Chambre Criminelle 23 Janvier 1997

la poursuite des infractions relatives à la compétence, c'est-à-dire à la composition et le fonctionnement des juridictions répressives et à la procédure au sens strict, c'est-à-dire aux règles régissant le déroulement du procès. (Arrêt de la Chambre Criminelle du 8/12/2004 qui vient rappeler l’application de ce principe en matière de compétence des juridictions de proximité). Paragraphe 2 : Principe de l’interprétation extensive des lois de procédure Ce principe s’oppose au principe d’interprétation

répressifs de sa demande en réparation, elle déclenche automatiquement l’action publique. 3- La phase judiciaire. Pour les procès importants, c'est-à-dire pour les infractions les plus graves (les crimes, punis d’au moins 10 ans de réclusion criminelle), et lorsque l’affaire est complexe, qu’elle n’a pas été suffisamment élucidée pour les infractions de moyenne gravité (les délits), la phase judiciaire commence par une instruction « préparatoire », c'est-à-dire une recherche de preuves à charge

responsabilités : Lorsqu’ il existe un contrat entre deux personnes et que le dommage est né de l’inexécution de ce contrat, on est obligé d’actionner la responsabilité contractuelle. Ce principe a été précisé dans l’Arrêt Cour de cassation, 11 janvier 1922 Pelletier vs Goderet : les articles 1382 et suivants (responsabilité délictuelle) sont sans application lorsqu’il s’agit d’une faute commise dans l’exécution d’une obligation résultant d’un contrat. Arrêt 1976 Berëzovski = alignement du Conseil

................................. 17 Section 2 - Les textes européens....................................................................................... 20 TITRE 2 - L’EXERCICE DES LIBERTES ................................................... 23 CHAPITRE 1 - LES CONDITIONS D’EXERCICE DES LIBERTES .............................. 24 Section 1 - L’encadrement des libertés ........................................................................... 24 Section 2 - Les limites des libertés ......

dommages 3.2.1 -Excess of loss (excédent de sinistres) 3.2.2- Agregate excess of loss DEUXIEME PARTIE : ASSURANCE TRANSPORT INTRODUCTION  1- FONDEMENT DE L’OBLIGATION D’ASSURANCE MARITIME EN COTE D’IVOIRE - Circulaire n° 848 du 13 / 05 / 1997 - Circulaire n°1083 du 01 / 02 / 2002 2- HISTORIQUE DE L’ASSURANCE MARITIME   CHAPITRE PREMIER : RISQUES EN ASSURANCE DES FACULTES MARITIMES 1- Définition 2- Typologie des risques 2.1- Risques ordinaires de transport 2.2- Risques

engendre la décomposition du Royaume. - La deuxième Yougoslavie fut proclamée par Tito le 29 novembre 1945 sous le nom de République populaire fédérative de Yougoslavie avant de devenir la République socialiste fédérative de Yougoslavie en Janvier 1946. C’est la dislocation de cette Yougoslavie qui va être au cœur de notre étude car elle a été l’un des grands problèmes du 20e siècle, mettant ainsi en lumière le problème des nationalités. - La troisième Yougoslavie est formée en 1992

est « impuissante à soustraire des travailleurs au statut social découlant nécessairement des conditions d’accomplissement de leur tâche ». Deux ans plus tard, la chambre criminelle s’aligne à cette jurisprudence avec son arrêt Guégan (Cass. crim. 29 octobre 1985). Nombreux sont aussi les arrêts rendus dans le même sens par la chambre sociale, en effet elle affirme que « l’existence d’une relation de travail ne dépend ni de la volonté exprimée par les parties ni de la dénomination qu’elles ont donné

La royauté va accroitre les pouvoirs des baillis et des sénéchaux qui sont des officiers de l’administration royale. C’est à partir de cette expérience qu’un ministère public est créé. Ordonnance de Blois 1579 et Coqueret et la grande ordonnance criminelle en 1670 (œuvre de Colbert) pour règlementer le déroulement du procès pénal. Le procureur du roi (dépendant du juge car c’est le juge qui dispose le pouvoir de mettre en mouvement la justice) pourra effectuer la dénonciation des crimes aux juges

territoires d'outre-mer, qu'elle a force de loi au même | |titre que la Convention elle-même » et que la Convention comme son annexe « sont couramment appliquées en AOF par les compagnies de navigation aérienne, la | |Police, la Douane ». La chambre criminelle de la Cour de cassation a par la suite confirmé clairement ce raisonnement en rejetant le pourvoi. A propos de la| |contestation, par l'administration des Douanes, de l'application en métropole de l'annexe 9, toujours non publiée, la cour d'appel

la soumission obligatoire de tous les établissements à une procédure d’évaluation, - l’instauration d’une chaîne entre la planification, l’autorisation et le Financement visant à instaurer une concurrence entre les établissements. La loi du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale vise à rendre l’usager acteur de son projet de vie en favorisant le respect de ses droits. Cette nouvelle place centrale de l’usager a marqué le passage d’une logique assistancielle à une logique de