Chale

malle de Gervaise et de Lantier, grande ouverte dans un coin, montrait ses flancs vides, un vieux chapeau d’homme tout au fond, enfoui sous des chemises et des chaussettes sales ; tandis que, le long des murs, sur le dossier des meubles, pendaient un châle troué, un pantalon mangé par la boue, les dernières nippes dont les marchands d’habits ne voulaient pas. Au milieu de la cheminée, entre deux flambeaux de zinc dépareillés, il y avait un paquet de reconnaissances du Mont-de-Piété, d’un rose tendre

plus de sujet qui pourrait m’intéresser que dans les autres thèmes. Si j’ai proposé ce sujet sur les femmes musulmanes c’est parce qu’avant ce TPE je ne les connaissais pas vraiment. Ces femmes qu’on croise partout qu’elles soient voilée, avec un châle ou tout simplement les cheveux libre , je ne savais pratiquement rien d’elles , à part des préjugés que j’ai voulu confronté à la réalité .Je voulais aussi savoir si toutes les femmes musulmanes de la Réunion se sentaient plus libre ici que dans d’autres

blanche marc chagall La crucifixion blanche est une peinture de Marc Chagall réalisée en 1938.C'est une huile sur toile. Le tableau mesure 155 cmX 140cm et il est conservé au «  art institute of chigago » On peut voir plusieurs symboles juifs.Le châle juif,le chandelier ou encore les rouleaux de la Torah Le tableau est construit autour du christ sur sa croix.Il est mit en valeur par un halo de lumière.L'image de jésus crucifié représente aussi l'image du juif martyrisé. Le tableau est représente

proie à un fort questionnement. Felix Nussbaum, alors âgé de 16 ans, est figuré sous les traits de ce personnage interrogateur. Sa position plus ou moins agressive, et son regard pénétrant et rude, interpellent. L’artiste s’est représenté avec un châle de prière (tallit), attribut de l’homme pieux. Le second personnage à gauche, plus âgé, est le chantre* de la communauté juive d’Osnabrück, Elias Abraham Gittelsohn. Légèrement penché en avant, il serre sur sa poitrine un livre de prières : les yeux

Niquab : Ce voile cache tout le corps sauf les yeux. Il se compose de deux voiles, un pour couvrir les cheveux et qui va couvrir le visage. -Le Tchador : Qui est un vêtement porté en extérieur. Il est fait d'un demi cercle de tissu, il est porté en châle où il n'y a pas d'ouverture sur les mains, il ne cache pas le visage. - La Burqa : Elle retrouve tout le visage et ne laisse qu'une grille au niveau des yeux. Selon les estimations officielles, le voile intégral est porté par 1900 femmes en France

aller je décidais de me rendre à l’église du village, je me mis dans le fond et priais pour qu’un miracle se produise. Ma prière fini je relevais donc ma tête et vu une vielle dame au cheveux d’un bond or jamais vu auparavant, elle portais un long châle de fourrure, elle me regardais avec tendresse pendant de longue minute avant de venir m’aborder. Elle me demandait ce que je faisais seule la veille de noël je lui expliquais donc que j’étais orpheline et que je m’étais enfuie de mon centre. Elle ne

nous renseigne sur le sentiment mais non pas l'apparence. On note aussi l'emploi du mot « palpitaient », on peut supposer que ce qui palpite est le cœur de Frédéric. Il est en état amoureux. Les objets qui entourent Mme Arnoux « le panier », « long châle ». Nous remarquons que les objets sont des objets ordinaires mais pour Fréderic, ils ne le sont pas. Ils deviennent des choses extraordinaires. Cependant on a l'impression que Frédéric veut se cacher. En effet, on a un champ lexical du masque « dissimuler »

Inde pour ses activités ; il passa en tout six ans de sa vie en prison. Adepte de la philosophie indienne, Gandhi vivait simplement, organisant un ashram qui était autosuffisant. Il faisait ses propres vêtements — le traditionnel dhoti indien et le châle, avec du coton filé avec un charkha (rouet) — et était végétarien. Il pratiquait de rigoureux jeûnes sur de longues périodes, pour s'auto-purifier mais aussi comme moyen de protestation.

Cependant la rêverie exotique que Frédéric développe au sujet de son origine (rêverie très romantique qui associe l’Espagne et les îles lointaines) l’inscrit dans une tonalité plus sensuelle: « sa peau brune« , « la séduction de sa taille« , voire « le châle à bandes violettes » que le jeune homme imagine envelopper Mme Arnoux (encore une fois « sa taille« , « ses pieds« , puis son corps tout entier) mettent en avant sa beauté physique. Quant à l’apparition de l’enfant et de sa nourrice, elle conforte

On reconnait chacune de ces classes sociales à sa tenue ou un accessoire : la ménagère avec son panier à provisions, l'ouvrier vêtu de son bleu de travail avec une clé à molette à la main, la jeune paysanne qui berce son bébé dans le giron de son châle, accompagnée d'un enfant qui a l'air d’être captivé par le paysage, un gringo élégamment vêtu et une jeune bourgeoise à la mode. Peut être est ce Frida, qui se représente elle-même en jeune fille à l'extrémité du banc. À côté d'elle, des personnages