Césure

en laisses assonancées laisses : groupe de vers homogènes (contenu, assonance) assonance = la dernière voyelle possède le même timbre (la rime nécessite aussi l’homophonie des consonnes) le plus souvent : décasyllabe, découpé par une forte césure (césure épique) après la 4ième syllabe 4 + 6 AOI : facilité mnémotechnique ?? signe pour le jongleur ?? traits d’oralité = répétition: laisses similaires : halte dans la narration ; répétition (p.ex. la mort de Roland) laisses parallèles : inaugurée

marque l’appropriation. De même, Verlaine a recours au présent d’habitude : « je fais » redoublé par l’adverbe « souvent », mis en valeur par la coupe. Autre indice marquant la répétition, l’expression « chaque fois » est elle-aussi accentuée par la césure à l’hémistiche. La multiplication tout au long du poème des répétitions, qu’il s’agisse de mots ou de sonorités, contribue aussi à cette impression d’obsession : ainsi la conjonction de coordination « et » est utilisée six fois dans le premier quatrain

chaque syllabe accentuée et marque la fin d'une mesure. Les vers longs comportent plusieurs coupes: la plus importante placée au milieu est appelée césure (voir l'exemple de l'accent fixe). Dans l'alexandrin classique, la césure se situe après la sixième syllabe prononcée. Chacune des deux moitiés de l'alexandrin s'appelle un hémistiche Hémistiche et césure :L'hémistiche est la moitié d'un vers. Il est marqué par une césure.Exemple : Qui n'a pu l'obtenir || ne le méritait pas (Pierre Corneille, Le

quelque peu paradoxal, mais il est néanmoins très présent. II. Humanisme et grandeur romaine 1. Un sonnet au rythme majestueux Choix de la forme du sonnet Choix de l’alexandrin 2. Rome, la magnifique Les palais, noblesse du marbre v.10, césure sur audacieux Hommage paradoxal car sapé par l’impression que la grandeur = prétention et le marbre = dureté 3. Rome et les humanistes Jason, Ulysse Noms de lieux romains Allusions teintées de familiarité caractéristique des humanistes qui

l’augmentation de l’intensité de la voix sur une syllabe. La coupe Il s’agit, dans un vers, de la séparation entre deux mots, séparation qui marque la fin d’une mesure. En général, il y a une coupe majeure qu’on appelle césure et des coupes mineures. Exemple : dans l’alexandrin classique, la césure est au centre (6/6) : les deux moitiés de vers s’appellent alors des hémistiches. La rime Il s’agit du retour, à la fin de deux ou plusieurs vers, de la même consonance de la terminaison accentuée (voyelle et consonne

plus part des signes de ponctuation sont précédés d’un espace On utilise l’espace normal ou l’espace huitième de cadratin appelé aussi espace fine. Il est préférable également d’utiliser des espaces incessables pour éviter les problèmes lors des césures. 2. N’insérez qu’un seul espace après les signes de ponctuations. Ce tableau résume les règles régissant les espaces avant et après ponctuations : AVANT pas de blanc pas de blanc espace fine incessable espace fine incessable espace fine incessable

dont le poète est maintenant détaché. Beaucoup de son « s » siciliennes, solennité, allitérations qui évoque une forme de glissement total et inéductable. Enjambements « champs nourriciens » « pastorales siciliennes » rejet de l'adjectif. Utilise la césure pour détacher le nom de son adjectif « écho vermeil » dissonance, fêlure de son âme que l'on entend dans une fêlure rythmique. Rimes embrassées ABBA, mise à distance même si c'est la disposition convenue des quatrins d'un sonnet. V.2 rythme saccadé

– Un chiasme est formé avec u ou / u ou qui encore une fois intensifie les bruit de la capitale – Vers 1 « autour » est la coupure du milieu de l’alexandrin qui correspond à la césure B) Description de la femme -Un champs lexical de la femme est présent vers 2-3-5 « Longe, mince/femme/agile

Commentaires Vers 1 : périphrase « nouveau venu » : invitation à la découverte Vers 1 : apostrophe « nouveau venu (…) cherche » : invitation à la visite de Rome Vers 1 : décasyllabe : poème lyrique Vers 2 : répétition de Rome mise en valeur par la césure : Rome est le sujet du sonnet / passé présent Vers 2 : allitération en « m » : lyrisme Vers 2 : champ lexical de la vue associé à la négation : visite décevante Vers 3 : gradation descendante « palais / murs / arcs » : spectacle des ruines

Vénus ? Las Que je n'aimerai point puissé-je trépasser ! Explication du texte I/ Une invitation à l’amour 1.situation d’énonciation bien définie a- l’adresse initiale (prénom de Marie associé au thème du poème -> anagramme, mis en valeur par césures) b- fréquence des 1e personne et adjectifs possessifs de 1 e/2e personne, impératifs supposent un récepteur (Marie). 1epersonne pluriel englobe poète et Marie dans une même unité. Retour 1e personne singulier à la fin du poème. 2.lien étroit établit