Cette folle jeunesse

et l’ascension des rougon nous pouvons donc rellever deux élément de résolution : La mort de miette puis de silvére Lorsque les rougon aarrive au pouvoir a plassans Situation finale Adelaïde Fouque après avoir vu la mort de Silvère devient folle. Miette et Silvère sont mort . Les Rongon sont respeter a plassans, Pieree rougon va être decoré de la légion d’honneur. Le fils de pierre rougon se raillie a la cuse impériale alors quil était avant républicains antoine macquart fuit la France

ces flots retentissent ? Quels chants éclatent sur ces bords ? De ces deux concerts qui s'unissent L'écho prolonge les accords. N'osant se fier aux étoiles, Le pêcheur, repliant ses voiles, Salue, en chantant, son séjour. Tandis qu'une folle jeunesse Pousse au ciel des cris d'allégresse, Et fête son heureux retour. Mais déjà l'ombre plus épaisse Tombe, et brunit les vastes mers ; Le bord s'efface, le bruit cesse, Le silence occupe les airs. C'est l'heure où la mélancolie S'assoit

l'échange de âme contre une nouvelle jeunesse. Faust accepte et le diable l’emmène pour un long voyage. Méphistophélès, cherchant a satisfaire le plaisir de Faust, organise une rencontre entre Marguerite et Faust. Ceux-ci tombent littéralement amoureux l'un de l'autre et auront un enfant mais Faust les abandonnera rapidement . Lors d'une nuit dans une tanières avec le diable et des sorcières, Faust a une vision de Marguerite allongée dans une prison, devenue folle et meurtrière de son enfant. Faust

invite à partager sa révolte contre une certaine catégorie de vieillards. Le poète recourt aussi à des métaphores valorisantes : les jeunes sont les « Maîtres du mois d'avril et du soleil levant », les « fleurs du monde vivant ». En glorifiant la jeunesse, Hugo rabaisse par la même occasion la vieillesse, symbole de décrépitude. L'accumulation du vers 8 permet au poète de valoriser leurs cheveux « noirs, profonds, abondants ». De même, les caractérisations sont positives : ils ont le « teint frais

jupe dans le car parce qu’elle l’avait mal (boutonné) …………..…. ; de toutes les fois où elle a (cru) …………..…. être importante pour quelqu’un, et où elle s’était trompée. Extrait de La petite capuche rouge d’O. CHARPENTIER, Ed. Gallimard Jeunesse, Col . Hors-Piste Texte 2 : Grâce à une statue de cheval géante, les Grecs se sont (introduit) ………….…. dans Troie dont ils ont (massacré) ……….……. La population et (brûlé) ………….…. les bâtiments. Enée a (pu) ………….…. s’échapper en emmenant

mettre au régime. – Et vous mangez vraiment tout ? demanda-t-il en se relevant péniblement. – Absolument tout, même ce qui est immangeable. – Même de la choucroute ? – De la choucroute, de la cervelle, des rognons, de la tête de veau, de la vache folle, tout ce que tu voudras, et aussi du caoutchouc, de la porcelaine, du papier, du tissu, des livres. J’adore les livres, je les dévore. – Même les dictionnaires d’anglais ? – Surtout les dictionnaires d’anglais. Avec une petite sauce à la menthe,

femme avec un teint si éblouissant, lui parler d’un air doux. Mme de Rênal regardait les grosses larmes qui s’étaient arrêtées sur les joues si pâles d’abord et maintenant si roses de ce jeune paysan. Bientôt elle se mit à rire, avec toute la gaieté folle d’une jeune fille, elle se moquait d’elle-même et ne pouvait se figurer tout son bonheur. Quoi, c’était là ce précepteur qu’elle s’était figuré comme un prêtre sale et mal vêtu, qui viendrait gronder et fouetter ses enfants ! – Quoi, Monsieur, lui dit-elle

une chimère - l'homme - voyageurs - les rois - la Vénus - Déesse - le fou - Le chien - Le flacon Figures de styles - Comparaison : « les meubles ont l'ai de rêver » « comme le végétal » - Allitération en -r  - Comparaison : « comme la jeunesse sous la domination de l'amour » - Anaphore / accumulation : « un de ces fous artificiels , un de ces bouffons volontaires » - Anaphore : « mon » = 1ère phrase - Accumulation : «  mon beau chien, mon bon chien, mon cher toutou » - Oxymore : « 

– FLAUBERT Présentation de l’auteur et contexte historique et social : Gustave Flaubert naît à Rouen en 1821. Fils de médecin, il grandit dans un environnement médical favorisant ainsi une observation rigoureuse des phénomènes. Sa jeunesse est marquée par un accident cérébral, ce qui le poussa à arrêter ses études et à se consacrer à l’écriture. On connaît peu de choses sur sa vie, ainsi l’auteur disait : « Je n’aime pas intéresser le public avec ma personne », l’écrivain ne doit

ni chronologique: il reprend simplement quelques moments privilégiés ou douloureux en particulier dans la dixième année de son enfance. Le chapitre I sert de préambule pour Albert Cohen, ainsi du chapitre II à IV il évoque quelques scènes de sa jeunesse qui illustrent bien la relation fusionnelle qu’il menait avec sa mère « guetteuse d’amour toujours à l’affût » dont les yeux contemple sa santé et ses soucis. - II. La consolation de l’écriture, l’enjeu de l’autobiographie 1) Changement de registre