Centre régional de lutte contre le cancer

assurées par trois nouvelles directions régionales Poursuivant l’objectif d’une plus grande lisibilité pour mieux répondre aux besoins des usagers, le nouveau schéma d’organisation confirme la prééminence du niveau régional et procède à une nouvelle répartition des rôles. Offrir un service public de meilleure qualité, plus lisible, plus réactif et plus accessible aux usagers, et, ainsi, permettre de répondre plus efficacement aux grands enjeux régionaux, tels sont les objectifs qui s’imposent à

EPREUVES DE CULTURE GÉNÉRALE IFSI 1/ LES MCV (MALADIES CARDIOVASCULAIRES) 2/LE CANCER 3/ LES ACCIDENTS 4/LES MALADIES MENTALES 5/ LES IST (INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES) 6/ LE SIDA 7/ LE HANDICAP 8/ L'OBESITE 9/ LES DROGUES 10/ L'ADDICTION A L'ALCOOL 11/ LE TABAGISME 12/ LA BIOETHIQUE 13/ DONS D'ORGANES ET DONS DU SANG 14/ ASSISTANCE MEDICALE A LA PROCREATION 15/ LES TESTS GENETIQUES 16/ L'EUTHANASIE 17/ LA BANLIEUE 18/ LA POLLUTION

APS : POLITIQUE DE LA VILLE ET SANTE La politique de la ville est un ensemble d'actions de l'Etat visant à réduire les inégalités sociales entre les territoires, et à lutter contre toutes les formes d'exclusion. Elle apporte des réponses en matière de santé en s'inscrivant dans des démarches impulsées au niveau national qui s'appuient sur les dynamiques locales. QUESTION 1 : Contexte social : Les années 70 marquent une prise de conscience des pouvoirs publics sur la nécessité de proposer des

FIN B) LES CANCERS : * Première cause de mortalité en France, tous âges confondus. * Augmentation du nombre de cancers : les gens vivent de plus en plus vieux et surexposition aux produits chimiques. * Diminution du risque de mourir du cancer grâce aux progrès des traitements. I/ Définition : CANCER : c’est la multiplication anarchique des cellules qui échappent à un mécanisme régulier. On obtient alors une masse de cellules anormales au sein d’un organe (cancer primitif). En

croissance chez l'enfant, mais également d’un affaiblissement de l’organisme permettant l’emprise mentale sur les adeptes de ces sectes. Certains de ces régimes extrêmes sont également présentés comme pouvant guérir certaines maladies graves comme le cancer ou le sida, avec pour conséquence l’abandon d’un traitement médical jusque-là efficace. Les auteurs du rapport de la MILIVUDES font également le point sur les médecines alternatives telles que la naturopathie, le végétarisme et l’hygiéniethérapie

........................................... 10 PD F Pr o Ev a lu a tio n Bibliographie ................................................................................................................... 10 INTRODUCTION De nos jours, la lutte contre le tabagisme est au cœur des priorités de santé publique. Le tabagisme est une toxicomanie résultant de l'accoutumance à l’un ou l’autre des produits fabriqués à partir des feuilles de tabac. La nicotine contenue dans le tabac constitue le principal

Sommaire I - Historique II - Définition III - Problématique : Les stratégies de santé publique dans le monde sont elle efficace pour lutter contre les MST ? IV - Les conséquences économiques et sociales V - Conclusion Annexes : * Différentes MST existent * Facteurs de risques I - Historique Jusqu’aux années 1970, les MST étaient presque exclusivement : * La blennorragie * La syphilis * Le chancre moi * La lymphogranulomatose vénérienne Elles étaient

populations berbères au VIIIe siècle après JC. La pre m i è re dynastie marocaine fut fondée par les Idrissides à Fès, première capitale du M a ro c, ve rs la fin du VIIIe s i è cl e. Puis plusieurs dynasties se sont succédées et ont marqué l’histoire régionale de façon plus ou moins importante (Afrique du nord, péninsule Ibérique) ; par ordre de succession on peut citer : les A l m o ravides (XI-XIIe siècle), les Almohades (XII-XIIIe s i è cl e ) , les Mérinides, les Ouattassides, les Saadiens et les Alaouites

soulevait un point important, à savoir, la manière d'éviter cette morbidité au cours des 20 prochaines années par la réduction des facteurs communs de risque. Le rapport recensait quelques interventions ayant un bon rapport coût/efficacité pour lutter contre certains de ces facteurs de risque. Le terme « intervention » y était utilisé dans son sens le plus large, désignant « toute action sanitaire promotionnelle, préventive, curative ou de réhabilitation dont l’objectif premier est l’amélioration de la

politiques[modifier] Initiée à la politique par son père, conseiller municipal d'Angers et député gaulliste de Maine-et-Loire, Jean Narquin, Roselyne Bachelot milite au sein du RPR. Conseillère générale de mars 1982 à juin 1988, et conseillère régionale des Pays de la Loire en 1986, elle reprend en 1988, le siège de son père à l'Assemblée nationale. Elle devient alors secrétaire générale adjointe du RPR de 1989 à 1992. Réélue députée en 1993, 1997 et 2002, elle participe à la Commission des affaires