Chacun Qui Voit Ma Couleur Triste Et Noire

homme et d’une femme. C’est une scène de la vie quotidienne d’un couple vivant à New York. On voit la scène à travers la fenêtre ouverte donnant sur leur appartement. A l’arrière-plan on voit une porte qui est fermée. A droite il y a un piano avec une lampe dessus. La décoration est impersonnelle. Ensuite nous avons un homme qui a une chemise blanche, un gilet noir sans manches, une cravate noire. Il est assis sur un fauteuil rouge, ici. Il est absorbé et concentré dans la lecture du journal

partagée avec la petite fille solitaire et triste. Dans un second temps, nous verrons comment l’album possède une deuxième dimension, celle d’un récit initiatique qui fera passer l’héroïne du statut de petite fille à fillette en explorant les angoisses liées à l’imaginaire de l’enfance. C’est tout d’abord un récit qui fait appel aux émotions des enfants, qui se met à leur portée. En effet, l’album nous donne à voir dans sa première moitié, une enfant triste et solitaire. Cette petite fille apparaît

Description formelle de la première œuvre : Je vois des rectangles blancs en diagonales de l’image qui eux ont des plus petits rectangles bruns placés à la verticale et il y a un certain espace entre chacun de ces rectangles. Il y a en deux un à droite et un à gauche, celui de gauche à des couleurs plus foncées que celui de droite. Il y a un rectangles brun au bout des deux rectangles blancs. Ce rectangle possèdent 3 rectangles plus pâles, d’un certain bleu, le rectangle du milieu est plus gros.

Maryse Condé, publie en 1986, Moi, Tituba sorcière…[footnoteRef:2] ; cette oeuvre est née d’une envie et d’un besoin de réhabiliter une femme qui a existé mais trop vite oublié par les historiens car en plus d’être une femme noire, c’est aussi une esclave; son nom est Tituba, qui est plus connue comme l'une des sorcières de Salem, condamnée en 1692 pour sorcellerie. [2: Maryse Condé, Moi, Tituba sorcière…, Paris, Folio, 1968] Par la fiction

photographie est simple : On voit deux fontaines à eaux et une personne de couleur qui se baisse afin de boire au robinet de droite. Les fontaines à eaux sont très distinct, sur une de c’est fontaine (celui de gauche), on voit le mot « white » qui signifie blanc en Anglais au-dessus de se lavabo. Ce lavabo est très grand, très beau, semble neuf et moderne comparé à celui de droite. Il est destiné aux personnes de couleurs blanches. Par contre l’autre robinet (celui de droite) ou l’on voit le mot « Colored »

s’intéresse : - Aux discriminations raciales (la question raciale, Kara s’y intéresse depuis l’âge de ses 13 ans) - Aux relations entre les noirs et les blancs - Aux rapports maîtres-esclaves - A la ségrégation - A l’hypersexualisation de la femme noire è Elle utilise sa pratique pour explorer, souvent avec humour tous les sujets cités è Elle est très bien placée pour véhiculer certains thèmes qu’elle aborde puisqu’elle en a vécu quelques-uns è Elle est majoritairement connue pour ses

bâtiments s’élevant chacun sur trois étages et percés de plusieurs dizaines de fenêtres et de portes. Il comprenait également de nombreuses annexes, dont une écurie sur l’aile droite et un pigeonnier sur l’aile gauche, et ouvrait sur un parc de plusieurs hectares regroupant des essences d’arbres et de fleurs venues du monde entier. L’intérieur quant à lui était décoré à la dernière mode, parquets lambrissés, meubles laqués, lustres et miroirs vénitiens et tissus précieux aux couleurs chatoyantes. Mais

extrait de "La Bête Humaine " mettant en évidence le dépassement du réalisme chez Zola (fin du chapitre II ) Jacques vient de quitter Flore, désespéré par son mal, et s'est assis dans l'herbe pour réfléchir . "(...)Jacques vit d'abord la gueule noire du tunnel s'éclairer, ainsi que la bouche d'un four, où des fagots s'embrasent . puis, dans le fracas qu'elle apportait, ce fut la machine qui en jaillit, avec l'éblouissement de son gros oeil rond, la lanterne d'avant, dont l'incendie troua la campagne

croyances mènent un jour à l’intérieur de l’homme, mais il faut beaucoup de temps pour que se sédimentent toutes nos illusions ! Sur la porte de mon âme, comme sur celle de l’Âshram de Rabîndranath, il était écrit d’une belle écriture sigillaire couleur de ciel bleu : « En ce lieu, nulle image ne sera adorée et la foi de nul homme ne sera méprisée ». (...) Alors, entre deux inspirations profondes, comme celui qui part pour les grands fonds, en plein air, à l'ombre des arbres verts, je

croire. Elle refuse de le croire peut être parce que Ronsard est un grand poète et qu’elle n’est qu’une simple paysanne. Pourtant dans la poésie il fait tout pour montrer qu’il est amoureux d’elle. Dans la ligne 1 il dit que « chacun qui voit ma couleur triste et noire, Me dit : ‘’ Ronsard vous êtes amoureux ‘’ même les gens le savent qu’il est amoureux. Il montre beaucoup sa souffrance. Il exprime son amour de façon douloureuse, ce qui prouve qu’il est vraiment amoureux d’elle, ligne 3 on peut