Cesson-Sévigné

Commentaire lettre du 6 février 1671 Cette lettre a été écrite par Mme de Sévigné, c'est une mondaine qui a vécu à Paris, à l’époque de Louis XIV et elle a écrit de nombreuse lettres qui sont devenues des œuvres littéraire. La lettre qui va être étudiée est destinée à sa fille Mme de Grignan partie en Provence avec son mari alors que Mme de Sévigné est restée à Paris. Cette lettre exprime le manque que Mme de Sévigné ressent à la suite de la séparation avec sa fille. Nous montrerons que cette

demoiselle d'honneur de la reine d'Autriche et elle avait obtenu l'estime du roi louis XIV ; cela lui a donc permit d'observer les intrigues de la cour et d'écrire ensuite de nombreux romans qui ne seront tjrs pas publiés sous son nom. Amie de Madame de Sévigné, elle fera comme elle partie du mouvement littéraire précieux qui ne cherche pas seulement à montrer l'idéal mais le comble de l'idéal, pas la beauté mais le comble de la beauté, une beauté pure et sans défauts, on pourrait dire meme immaculée. De

ARGUMENTATION : L’IMAGE DU ROI TEXTE 1 : Lettre à Pomponne, Mme de Sévigné Comment la Marquise décrit-elle l’hypocrisie à la cour ? * Introduction : Biographie : Marie de Rabutin-Chantal (1626-1696).Orpheline, élevée par ses grands parents. Education poussée. Epistoliaire française, lettres notamment à sa fille. Amis : Mme de la Fayette, Foucquet, La Rochefoucauld, Pomponne, La Fontaine, Boileau... Classicisme. C’est son cousin qui publiera ses lettres (= témoignage très vivant

de cette lettre est, pour Mme de Sévigné, de témoigner à sa fille toute l'inquiétude qu'elle a ressentie en apprenant son aventure sur le Rhône. Sa vive émotion et son angoisse sont exprimées par les nombreuses phrases exclamatives (« quelle lettre ! ») et par le champ lexical de la peur qui parcourt le passage : « effrayée, péril, frémir d'horreur, fait peur, frissonne, sursauts », etc.). Cette peur rétrospective traduit bien le sentiment passionné de Mme de Sévigné pour sa fille (« ma bonne »).

4. L'auteure Issue de la petite noblesse, Marie-Madeleine Pioche de la Vergne nait à Paris en 1634. Son père meurt alors qu’elle n’a que quinze ans. Sa mère épouse en secondes noces le chevalier Renaud-René de Sévigné, qui n’est autre que l’oncle de la Marquise de Sévigné. Ce chevalier, qui a participé à la Fronde, est contraint à l’exil et emmène sa famille dans son domaine d’Anjou. Cependant, avec l'appui de sa marraine, la duchesse d'Aiguillon, Marie-Madeleine fréquente l’aristocratie

Marie-Madeleine Pioche de la Vergne comtesse de La Fayette, celle qui est plus connue sous le nom de Madame de Lafayette naît dans la petite noblesse parisienne. Au décès de son père, sa mère se remarie avec le Chevalier Renaud de Sévigné, l'oncle de la Marquise de Sévigné, avec qui Madame de Lafayette sera amie toute sa vie durant. Devenue dame d'honneur de la Reine Anne d'Autriche en 1650, elle prend petit à petit conscience des intrigues de la cour dont elle s'inspirera dans ses écrits. Elle se

littéraires de Mlle de Scudéry, de la Marquise du Plessis–Bellière et de Catherine de Rambouillet. En 1650, sa mère se remarie avec Renaud de Sévigné, l’oncle de Marie de Sévigné avec qui Mme de La Fayette va devenir ami. En 1655, elle épouse le comte de la Fayette avec qui elle a eu 2 fils. Elle ouvre son propre salon. Elle a plusieurs amis : Mme de Sévigné, sa cousine et Henriette d’Angleterre. En 1659, elle reste définitivement à Paris. Elle devient amie avec la Rochefoucauld. Grâce à elle, Mme

Devoir Maison n°3 Extraits de « Correspondance », Mme de Sévigné 1) Les passages où Mme de Sévigné s’adresse à sa fille sont dans la lettre 5 l1 à 20 «  Voici un terrible jour, ma cher fille ; je vous avoue que je n’en puis plus. Je vous ai quittée dans un état qui augmente ma douleur. Je songe à tous les pas que vous faites et à tous ceux que je fais, et combien il s’en faut qu’en marchant toujours de cette sorte, nous puissions jamais nous rencontrer. Mon cœur est en repos quand il est auprès

épousa le marquis Henri de Sévigné, parent du cardinal de Retz. Le marquis ruina sa femme, et, pour une querelle de jeu, il se battit en 1651 avec le chevalier d’Albret, qui le tua. De ce mariage étaient nés deux enfants : Françoise-Marguerite et Charles. elle présenta sa fille à la cour, et la maria en 1669 au comte de Grignan, deux fois veuf, et lieutenant général en Provence. Mme de Grignan dut, en 1671, rejoindre son mari. Cette séparation fut douloureuse : Mme de Sévigné idolâtrait sa fille. Et

d'ironie, qui va de pair avec le goût du secret. Surnommée "le brouillard" par les habitués du salon de Mme du Plessis-Guénégaud, à l'hôtel de Nevers, Mme de Lafayette ne dévoile ses pensées et opinions qu'à un petit cercle d'intimes (dont Mme de Sévigné et La Rochefoucauld), et excelle à se dérober derrière les dénégations ironiques et les antiphrases. Nous en avons un exemple dans la lettre à Lescheraine citée plus haut; un autre nous est offert par le jugement célèbre porté sur les Maximes de La