Cerp Rouen

1655-1656. En 1656, on le trouve à Narbonne, puis à Bordeaux, d'où il retourne à Béziers pour les États (1656-1657). En 1657, il quitte Béziers pour Lyon, d'où il va à Dijon et à Avignon. Nous le voyons en 1658 à Lyon, à Grenoble, puis pendant l'été à Rouen, d'où, à l'automne, il arrive enfin à Paris13. Au temps où Molière parcourt la province, la plupart des comédiens ambulants, qu'on évalue à environ un millier à l'époque, mènent une vie précaire. Dans bien des villes, l’Église pèse de tout son poids

de petits textes pour de la grande littérature ! Nationalité : France Né(e) à : Rouen , le 12/12/1821 Mort(e) à : Canteleu (76) , le 08/05/1880 Biographie : D'origine bourgeoise (père médecin), Gustave Flaubert a une enfance peu heureuse car il est délaissé par ses parents qui lui préfèrent son frère aîné. Il est néanmoins très proche de sa sœur cadette. Il suit sa scolarité au lycée de Rouen dont il est renvoyé. Il passe seul son bac en 1840. Dispensé de service militaire, il

incluant le réalisme, le naturalisme et le fantastique. Il mourut a 42 ans après avoir peu à peu sombré dans la démence. L’action se déroule en Normandie pendant l’hiver de la guerre de 1870-71. Parmi les dix personnes qui fuient en diligence de Rouen qui est occupée par les Prussiens, se trouve une prostituée surnommée Boule de Suif. Méprisée par les autres voyageurs, car elle est une prostituée, elle veut se faire accepter, mais n’y arrive pas. Toutefois, lorsque la faim les pousse à se nourrir

renvoyé pour des écrits ne plaisant pas aux clercs tenant l’établissement. Il est alors inscrit au lycée de Rouen, où il se montre bon élève. En 1870 il commence un service militaire qui durera jusqu'à fin 1871. Le souvenir de cette guerre hantera l'écrivain et ses premières nouvelles, Boule de Suif, La Maison Tellier auront pour thème et pour décor cette période de 1870. En 1871, il quitte Rouen pour Paris où il entre au ministère de la Marine, tout en ayant le désir d’écrire et d’en faire un métier

Miromesnil - Père et mère ne s’entendent pas et se séparent. - La mère élève seule ses 2 fils dans la campagne normande, en compagnie de paysans. - A 12 ans, il étudie le latin et les maths dans une pension religieuse à Yvetot. - Il termine ses études à Rouen. Louis Bouilhet est son correspondant. - Guerre de 1870 —> scène de déroute et de résistance, mauvais souvenir - Etude de droit à Paris, mais pour $ il entre au ministère de La Marine, puis à celui de l’instruction publique. - Flaubert est le père

Annie Ernaux a également passé son enfance et sa jeunesse à Yvetot, en Normandie. Née dans un milieu social modeste, de parents d’abord ouvriers, puis petits commerçants qui possédaient un café épicerie, Annie Ernaux fait ses études à l’université de Rouen puis de Bordeaux. Elle devient successivement professeure certifiée, puis agrégée de lettres modernes. Au début des années 1970, elle enseigne au collège d’Évire à Annecy puis à Pontoise avant d'intégrer le Centre national d'enseignement à distance

le souhait de sa mère. C’est en ces lieux qu’il commence à versifier (faire des vers ). De sa première éducation catholique, il conservera une hostilité marquée envers lareligion ; il finira par se faire renvoyer. Il est alors inscrit au lycée de Rouen, où il se montre bon élève, s’adonnant à la poésie et participant beaucoup aux pièces de théâtre. Bachelier des... [à continuer]

Dix personnes dans une diligence sur une route enneigée fuient Rouen, envahi par les Prussiens. Il y a trois couples (des commerçants, des grands bourgeois, des nobles), deux religieuses et deux marginaux : un « démocrate » et Boule de Suif (de son vrai nom Elisabeth Rousset), une prostituée. Le voyage s’annonce difficile, la diligence n’avance pas. Les voyageurs ont faim et seule la jeune femme a pensé à emporter des provisions, qu’elle partage généreusement. Cependant, la présence de Boule de

plan analytique de madame bovary extrait 2 chapitre 2 Chapitre I Yonville-l’Abbaye est un bourg à huit lieues de Rouen entre la route d’Abbeville et celle de Beauvais, au fond d’une vallée, arrosée par la Rieule, petite rivière qui se jette dansl’Andelle. Cette rivière sépare une partie en herbage et une partie en labour. L’eau qui ruisselle sépare donc la couleur des prés et celle des sillons. Cette campagne est comparée à un manteau dépliéqui a un coté de velours vert, bordé d’un gallon

et prétendaient soutenir seuls la France agonisante sur leurs épaules de fanfa rons; mais ils redoutaient parfois leurs propres soldats, gens de sac et de corde, souvent braves à outrance, pillards et débauchés. Les Prussiens allaient entrer dans Rouen, disait -on. La Garde nationale qui, depuis deux mois, faisait des reconnaissances très pru dentes dans les bois voisins, fusillant parfois ses propres sentinelles, et se préparant au combat quand un petit lapin remuait sous des broussailles, était