Cesson-Sévigné

Madame de Sévigné I: Biographie : Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné, dite la marquise de Sévigné, née le 5 février 1626 à Paris et morte le 17 avril 1696 au château de Grignan, est une épistolière française. Déjà orpheline de père en 1627 à un an, son père, Celse-Bénigne de Rabutin (1596-1627), baron de Chantal, ayant été tué au siège de La Rochelle, elle perd en 1633 sa mère, Marie de Coulanges, née en 1603. Marie de Rabutin-Chantal vit néanmoins une jeunesse choyée et heureuse, d’abord

impatience votre avis, Avec toute mon affection, Mme de Sévigné.

I .Réminiscences à propos du texte : Mme de Sévigné était une personnalité et femme de lettres française du XVIIe siècle, dont l’œuvre est strictement épistolaire. II .Recherches : Pour cette recherche sur Mme de Sévigné, j'ai effectué dans un premier temps une biographie synthétique à partir d'informations trouvées dans le Grand Larousse Universel et sur internet (Imago mundi cosmovisions.com Encyclopédie gratuite, histoire-en-ligne.com et wikipédia). Fille de Celse de Rabutin et

l’évaluation de fin de séquence 1 Séance 3 : Le rire est-il intemporel ? Etude des Caractères : Arrias, « De la société et de la conversation », remarque 9 ; Ménalque, « De l’homme », rq. 7 Textes complémentaires : Extrait des Lettres de Mme de Sévigné Objets d’étude : La saynète – la satire – le fonctionnement de l’argumentation Séance 4 Ecriture d’une saynète d’aujourd’hui Correction de l’évaluation de lecture Séance 5 Initiation au commentaire, au travers de l’exemple de Ménalque Etude des Caractères

[pic] Madame de Sévigné Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné est née à Paris le 5 février 1626 et meurt à Grignan en 1696. Elle reçoit par sa famille maternelle une excellente instruction et une bonne éducation suite à la mort de ces parents. Le marquis de Sévigné infidèle et batailleur décède au cours d’un duel. Madame de Sévigné ne se remariera jamais préférant se consacrer à l’éducation de ses enfants : Charles et Françoise-Marguerite. Elle porte toute son attention sur sa fille

le monde sais pourquoi elle a été connue. La princesse de Clèves. La Marquise de Sévigné : connue pour ses échanges épistolaires qui seront publiés après sa mort. Une très belle femme reconnue par beaucoup de littéraires. François de La Rochefoucauld : grand écrivain et moraliste. Il a écrit Maximes. Ouvrage philosophique. Participe au complot contre Richelieu. Ami de Mme de la Fayette et de la marquise de Sévigné. Valentin Conrart : homme de lettre, l’un des fondateurs de l’Académie française

tenait son salon dans son propre hotel parisien dans le fameux quartier du Marais .Elle y reçut les plus grands léttrés du moment tel que Pierre Corneille (1606-1684) ,Vincent Voiture (1597-1648) ou encore des femmes d'exception comme Madame de Sévigné (1626-1696) ou Madame Lafayette (1634-1693) .D'autres salons suivirent l'exemple de l'hôtel de la Marquise de Rambouillet comme le salon de Mlle de scudéry ou elle réunit entre 1652 et 1661 ,des bourgeois et tout ce que Paris connaissait d'hommes

COMMENTAIRE DE LA LETTRE DE MME DE SEVIGNE. Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné, est une épistolière française du XVIIe siècle. Moraliste, elle observe les mœurs de la cour de Louis XIV et fait partager ses réflexions dans sa correspondance, publiée à titre posthume. Celle-ci représente ensemble de 1400 lettres aux destinataires variés, souvent lues en société par leur destinataire. Mais c'est à sa fille, Madame de Grignan, « exilée » en Provence qu'elle écrit le plus régulièrement

épousa le comte de La Fayette, qui vécut toujours loin de sa femme, en province. Tout en étant l'amie de nombreuses figures de la Cour (la duchesse d'Orléans, Mme de Sévigné, Condé), elle n'en fit jamais vraiment partie, se contentant de fréquenter certains salons et d'en tenir un elle-même, rue de Vaugirard, où elle reçut, outre Mme de Sévigné, La Fontaine, Segrais et La Rochefoucauld, avec lequel elle se lia d'une grande amitié à partir de 1665.    Son œuvre romanesque rompt avec l'imagination tout

collaborent avec elle. Madame de La Fayette n’a signé aucun de ses ouvrages. Quelques ouvrages cependant ont été publiés à titre posthume. En 1659, parait Le portrait de « Mme de la Marquise de Sévigné par Mme la Comtesse de la Fayette, sous le nom d’un inconnu ». Portrait de sa chère amie intime Mme de Sévigné. En 1662, elle publie une brève nouvelle historique : « La princesse de Montpensier ». Elle se déroule peu de temps après le moment historique pour La princesse de Clèves. En 1671, « Zaïde »