Chale

anglaise, la silhouette féminine se simplifie : Le jour, on élimine les accessoires trop voyants pour ne conserver que l'essentiel, donnant à l'ensemble un aspect austère. Le buste étroit et busqué, une robe unie de couleur sombre, engoncée dans un châle-pèlerine, cachant son teint blafard sous une vaste capote, la femme à la mode s'efface désormais en société sous l'emprise du cant. On porte indifféremment des bandeaux plats ou des "anglaises", tire-bouchons de cheveux tombant sur les épaules. Le

est plus vaste que le ciel- la nuit était vaste, et maigrement meublée- le vent a frappé comme un homme fatigué- pour boucher une brèche- amusant, d’être un siècle- mars est le mois de l’attente-l’été a posé son chapeau tout simple- la honte est ce châle rouge- comme elles sont fragiles, les digues- contemplez ce petit monstre- pour raccommoder une foi en loques- un petit mot qui déborde- le frisson de fascination que laisse la musique- la rue était de verre- j’ai vu le vent qui l’habitait- on ne sait

a jamais eu sur Terre. Chacun d’entre nous crée sa propre réalité qui peut ensuite évoluer ou totalement changer à la suite d’une expérience. Nous avons par exemple une vision du temps relative qui évolue en même temps que notre âge et le « vieux châle » dont parle brièvement Emile Zola dans son roman La joie de vivre ne serait pas forcément perçu comme vieux pour tout le monde, en particulier pour les personnes très âgées. De plus, la réalité est impossible à retranscrire car elle est composée

pièce grâce à la précision de sa description à connotation péjorative dans la mesure où elle est basée sur un lexique de la misère, du manque et de la saleté « misérable chambre »l19, « un tiroir manquait »l20, « petite table graisseuse »l20, « un châle troué »l26, « un pantalon mangé par la boue »l27, « un paquet de reconnaissance du Mont-de- Piété », « les dernières nippes »l27 « lambeau » l16 « un pot à eau ébréché »l21 « chaussettes sales » l25. De plus cet espace est comme entravé : « un lit

Canton : division territoriale établie dans les domaines de la couronne. Caribou : mélange de vin et de whisky. Carrioler (se) : se promener. Chambranler : chanceler. Chanquier : chantier de bûcheron. Chanter le coq : chanter victoire. Chape : châle. Chars : train. Chignon de pain : gros morceau de pain. Claille : cheval de trait. Commune : pâturage commun. Companée : partenaire dans une danse. Compérage : cérémonie de baptême. Coppe : sou (de l'anglais copper, billon). Cordeaux : guides

tête), portés par les hommes pour la prière du matin en semaine symbolisent le complément de l’action (téfillines du bras) et de la pensée (téfillines de la tête) La tête, couverte par la kippa, symbolise l’humilité de l’être humain devant YHWH et le châle de prière bordé de franges (talith) rappelle aux juifs leur engagement corps et âme envers YHWH. Lors des fêtes, le corps est aussi sollicité pour accompagner des actes rituels : allumer et regarder les lumières de Hannouka, se déguiser à Pourim

chevilles, qu'elle porte aussi pour rester chez elle. Seules les femmes mariées portent une ample robe appelée stola resserrée à la taille tombant jusqu’au pieds. Pour sortir et se protéger du soleil, elle se couvre la tête avec une palla sorte de grand châle couvrant les épaules et descendant jusqu'à la taille. Coiffures[modifier] Les coiffures sont très importantes pour les femmes, elles se font coiffer par leurs esclaves personnels. Ce sont des peignes en ivoire qui servent à les coiffer

constitué d'une longue bande de tissus plié pour obtenir un énorme nœud qui retombe derrière la tête. Le reste du costume comprend un chemisier blanc en broderie anglaise, une jupe avec un corset blanc et un plastron, un tablier blanc brodé, un châle rouge, un panty et un jupon. 3) La mode et l'émancipation des femmes dans les années 1920 La femme ayant passé des siècles à porter des vêtements douloureux et inconfortables, comme le corset ou la robe crinoline, pour respecter

tableau néo-classique rappelait aussi l’antique, suite à Pompéi et Herculanum. Madame Récamier, portrait fait par David, lancement de la mode de l’antiqueIngre peintre de Napoléon, a vécu très longtemps permet de suivre la mode, Madame rivière porte le châle, accessoire à la mode. Ils arrivent de l’orient puis seront fabriqué en France. Napoléon a poussé un réveil économique. L’homme continuera un temps de porter la culotte, on retrouve néanmoins la veste courte, le haut de forme, le début du gilet. Il

jeune, habillé de bleu et chaussé de deux bottes semble vouloir avancer. Sa main gauche retient une feuille et sa main droite s'appuie sur le bras d'une femme située à l'arrière. Cette femme est assise sur une chaise. Elle est blonde, et vêtue d'un châle bleu clair relevé d'une petite pierre précieuse, et d'un large pantalon beige. Ses cheveux sont attachés, et son visage regarde vers la droite du tableau. Son bras gauche se pose sur sa jambe droite. Une fillette qui ressemble encore à un bébé, a