Césure

fait ressortir la culpabilité de celle-ci en employant des mots importants à des endroits stratégiques du vers : « perfide » est placé juste avant la césure ; « forfaits » est placé à la fin du vers. - Il utilise le champ lexical du pardon : « oublier » ; « excuser » qui sont eux aussi placés à des endroits stratégiques comme juste après la césure. - Il exprime bien sa condition comme le témoigne les connecteurs logiques : « Pourvu que » ; « et que » ; « sans tarder ». - « Vos désirs avec moi

du personnage. 2- Effet de continuité, fluidité suggérant le calme de la nature, la promenade paisible - Versification : le poème est organisé en décasyllabes et en rimes plates. Les césures à l’hémistiche fréquentes provoquent une régularité, une monotonie. Il y a fréquemment des imparfaits à la césure (vers 1-2-4-10) et (vers 11-12). - Syntaxe : - Le poème est constitué de phrases longues avec une seule pause au vers 4 qui traduit l’apparition du personnage. - Le reste du

l’intérieur du personnage. 2- Effet de continuité, fluidité suggérant le calme de la nature, la promenade paisible - Versification : le poème est organisé en décasyllabes et en rimes plates. Les césures à l’hémistiche fréquentes provoquent une régularité, une monotonie. Il y a fréquemment des imparfaits à la césure (vers 1-2-4-10) et (vers 11-12). - Syntaxe : - Le poème est constitué de phrases longues avec une seule pause au vers 4 qui traduit l’apparition du personnage. - Le reste du temps

quatrains 6 et 7 lors de l’apparition de la lune. Son apparition est retardée dans un effet de suspense créé d’une part par l’anastrophe aux vers 23 et 24 « Jusqu’à l’heure où l’on voit apparaître et rêver / les yeux sinistres de la lune », et la césure qui divise le vers 24 en cinq syllabes d’un côté « Les yeux sinistres » et trois vers de l’autre « de la lune », renforçant ici l’effet de surprise. On ne s’attend pas en effet à l’association de la lune à un caractère sinistre ou une intention

Parallélisme en ouverture et en fermeture Emploi du futur 2) Des effets dramatiques baroques Amplification Trompe-l'œil => paronomase, raccourcis, oxymore Opposition dramatique => oxymore Césure l.1-2, "mourir"/"mort" avant la césure Antithèse au dernier vers L.1 : 2 termes opposés à la césure : la disposition renforce l’idée de mort Gradations/amplifications : - Sons : "éclatera", "tonnerre", "rugissements" Allitération en "R" - Visuels : "flammes", "clairs éclairs" 3) De la vanité

Acrostiche : Les 1er mots de chaque vers donne le sens au poème ou de la strophe. Acte : Partie d’une pièce de théâtre. Alexandrin : Vers de 12 syllabes. * Classique : 2 groupes -> 6 syllabes composées, les hémistiches séparés par une césure. * Romantique : se différencie du précédent par la place et le nombre de ses accents. Allégorie : Succession de métaphore pour désigner une même idée. Alliance de mots (oxymore) : Rapprochement de deux termes, apparemment incompatibles

hémistiches (= moitié de vers), autour d'une césure (= milieu du vers). Par exemple, leFiche de cours versification (pour le théâtre en vers et la poésie) vers suivant : « Tout m'afflige et me nuit // et conspire à me nuire » est composé de deux hémistiches, de six syllabes chacun. La césure est alors une pause, un repos de la voix (qui peut correspondre à une reprise du souffle, mais n'est pas nécessairement à la fin d'un mot). Cette césure centrale donne donc un rythme binaire à l'alexandrin

paradoxal de la paresse. Dodécasyllabes « alexandrins » => le Roman d’Alexandre (XIIème siècle) => en dodécasyllabes => écrit en langue romane (pas un roman). - conjonction de coordination « et » à la césure à l’hémistiche (v.1) - diérèse v.5 « soucier » + place à la césure => mise en valeur - diérèse v.13 - rimes embrassées v.1 et 4 [O.L.I] => rimes riches - rimes suffisantes v.2 et 3 => pour mettre en valeur les rimes riches - rimes riches v.9 et 10 Le poète se présente

« Ne courez point si vite ». Son assurance est telle qu'il s'amuse à reprendre son ancien personnage de dévot, tout en sachant pertinemment qu'il n'abuse plus personne. En effet, il évoque ironiquement « Le Ciel »( mis en valeur par sa place à la césure) dont il ornait chacune de ses phrases avant d'être démasqué. Il continue à feindre de se parer des vertus de tout bon chrétien et d'excellent Sujet : une abnégation totale, rendue par l' hyperbole « je suis...appris à tout souffrir », et un sens

vocabulaire simple du quotidien, ce qui questionne par rapport au sonnet où on traite habituellement de thèmes nobles. Les mots sont des mots courts de 2 syllabes max. À l'exception de vénéneux de 3 syllabes. De plus, vénéneux est sous l'accent de la césure. Donc intérêt accru sur ce mot scientifique qui vient du latin classique venenum, puis venimen en bas latin, et qui signifie « décoction de plantes magiques »ET qui a le sens de « charme, philtre » avant de prendre définitivement le sens de « poison »