Chai

description A- Un cadavre Dés les premières lignes de cette extrait plane une atmosphère tendu , Laurent est « perdu dans sa contemplation inconsciente » . Ici , le cadavre de Camille y est décrit avec les champs lexicaux de la décomposition sa « chairs dissoutes » donne l’illusion de « pourriture » et son corps est en « putréfaction » , et celui de l’anatomie sa « bouche » , ses « yeux » et ses « cheveux » . Ainsi l’imparfait est utilisé dans ce passage comme «souffrait » , « éprouvait » car

l'observent avec des regards familiers. Comme de longs échos qui de loin se confondent Dans une ténébreuse et profonde unité, Vaste comme la nuit et comme la clarté, Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. II est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, - Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens

sens, des synesthésies toutes aussi surprenantes les unes que les autres, en commençant à la ligne 8 avec « les parfums, les couleurs et les sons se répondent ». En effet, à la ligne 9, il met en relation l’odorat « parfums frais » et le toucher « chairs d’enfants ». À la ligne 10, il met en relation l’odorat « parfums doux » et l’ouïe « hautbois », puis l’odorat «parfums verts » et la vue « prairies ». À la ligne 11, le tiret montre une cassure et évoque encore une fois l’opposition entre les différents

réflexion sur la transformation dans le temps : les effets de la vieillesse. Malgré ses soixante-cinq ans, il n’hésite pas à jouer de sa chair, de ses articulations pour produire une forme d’intimité partagé. En effet il joue de la malléabilité de ses chairs et organes en les étirant, les froissants pour donner lieu à encore d’autres déformations. De plus, puisque dépossédé d’identité, par l’absence de figure, le corps de Coplans peut être, ou devenir, celui auquel songent chacun des visiteurs. La

question de mort de souffrance et de résurrection puisque le panneau central est une crucifixion (Christ sur croix). GRÜNEWALD choisit de peindre sans rien voiler du corps crucifié : corps amaigri, déformé, creusé par la douleur, mains et pieds arqués, chairs grises et meurtries par les clous, sang…. La prédelle représente la mise au tombeau et sous entend la résurrection à venir. Point communs : format (triptyque+prédelle), réalisme des blessures, taille( grande) Les joueurs de skat

CommuniquerRéalisez un compte rendu informatique (3 pages) reprenant les éléments de réponse. 0 0 0 0 0 1 S| C7) || ~ HY Etude 02/11/2011 11:21:05 9p Mécanisme “-@ Pidces 1-8" Liisons ® Efforts 4p Analyse |p Resuitats <Etude > © Chai G Trajectoires LE courbes

B/Historique de la société Chapitre II : L’activité des Celliers de Meknes A/Le patrimoine productif de la société 1/Cave Boufekrane 2/Cave Ain Lorma 3/Chaî de négoce 4/Unités de conditionnement 5/Parc de véhicules de transport 6/Commercialisation B/Le processus de production 1/Au niveau des

abstraite, le parfum. Le parfum est impalpable, mais allitérations de fricatives, consonnes de vent en allitérations. Il faut lui trouver des équivalences plus palpables. Sensations avec trois " comme " successifs, avec du : · tactile : " chairs d'enfants fraîches ", · musical : " le hautbois ", · visuel : " vent, prairie, printemps ". De plus, on remarquera que ces sensations ne sont pas enfermées, mais débordent de leur domaine. Le poète cherche un 2ème exemple, auquel il

les populations des colonies. Les moyens de cette guerre idéologique : la censure (exemple de la circulaire française du ministère 1914, lettres des soldats censurées), le bourrage de crâne (articles de presse ex : la mitraille qui transperce les chairs), une propagande acharnée (affiches publicitaires, volonté de diaboliser l’ennemi, fausses informations)… exemple : les kamikazes nippons révélateurs de cette nouvelle dimension. Nouvelle forme de guerre totale : des idéologies se font face 3.3      

déflagration se fit entendre. Anatole se leva péniblement et suivit son frère en direction de la porte d’entrée du palais, d’où venait le bruit. Les gens de la cour du roi y étaient déjà. Un spectacle horrible s’offrait à leurs yeux. Des morceaux de chairs et d’os jonchaient le sol. On vit même la tête du gros portier sur un arbre perchée. Un témoin confirma l’avoir vu se pencher péniblement pour ramasser sa lance et mourir sans dire un mot, en lâchant un ultime pet retentissant qui fit exploser son