Ceux de la Libération

enfants et des adolescents dans le système concentrationnaire 1-Dans les camps de concentration. 2-Vers l'extermination. 3-Enfants et adolescents tziganes. 4-Enfants ou jeunes cobayes. 5-Enfants nés en camp. III-Après les camps 1-Libération et retour. 2-Séquelles. 3-Garder la Mémoire. Conclusion Introduction : Son idéologie raciste, Hitler, l'a présenté dans son livre «Mein Kampf» ( mon combat) en divulguant ses besoins à propos de la race Aryenne. Elle a besoin d'un

Romain, qui dominait une grande partie de l’Europe ne procédait pas à la détention de longue durée. Elle n’était qu’accessoire, en l’attente d’un jugement ou d’une exécution. La peine était maximum de quelques mois, en attente de sa punition, de sa libération ou de son exécution. A cette époque la réduction à l’esclavage (pour dettes ou en étant fait prisonnier de guerre) était plus courante que l’enfermement. Les premières prisons étaient donc pour la plupart des lieux d’exécutions, comme la prison

vue, la liberté paraît contraire à l’obligation et à la contrainte. Or, obéir , est une contrainte, une obligation. Alors dans cette optique, seuls ceux qui n’obéissent pas dans la société seraient libres. Les seuls qui seraient libres sont ceux qui commandent, qui donnent des ordres parce que soit-disant ils n’auraient pas d’obligations. En ce sens, ceux qui commandent, les chefs et les dirigeants feraient tout ce qu’ils veulent. Les personnes subordonnées, qui doivent obéir, a contrario, ne seraient 

la solution à tous les problèmes, ou presque. C’est forme d’énergie sont encore moins connu et développés que le nucléaire, si bien que peu savent qu’il y a 5 famille d’énergie renouvelable. Soit ceux fournies par le soleil, le vent, la chaleur de la terre, les chutes d’eau et les marées, et finalement ceux fournies par la croissance des végétaux. Leur nom le dit, ce sont des énergies renouvelables, leur plus grand avantage est alors qu’elles ne seront jamais inépuisables, contrairement aux « énergies

intérieure :- Peu de personnes résistent au début, car les Français souhaitaient d'abord la fin de laguerre- Mais, des personnes refusent l'occupation et les décisions du régime de Vichy- Ainsi, des mouvements de résistance apparaissent comme Combat et Libération en1940, les Francs-Tireurs en 1941- Des syndicats, comme la CGT, entrent dans la Résistance- Les partis politiques (socialiste, communiste en 1941) entrent aussi dans laRésistance.- Ils mènent différentes actions : sabotages, exécutions d'officiers

des Juifs. III. Les Français dans la Résistance 1. Une minorité de résistants courageux La résistance extérieure est née de l'Appel du 18 juin 1940 lancé par le général de Gaulle à la BBC, invitant les Français à poursuivre le combat. Ceux qui ont répondu à son appel au Royaume-Uni et dans l'Empire, combattent aux côtés des Alliés au sein des Forces Françaises Libres ( FFL ). La résistance intérieure qui s'organise lentement en France dans les deux zones autour de petits groupes

avant la libération, Gunther, le grand musicien est exécuté. En 1945, sortant enfin après la libération, Tanguy retourne en Espagne pour vivre avec sa grand-mère mais apprend la mort de celle-ci en arrivant. Il est alors conduit à l'Asile Dumos-Centre de redressement où les pensionnaires sont principalement des délinquants et des orphelins. Ceux-ci ne vont pas à l'école mais doivent travailler dans des ateliers. Ce centre est tenu par des religieux, les Frères. Tanguy, après la libération, n'était

tous les aspects ont plus ou moins été étudié, seulement aucun ouvrage ne proposait de synthèse de ceux-ci et comme le souligne Antoine Picardat[2] « à force d’être pointues, les études finissent par faire perdre de vue les problèmes d’ensemble. ». L’originalité de l’auteur a donc été de réaliser une synthèse sur le sujet, en étudiant le problème dans sa globalité c'est-à-dire « des origine à la libération de Paris, en intégrant l’ensemble des points de vues » et surtout en «envisageant la pluralité

d’enfermement à la liberté. La sortie de la caverne peut être aussi perçue comme la découverte douloureuse de la réalité. Etapes du texte : 1) La caverne : ignorance et enfermement (décors, conséquences)  « c’est de toute nécessité » 2) La libération douloureuse  « du moins dès l’abord » 3) L’accoutumance patiente du regard  « de cette façon-là » 4) La redescente dans la caverne : le risque de l’incompréhension et de la mort. Ce texte peut être perçu comme une métaphore de la condition

qui dit choix dit que nous avons des options et ceux-ci sont déterminés par notre environnement socio-économique selon ce philosophe. Par conséquence, les choix a qui nous nous soumettons ne sont pas totalement les nôtres mais plutôt déterminés par notre style de vie. En outre, sa liberté possible se résume dans le dur travail que nous faisons chaque jour pour subvenir à nos besoins et celle-ci doit être collective pour être qualifié de libération. Car, le travail nous permet de mieux répondre à