Chacun Peut Il Avoir Sa Verite

La religion Quelques sujets possibles - La vérité scientifique constitue-t-elle une arme contre le fanatisme ? (I.E.P. Paris, 2002). - Le religieux est-il l’ennemi de l’esprit scientifique ? - La religion implique-t-elle nécessairement une démission de la raison ? - Une société sans religion est-elle souhaitable ? - Une société peut-elle se passer de religieux ? - Y a-t-il des limites à la tolérance ? - I.E.P. Paris, 1998 «  Mieux vaudrait n’avoir aucune idée de Dieu qu’une idée

sincérité, de franchise et d’honnêteté, la vérité et une valeur, et le fait de la dire est une vertu. Elle est d’ailleurs valorisée, encouragée, par la religion et la morale. Egalement, elle profite à celui qui la délivre (soulagement de la conscience). Cependant, elle peut blesser aussi celui qui l’entend. En s’appuyant sur l’étude de la princesse de Clèves par Mme de Lafayette, nous pouvons nous demander si toute vérité est bonne à dire. Nous

DE PHILOSOPHIE Faut-il chercher la vérité ? Les hommes ont toujours cherché la vérité. C’est grâce à cela que la science a évolué, de même que les connaissances dans de nombreux domaines, et évoluent encore. Cependant, aujourd'hui certains sont morts pour avoir eu connaissance de vérités qui ne les concernaient pas. On peut alors se demander : faut-il chercher la vérité ? On est souvent tenté de connaître la vérité. Mais faut-il contourner la vérité, par souci de tranquillité, ou bien faut-il

de convaincre leurs adversaires d’adopter la vérité que l’on défend. Définissons d’abord une opinion comme un jugement sur un sujet par la pensée. On peut maintenant s’interroger à savoir s’il existe des opinions qui soient meilleures que d’autres. Dans ce texte, on montrera qu’en effet, il en existe. On verra que certaines personnes peuvent avoir des opinions qui soient plus valables que celles d’autres personnes, qu’on pourrait croire qu’on ne peut pas juger les opinions des autres, qu’il est

La vérité et le réel Deux problèmes posés par la réalité, soit on l’oppose à l’erreur, soit on l’oppose au mensonge. Celui qui est dans l’erreur ignore la vérité mais celui qui ment trompe les autres Cela pose 2 questions : - 1er cas il s’agit de savoir comment faire pour connaître le vrai ? * 2ème cas : Est-ce qu’il est juste de dire tout le temps la réalité ? 1- La vérité face à la réalité A- Le vrai est-il réel ? Quand nous recherchons la vérité, nous tentons d’être en

pour entrer dans Platon échelle de la connaissance, opinion c’est la pire chose, parce que je sais que je ne sais rien que je peux avoir un progrès, terre plate, prisonnier de ta perceptionAntithèse : · Relativisme, opinion qui se valle, Œdipe (personne qu’il réfléchit, sa réflexion lui a mené à son malheur) Relativisme, opinion se valoir, remise en question de la vérité, pourquoi éliminé l’erreur, tout est vrai en gros il existe que des opinions, idées non fondé, antithèse ex : Œdipe (personne qu’il

réflexion, qui, sous des apparences fantaisistes, a une certaine rigueur qui découle de la connaissance qu’il a de la philosophie. Ainsi nous présente-t-il en premier lieu « la première répréhension qu’on fait » de « l’ouvrage » de Sebond, puis, après avoir réfuté cette objection, il s’attaquera au deuxième problème : « je me suis, sans y penser, à demi déjà engagé dans la seconde objection à laquelle j’avais proposé de répondre pour Sebond. » Par ailleurs, tout au long de ce livre, Sebond entreprend

VERITE Cours : Vérité. Notions traitées : Vérité, Raison/réel, Matière/Esprit, Théorie/ Expérience, Démonstration/Interprétation. Concepts abordés : Opinion, Erreur, Expérience, Théorie, Hypothèse, Absolu/Relatif, Expliquer/comprendre, Nécessaire/contingent. Qu’est-ce que la vérité ? Question de l’essence de la vérité, circonscrire sa nature, sa définition-> A quoi la reconnaît-on, de quoi la distingue t’on ? Quels sont les critères permettant de la définir, sont-ils pour autant définitifs

caractère élémentaire qui exclut par principe une visée encyclopédique. Il ne saurait être question d’examiner dans l’espace d’une année scolaire tous les problèmes philosophiques que l’on peut légitimement poser, ou qui se posent de quelque manière à chaque homme sur lui-même, sur le monde, sur la société, etc. Il ne peut pas non plus s’agir de parcourir toutes les étapes de l’histoire de la philosophie, ni de répertorier toutes les orientations doctrinales qui s’y sont élaborées. Il convient donc d’indiquer

formative n°1 «  La vérité est un symbole que poursuivent les mathématiciens et les philosophes. Dans les rapports humains, […] les mensonges valent mieux que mille vérités. » Qui n’a jamais menti dans sa vie ? « Un petit mensonge n’a jamais fait de mal à personne »… Mais est-ce vraiment le cas ? D’après Graham Greene, « La vérité est un symbole que poursuivent les mathématiciens et les philosophes. Dans les rapports humains, […] les mensonges valent mieux que mille vérités. ». Est-ce indispensable