotique nous permet donc d’étudier l’ensemble des lignes (claires, courbes, virtuelle, serpentine) qui permettent de donner forme à un objet quelconque. Dans une étude sémiotique nous mènerons une analyse portant sur les deux plus grandes vignettes de Tintin au Tibet œuvre du dessinateur Belge Hergé. Mais avant, il est

l'Occupation allemande et de dessins jugés parfois racistes, ce qui entache sérieusement sa réputation. Durant les années 1950 et 1960, perfectionniste et visionnaire, il met au point une technique graphique dont il sera bientôt le chef de file : la « ligne claire ». Après des hommages internationaux et d'ultimes retrouvailles avec Tchang (1981), il meurt d'une leucémie en 1983. Depuis sa mort, il est considéré comme l'un des plus grands artistes contemporains et a vendu plus de 200 millions d'albums, traduits

avait était gazé pendant cette guerre. De ses choix d’auteurs (adaptés, illustrés comme: Céline, Daniel Pennac, Jean Vautrin, Léo Malet) se dégagent des cohérences affectives, imaginaires, mais aussi politiques. Son style peut sembler proche de la ligne claire de Hergé (que l’on pense par exemple, aux bulles très bd), mais les ouvrages de Tardi ont une nette tendance à ridiculiser le concept du « héros », ses personnages peuvent être des antihéros complets, des victimes de la marche du monde sans prise

(super héros) pouvoirs, double identité, costume, continuité, univers partagé o École franco-belge : Jeunesse, structure classique (album), ligne claire o Manga : Japonais, production rapide, longues histoires, noir et blanc, lecture inversée. Les Cases et les planches o Cadre variable (plusieurs formats) se qui dynamise la forme et le contenu o Bordure= ligne, pas toujours o Image= étape d’une séquence o Autres cases influencent la perception o Début et fin sont stratégiques o La planche

que les visages des différents personnages et le dessinateur représente dans l’arrière plan la guerre des tranchées avec le plus de précision. Les éclairages sont violents, ce qui produit des effets de forts contrastes, c'est-à-dire des zones très claires et des zones très sombres. Tout cela installe une sensation physique d’oppression, d’angoisse, qui plonge le lecteur dans «l’ambiance» de la guerre. Ce sentiment est renforcé par la présence d’images sans commentaire ni action (sauf dans la dernière

série est appréciée pour ses dessins qui mélangent personnages aux proportions exagérées et décors réalistes. Les traits sont toujours de la même épaisseur et l'absence de hachures sont la marque du style de l'auteur, connu sous l'appellation de « ligne claire ». Les intrigues des albums mélangent les genres : des aventures à l'autre bout du monde, des enquêtes policières, des histoires d'espionnage, de la science-fiction, du fantastique. Les Aventures de Tintin font partie des plus célèbres et plus

Bande-Dessiné est devenu média de l’architecture utopique. Afin d’y répondre nous décrirons tout d’abord, les l’impact qu’a eu l’apparition d’une culture du progrès après 1958 sur ces deux univers. Puis nous nous intéresserons à la naissance de la « Ligne claire » et du « style Atom » et ces conséquences sur la représentation de la ville dans la Bande-Dessiné. Enfin nous verrons pourquoi le mouvement utopique en Architecture c’est emparé de la Bande-Dessiné et en a fait son mode d’expression. I/ Après

Hergé raconte alors les évènements en URSS. [ Le dessin fait à l’encre d’un tracé simple dont Hergé serait le précurseur de ce courant qui porte le nom de « ligne claire », qui est d’après lui « d’abord, non seulement un dessin, mais également un scénario et que les deux forment un tout. C'est ce "tout", inséparable, qui constitue la ligne claire. » Description des extraits : SEQUENCE 1 : Tintin arrivant dans une vallée aperçoit un groupe de personne au loin d’une usine qui se trouve être

influencés le développement de la bd moderne en Europe. Le suisse Rodolphe Töpffer est considérée comme le père de la bande dessinée et c'était Goethe qui a lui encouragé de publier ses dessins. Ses histoires en images sont déjà séparées par des lignes claires comme les cases (panel), mais le texte est encore en dessous des images. Cettes histoires en images ressemblent aussi aux images d'Epinal, imprimés dans l'imagerie d'Épinal qui a été fondée au fin du dix-huitième siècle par Jean-Charles Pellerin.

cette guerre[réf. nécessaire]. De ses choix d'auteurs (adaptés, illustrés comme Céline, Daniel Pennac, Jean Vautrin, Léo Malet …) se dégagent des cohérences affectives, imaginaires, mais aussi politiques. Son style peut sembler proche de la ligne claire de Hergé (que l'on pense, par exemple, aux bulles très bd), mais les ouvrages de Tardi ont une nette tendance à ridiculiser le concept du « héros », ses personnages peuvent être des anti-héros complets, des victimes de la marche du monde sans prise