Chambre Criminelle 20 Janvier 2009

objet. Définition du Droit pénal : Le Droit pénal général constitue l’ensemble des règles juridiques qui organisent la réaction de l’État vis à vie des infractions et des délinquants. Une précaution sémantique : on entendra aussi parler du Droit criminel. C’est un synonyme. Pour des raisons de connotations politiques et péjoratives, nous utiliserons « Droit pénal ». Chapitre 1e : L’étendue du Droit pénal général Le Droit pénal général étudie les textes à valeur répressives qui déterminent un

Bourbon succède à Valois Signature de l’édit de Nantes Assassinat du roi Extension du nombre des prévôtaux 1585 : incendie criminel 1602 : contrebande, braconnage 1610 : séditions Louis XIII (1610-1643) Richelieu aux commandes de l’état Naissance de la presse écrite Louis IV (1643-1715) Troubles de la Fronde Chute de N. Fouquet Révocation de l’édit de Nantes Ordonnance criminelle de 1670 Louis XV (1715-1774) Faillite de Lau Guerre de 7 ans La bête du Gévaudan Ordonnance de 1720 Création des brigades

(loi du 13 juillet 65) - La filiation (3 janvier 1972) b) De 1985 à 1996 Il y a eu un temps d’arrêt car il y a eu un changement de ministre. Loi du 23 décembre 85 à égalité entre le mari et la femme pour la gestion des biens. Loi du 22 juillet 87 à elle a consacré l’égalité des parents dans la relation avec leurs enfants. Avant 87, les parents mariés et non mariés n’avaient pas les mêmes droits. 3. Le troisième mouvement de réforme : 1999-2009 a) Le contenu des réformes ·

au lieu de 3 ans pour les violences ayant entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de 8 jours (article 222-12 du code pénal) * 15 ans de réclusion criminelle au lieu de 10 ans pour les violences ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente (article 222-10 du code pénal) * 20 ans de réclusion criminelle au lieu de 15 ans pour les violences ayant donné la mort sans intention de la donner (article 222-8 du code pénal), - Cette même loi protège la liberté sexuelle

CONCOURS IPAG 2009 ÉPREUVE DE RAISONNEMENT LOGIQUE ET EXPLOITATION DE DONNÉES QUANTITATIVES Durée : 2h00 Lisez attentivement les instructions suivantes avant de commencer : Pour chaque question de cette épreuve, vous seront proposées au plus 5 réponses (réponse A, réponse B, réponse C, réponse D, réponse E). Il y a une réponse juste et une seule par question, 60 au total. Vous pouvez vous abstenir de répondre à une question. Si vous indiquez plus d’une réponse par question, alors votre réponse

=> au final ce sera le salarié en bout de chaine qui sera responsable, alors qu’il n’a peut-être pas pris de décision. Chapitre 2 : Les modes de participation criminelle Il y a 2 modes de participation criminelle : l’auteur (l’action) et le complice (la complicité). Donc dans les cas pratiques, il faut envisager comment se situe la personne par rapport à cette infraction (auteur ou complice). Il faut normalement commencer dans les

les action onusiennes : les plaignants estimaient que les plaignants devaient exprimer pourquoi car l’ONU a effectué un tri. Les USA et pays bas doivent avoir leur part de responsabilité : demande de 25000 euros par survivant. Concernant les criminels de guerre poursuivis par le TPIY : (cf site du TPIY). On prendra comme exemple : général Serbe Krstic accusé d’avoir mené l’action contre Trebrenica avc le gal Wladich : il a été condamné à 46 ans de prison pour génocide et autres crimes de guerre

justiciable dans le contrôle de constitutionnalité Chapitre III : Les Chambres extraordinaires et la Cour pénale internationale A – Les similitudes entre les Chambres extraordinaires et la Cour pénale internationale 1) Qualification des infractions a) b) c) Crime de génocide Crimes contre l’humanité Crimes de guerre 15 15 17 17 18 19 19 20 21 21 21 22 23 2) L’imprescriptibilité des crimes B –Différences fondamentales entre Chambres extraordinaires et Cour pénale internationale 1) Appartenance de

La tentative n’est donc pas punissable. La surévaluation est consommée le jour où elle sera définitive, ie au moment de l’assemblée générale constitutive ou de la signature des statuts. (on ne parle plus d’appel public à l’épargne depuis le 22 janvier 2009). La peine est de 5ans de prison pour toutes les formes de sociétés, plus 9k€ d’amende pour les SA et 375k€ pour les SARL. Section 2 : la répression indirecte de la constitution irrégulière de la société commerciale La constitution comporte

Aynès et Stoffel : Les obligations, éditions Defrénois, 2011 Professeurs Flour, Aubert et Savaux : Les obligations, tome 2 : Le fait juridique, éditions Sirey, 2011 Professeurs Terré, Simler et Lequette : Droit civil : les obligations, éditions Dalloz, 2009 Définition : La responsabilité : peut se définir comme l'obligation qui incombe à un individu de rendre compte de ses actes (latin respondere : répondre de ses actes). La théorie juridique de la responsabilité présente deux intérêts : - théorique/philosophique