Chambre Commerciale 24 Mars 1998

10 CE, 21 juin 1895, Cames.......................................................................................................... 11 TC, 9 décembre 1899, Association Syndicale du Canal de Gignac ......................................... 12 CE, 29 mars 1901, Casanova ................................................................................................... 13 CE 10 janvier 1902 Compagnie Nouvelle de Gaz de Deville-lès-Rouen ................................ 14 CE, 18 avril 1902, Commune de

des sociétés.............................................................................. p. 14 Décret n° 86-485 du 14 mars 1986 relatif aux mesure s de publicité afférentes à la location-gérance d’un fonds de commerce ou d’un établissement artisanal........................................................................... p. 15 Article 7 de la loi n° 98-1194 du 23 décembre 1998 de financement de la sécurité sociale pour 1999.......................................................................

_____________________________________________________________________________  I. Les sources internationales  ­  CE,  Ass.,  20  oct  1989,  Nicolo  (GAJA)  ­  CE  Ass,  29  juin  1990,  GISTI  (GAJA)  ­  CE  Ass.,  3  juillet 1996, Koné (GAJA) ­ CE Ass., 30 oct 1998, Sarran (GAJA)  ­ CC 74­54 DC du 15 janvier 1975, Loi relative à l’interruption volontaire de grossesse. ­ CC,  n°98­408 DC du 22 janvier 1999, Statut de la Cour Pénale internationale ­ CE, Ass, 30 mai  1952, Dame Kirkwood ­ CE, 21 décembre 1990, Confédération nationale des associations de 

légitime a priori ? L'accumulation des normes ou pseudo-normes affectant particulièrement ce domaine essentiel de l'activité justifie, semble-t-il, l'entreprise : clarifier, simplifier, communiquer, insérer, etc. Reste l'essentiel : savoir si le droit commercial se plie aisément à la codification, quelle qu'en soit la forme. L'expérience du passé ne peut qu'inciter à la circonspection. Dès l'époque napoléonienne, on s'en était bien rendu compte. Ni dans sa genèse, ni dans son contenu, le code de commerce

d’état 23 octobre 1998 « EDF » : le conseil d’état considère que les biens appartenant a une personne public et spécialement aménagé a cet effet ne fond pas parti du domaine public des lors que la loi a soumis leur gestion à des règles de droit privé. Ainsi le conseil d’état a considéré que l’usine d’Osmonerie et les droits qui lui sont attachés propriété d’EDF affecté au service public de l’électricité n’est pas une dépendance du domaine public d’EDF dans la mesure ou l’art 24 de la loi du 8 avril

acquéreur demande la régularisation de l'acte de la maison individuelle qui a été construite. Le vendeur refuse alléguant une nullité du contrat résultant de l’absence de limite pour le paiement qui est constitutive d'une condition potestative. La 3ème chambre estime que la convention n'est pas affecté d'une condition purement potestative mais d'un terme même s’il n'y a pas de date de paiement. C'est un terme à échéance incertaine pouvant être fixé judiciairement. 5. Le terme indéterminé. Il peut être

bail soit agrémenté de différentes clauses visant à s'assurer que celui-ci use de la chose de manière paisible tout en respectant la destination. Il en est ainsi de la clause d'habitation bourgeoise qui fait obstacle à l'exercice d'une activité commerciale ou artisanale, voire de toute profession. Il en va de même de la clause d'habitation personnelle contraignant le preneur à une occupation strictement personnelle des locaux loués. Si la loi ne prohibe que la cession et la sous-location, le contrat

défaillant ou non , peut demander réparation à son cocontractant du préjudice résultant du manquement de celui-ci à son obligation de vigilance , c'est-à-dire de prudence et de discernement , dans le cadre d’une opération de crédit [15]. La chambre commerciale de la Cour de cassation française s’est également régulièrement prononcée en faveur de la possibilité de poursuivre la responsabilité contractuelle de l’établissement de crédit, bien qu’en règle générale le demandeur n’ait pas obtenu satisfaction

préalable è lettre recommandée avec accusé de réception ou remise en main propre avec décharge - notification de la sanction par écrit (prescription de 2 mois). B - LA DUREE DU TRAVAIL 1982 : passage aux 39 heures + 5 semaines de congés payés. 1998 et 2000 (lois Aubry) : Passage aux 35 heures 2003 / 2005 / 2008 : Assouplissement du régime Aujourd’hui : durée légale de 35 heures (ou 1607 h/an) sauf dérogation conventionnelle Temps de travail effectif = temps où le salarié est à la disposition

néologie sous forme de listes au Journal officiel du : • 2 décembre 1997 • 14 août 1998 • 14 septembre 1999 • 12 mai 2000 • 22 septembre 2000 • 28 juillet 2001 • 26 mars 2004 • 24 avril 2004 • 30 janvier 2005 • 14 mai 2005 • 26 octobre 2006 • 28 décembre 2006 • 7 juin 2007 • 12 juin 2007 • 7 septembre 2007 • 19 novembre 2008 • 19 mai 2009 • 19 janvier 2010 • 2 mars 2010 • 27 juillet 2010 • 18 mars 2011 • 13 mai 2012 • 17 juin 2012 • 8 septembre 2012 3 • Communiqué « Un