Cerveau humain

La maladie de Parkinson (MP), d'abord identifiée par James Parkinson en 1817, est une maladie neurodégénerative chronique et irréversible provoquée par une détérioration progressive et la mort des cellules situées dans une zone spécialisée du cerveau, connue sous le nom de nigra " tache de substance noir ". Par suite de la détérioration et de la mort de cellules, la dopamine, un neurotransmetteur, n'est plus produite. Le manque de ce messager chimique produit les symptômes qui caractérisent

questionnée dans l’esprit de tous les êtres humains. Comment distinguer ce qui est vrai de ce qu’il ne l’est pas? Parfois c’est comme si les deux côté de notre âme se débattaient pour savoir qui avaient raison. C’est le cas du côté droit de mon cerveau et du côté gauche. Ils s’entendent parfois, mais ils doivent débattre de façon rationnelle pour en venir à un consensus. Mon cerveau gauche analyse les situations et les problèmes tandis que mon cerveau droit aime innover et changer. C’est justement

grise, communément appelé déficit du neuropile, et d’une perte importante de myéline (Gaine lipidique des fibres nerveuses) que l’on nomme « déficit oligodendrocytaire ». De plus l’imagerie fonctionnelle montre des différences de fonctionnement du cerveau sain liées aux épreuves de cognition, et pendant les épisodes hallucinatoires, de manière variées selon le cas du patient. On a eu l’occasion de constater que l’empathie était un état mental très important pour l’Homme. En effet, une personne dépourvue

est la vie. Je le regarde jusqu’à ce qu’il disparaisse à l’horizon. Quelqu’un à mon côté dit : “Il est parti !” Parti vers où ? Parti de mon regard, c’est tout. Son mât est toujours aussi haut. Sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine. Sa disparition totale de ma vue est en moi, pas en lui. Et juste au moment où quelqu’un près de moi dit : “Il est parti”, il y en a d’autres qui, le voyant poindre À l’horizon et venir vers eux, s’exclament avec joie : “Le voilà !” C’est ça

constater que les deux tests ne faisaient pas réagir les mêmes zones dans le cerveau des testeurs. Lorsque ces derniers font le test à l'aveugle, une partie bien précise de leur cerveau, leputamen, réagit violemment. Le putamen fait partie de notre cerveau primitif, il serait le siège des plaisirs immédiats et instinctifs. Alors que quand les dégustateurs connaissent la marque de la boisson qu'ils testent, la zone primitive du cerveau n'est plus activée et c'est une autre zone dans le cortex préfrontale

formes, les objets et les distances. Pour résumé lorsque l’on perd l’un de nos sens, les sens qu’ils nous restent simplifie pour répondre à la question de tous les jours depuis la création du monde « SURVIVRE ». 1 Chapitre 2 : L’écholocalisation humaine L'écholocalisation consiste à envoyer des sons et à écouter leur écho pour localiser, et dans une moindre mesure identifier, les éléments d'un environnement. Elle est utilisée par certains animaux, notamment des chauves-souris et des cétacés, et

pensee(laisser la personne parler librement et analyzer les liens entre les pensees. -Lapsus revel le contenue de linconcient. -Les actes manques (accidents) arriver en retard ( inconsciement on a fait express) P.18 iceberg de freud concience humaine compare a un iceberg La conscience serait la partie qui est visible au dessu de leau et l’invisibles serait l’inconscient. Conscient= pensee/information dont une personne se souvient. Preconscient= pensee don’t on se souvient avec un petit effort

Une puce informatique qui imite le cerveau Puce informatique (archives)  Photo :  iStock La multinationale de l'informatique IBM vient de dévoiler une nouvelle puce informatique qui imite le fonctionnement du cerveau, et qui pourrait ouvrir la voie à de nouvelles applications technologiques. La puce, qui a la taille d'un gros timbre, contient un million d'unités de calcul (computational units) que le fabricant assimile à des « neurones ». Chacun de ses « neurones » est connecté à 256 autres, permettant

D’où le cerveau tire sa puissance ? I) Dans sa grande plasticité Définition de la plasticité La plasticité c’est la capacité du cerveau à remodeler les branchements entre ses neurones par formation ou disparition de synapses. Elle est à la base du processus de mémoire et d’apprentissage, mais intervient également parfois pour compenser les effets de lésions cérébrales en aménageant de nouveaux réseaux. Ces modifications locales de la structure du cerveau dépendent de l’environnement

 III- L’intelligence humaine 1- Le cerveau Le cerveau est siege de nos emotions, de nos reflexions, et de notre identité. C’est le quartier general du système nerveux: Plus de 10 milliards de cellules transmettent et reçoivent des messages des différentes parties de l’organisme. Le cerveau est divisé en plusieurs zones fonctionnelles dites aires cérébrales accomplissant chacune une fonction déterminée. Elles sont délimitées par les circonvolutions cérébrales qui composent chacun des quatre