Chai

cette espéce) Tableau récapitulatif des procédés d’écriture les plus courants Procédé Définition et description | Effets Exemples (pourquoi) La comparaison Figure de style qui consiste | Mise en relief « Il est des parfums frais comme des chairs d’ enfants. » a rapprocher deux termes a | d’analogie, de (Baudelaire) Paide d’un outil de ressemblances, de comparaison. rapports de supériorité, d@ infériorité ou d’équivalence. La métaphore C’est un changement de sens par lequel un terme

peintre s’éloigne des figures de marbre et des proportions académiques pour peindre des figures féminines charnus et bien en chair. Ce qui lui permet de travailler les modelés, la lumière, les volumes, les bourrelets , les fossettes créées par les chairs plantureuses. C’est alors techniquement plus intéressant pour le peintre. Les corps ont alors un aspect sensuelle, et érotique car ils appellent au sens (le toucher, la vue) du spectateur. On retrouve la réalité du corps et sa matière réelle. De

moi-même Et je ne sais plus tant je t'aime Lequel de nous deux est absent Paul Éluard, L'Amour, la poésie, 1929. Document C |Les Fenêtres| Les fenêtres nous guettent Quand notre cœur s'arrête En croisant Louisette Pour qui brûlent nos chairs Les fenêtres rigolent Quand elles voient la frivole1 Qui offre sa corolle À un clerc de notaire Les fenêtres sanglotent Quand à l'aube falote2 Un enterrement cahote Jusqu'au vieux cimetière Mais les fenêtres froncent Leurs corniches de bronze

les succès serbes révèlent les performances inattendues et meurtrières de l'artillerie moderne. Pour la première fois, en effet, sont utilisés à grande échelle des canons avec obus à fragmentation, qui tirent à cadence rapide et déchiquettent les chairs. Ces canons ont été fournis par les industriels du Creusot, la Serbie ayant pu moderniser son armée depuis 1909 grâce à des emprunts massifs auprès des épargnants français. Pendant ce temps, les Bulgares, qui disposent de l'armée la plus nombreuse

du deuxième quatrain révèle la synesthésie de ce poème, les « parfums, les couleurs et les sons » que l’on va découvrir en détail dans les deux tercets.Tout d’abord, il met en relation l’odorat « parfums » vers 13, et le toucher « frais » ou « des chairs d’enfants », puis la vue par la comparaison « vert comme des prairies » vers 10. Cette synesthésie nous plonge dans une nature vue par Charles Baudelaire.Il semble la voir différemment et pense que la « nature » veut nous parler par des « forêts de

puisque le panneau central de celui-ci est la représentation d'une crucifixion (c'est à dire du Christ sur la croix) que GRÜNEWALD choisit de peindre sans rien voiler de la déchéance du corps crucifié : corps amaigri, déformé, creusé par la douleur, chairs grises et meurtries par les clous, Ainsi, en utilisant la forme du triptyque Otto DIX cite très directement le retable d'Issenheim et par cette évocation ajoute une strate d'horreur à l'horreur déjà représentée dans soœuvrere « la guerre»

et de résurection puisque le panneau central est une crucifixion (c-à-d le christ sur la croix). Grünewald choisi de peindre sans rien voiler de la déchéance du corps crucifié : corps amaigri, déformé, creusé par la douleur, mains et pieds arqués, chairs grises et meurtries par les clous, sang, pustules. La prédelle représente la mise au tombeau et sous entend la résurrection à venir. Otto Dix cite très directement le retable d'Issenheim : -organisation (triptyque, prédelle, absence de profondeur

seins, des secousses de ventre, des frissons de cuisse ; elle devenait, en quelque sorte, la déité symbolique de l'indestructible Luxure, la déesse de l'immortelle Hystérie, la Beauté maudite, élue entre toutes par la catalepsie qui lui raidit les chairs et lui durcit les muscles ; la Bête monstrueuse, indifférente, irresponsable, insensible, empoisonnant, de même que l'Hélène antique, tout ce qui l'approche, tout ce qui la voit, tout ce qu'elle touche. Ainsi comprise, elle appartenait aux

visiteurs. Tout d’abord, nous sommes en présence d’un registre satirique. En effet, « Plein air » est ridiculisé par les remarques moqueuses des visiteurs avec l’aide de phrases exclamatives qui montrent leur excentricité : « Tiens ! Un savonnage : les chairs sont bleues, les arbres sont bleus, pour sûr qu'il l'a passé au bleu, son tableau ! ». Le tableau n’est pas pris au sérieux : « Cette farce ! » et est catalogué à travers des paroles ironiques : « Voilà, la dame à trop chaud, tandis que le monsieur

« Le Vaisseau d’Or », Nelligan Émile, La Poésie québécoise ; Anthologie. Annexe : C'était un grand Vaisseau taillé dans l'or massif: Ses mâts touchaient l'azur, sur des mers inconnues; La Cyprine d'amour, cheveux épars, chairs nues, S'étalait à sa proue, au soleil excessif. Mais il vint une nuit frapper le grand écueil Dans l'Océan trompeur où chantait la Sirène, Et le naufrage horrible inclina sa carène Aux profondeurs du Gouffre, immuable cercueil. Ce fut un Vaisseau d'Or, dont les