C'est la fin

texte Le problème posé par le texte concerne le travail. Il s'agit pour Nietzsche de savoir si le travail est une fin en soi ? Pour lui, certains hommes travaillent par plaisir de ce qu'ils font, et il leur est impossible de travailler sans plaisir, seulement pour le gain d'argent. Lenoir donnera d'autres arguments que ceux de Nietzsche, pour prouver que le travail est une fin en soi. Sans le travail, que ferions-nous ? Mais aujourd'hui, l'argent n'est-il pas plus important ? Nietzsche entame

MORALE et POLITIQUE Aristote distingue la praxis, action immanente n'ayant d'autre fin que le perfectionnement de l'agent (par exemple être moral), de la poïèsis, production d'une œuvre extérieure à l'agent (une statue de marbre par exemple) : c'est donc comme disciplines pratiques visant à rendre les hommes meilleurs que la morale et la politique doivent être entendues, et non pas comme des sciences exactes, car les affaires humaines se passent au niveau de la réalité contingente, non mathématisable

Scaramouche, Je vous préviens, cher Mirmidon, Qu'à la fin de l'envoi, je touche! Vous auriez bien dû rester neutre; Où vais-je vous larder, dindon?... Dans le flanc, sous votre maheutre?... Au coeur, sous votre bleu cordon?... Les coquilles tintent, ding-dong! Ma pointe voltige: une mouche! Décidément... c'est au bedon, Qu'à la fin de l'envoi, je touche. Il me manque une rime en eutre... Vous rompez, plus blanc qu'amidon? C'est pour me fournir le mot pleutre! Tac! je pare la pointe

que » du sujet. C'est une formulation restrictive, péjorative. Répondre à l’affirmative, c'est indiquer que le langage est réduit à n'être qu'un outil, c'est-à-dire à une fonction purement utilitaire (encore faudra-t-il préciser de quelle fonction il s'agit). Donc, il y a deux alternatives : soit le langage n'est pas uniquement un outil car il n'est pas du tout un outil (c'est par exemple, non pas un moyen mais une fin en soi) ; soit le langage n'est pas qu'un outil parce que c'est un outil mais pas

m'impose. Il a une connotation morale, la morale c'est ce qu'on s'oblige a soit même. Agir selon la morale c'est répondre a 3 règles : KANT : 1) Universalité de la maxime : Si je veux agir moralement, chaque fois que je veux faire quelque chose je me pose la question « qu'est ce qu'il se passerait si tout le monde faisait ainsi » ? 2) Le respect de la personne humaine : La personne est l'homme moral. Considérer que l'homme est une fin en soit et pas un moyen. Un objet est un moyen,

décédé).Ce patient est entré en EHPAD pour maintien à domicile trop compliqué.Monsieur G a de nombreux antécédents : anémie, asthme, maladie neurocognitive, cancer de la prostate…Le 23 janvier monsieur G est très angoissé et très fatigué. (Il est en fin de vie)Nous lui faisons des soins de confort : effleurage sur les points d’appui, des soins de bouche et brumiser le visage.Le médecin nous demande de continuer tous les traitements per os.Sa fille est présente avec la sœur de monsieur.Le 25 janvier :

l’individu tout en disant que c’est le bien des deux, de l’individu et de la cité, qu’il convient d’atteindre et de sauvegarder. Mais de quoi consiste donc ce bien? 1 ARISTOTELES, Ethique a Nicomaque, I, 1, 1094 a 1-3. D’après Aristote, le bien suprême est la vie heureuse, le bonheur qui est recherché par l’homme, une recherche qui définit dans ce sens l’homme. Aristote explique que « sur son nom, en tout cas, la plupart des hommes sont pratiquement d'accord: c'est le bonheur, au dire de la foule

soviétique autour de l’URSS. « Paix impossible, guerre improbable » Raymond Arron. Comment l’opposition entre l’Union soviétique et les Etats-Unis structurent-elles les relations internationales à partir de 1947 ? Comment la Guerre Froide prend-elle fin et quel nouvel ordre mondial lui succède ? I) De la Grande Alliance à la bipolarisation du monde (1945-1947). A. Deux modèles de société diamétralement opposées. Les Etats-Unis : Relevez, les principes fondamentaux du modèle américain qui apparaissent

Un piege sans fin est un écrivain qui a écrit plusieurs œuvres. Au nombres de celles-ci, nous avons un piège sans fin. A travers ce roman l’auteur aborde les thermes actuelles de notre sociétés tels que : l’amour, l’adultère, la jalousie et beaucoup d’autres thèmes. Pour cela, faisons une étude des personnages de cet ouvrage...   1262 Mots | 6 Pages   Un piège sans fin ETUDE DE L’OUVRAGE UN PIEGE SANS FIN D’OLYMPE BHELY QUENUM ETUDE DE L’OUVRAGE UN PIEGE SANS FIN D’OLYMPE BHELY QUENUM Plan Introduction

n'est pas un brouillon) |1 point | | | |- il y a des alinea en début de paragraphe |1 point | | | |- c'est agréable à lire |0,5 | | | |II. L'ORTHOGRAPHE