Chambre Criminelle De La Cour De Cassation 12 Décembre 1984

........................................................... 9 CE, 13 décembre 1889, Cadot.................................................................................................. 10 CE, 21 juin 1895, Cames.......................................................................................................... 11 TC, 9 décembre 1899, Association Syndicale du Canal de Gignac ......................................... 12 CE, 29 mars 1901, Casanova ..........................................

international public réglemente les rapports des États entre eux, ce qui est caractérisé par les conventions, les traités internationaux, la coutume ou les principes internationaux reconnus par les nations civilisés. Exemples de grandes institutions : la Cour Internationale de Justice de La Haye, le Conseil de Sécurité de l'ONU, ... Les moyens de sanctions ne sont parfois pas efficaces, mais des consensus se fondent néanmoins pour le respect de certaines règles internationales. Le droit international

d’un Etat déterminé à une situation qui comporte un élément qui lui est étranger : régit les relation entre des personnes de nationalités différentes). Les traités internationaux ne visent que les Etats signataires. Ex : convention de Kyoto (2004) Cour internationale de justice de La Haye réprime les crimes contre l’humanité. II. Droit public et droit privé Division classique qui remonte au droit romain. Le droit public concerne la collectivité, le droit privé l’individu. Le droit public est l’ensemble

mais qu’il existe des textes qui lui font référence. La TGI a été confirmé par la Cour de Bordeaux (19 avril 2005). L’affaire est allée en Cour de Cassation (1ère chambre civile du 13 mars 2007), elle confirme elle aussi que le mariage n’est pas possible. Le mariage était réservé à l’homme et la femme. Retour devant la Cour Européenne des droits de l’Homme par des autrichiens. 24 juin 2012, discrimination. La Cour E a considéré qu’il appartient à chaque état de choisir d’autoriser ou non le mariage

la personnalité juridique. Cela va poser des problèmes quant à sa protection car s'il n'est pas une personne il est automatiquement une chose. Le problème est évoqué par le Comité Consultatif National d'Ethique qui a rendu un premier avis le 23 mai 1984; il n'a pas répondu à la question mais il a décidé que l'embryon ou le foetus est une personne humaine potentielle dont le respect s'impose. Il a fallu attendre que le Conseil Constitutionnel statue en matière de loi bioéthique le 27 juillet 1994 mais

institutions, 35 - 68 § 1 - Régime des langues de la Commission, 35 - 37 § 2 - Régime des langues du Conseil, 38 - 40 § 3 - Régime des langues du Parlement européen, 41 - 47 § 4 - Régime des langues de la Cour de justice et du Tribunal de première instance, 48 - 52 § 5 - Régime des langues de la Cour des comptes, 53 § 6 - Régime des langues concernant l'Office européen des brevets de Munich, 54 - 63 § 7 - Régime des langues concernant l'OHMI, 64 - 66 § 8 - Régime linguistique des autres entités communautaires

nucléaire . Par exemple, en matière successorale on ne va plus hériter que jusqu’au 6 -ème degrés, donc jusqu’aux cousins issue de germains, sauf si le testament attribut la fortune a une personne désigné. Alors qu’avant c’était que jusqu’au 12 -ème degrés. Par ailleurs, on observe une augmentation des droits du conjoint survivant . Cependant, il faut prendre en compte les nouveaux schémas familiaux . Avant, lorsqu’on

extension du délit d’abus de confiance aux biens incorporels a longtemps été discutée Néanmoins, il y a 2 arrêts qui sont venus clore le débat en confirmant l’extension du délit aux biens incorporels : Chambre criminelle, 30 mai 1996, Tuffier, rendu sous l’empire du code de 1810 dans lequel la Cour juge que l’inscription en compte de valeur mobilière incorporelle constitue un écrit qui entre dans le champ d’application du délit d’abus de confiance La CC se prononce en 1996 sous l’empire d’un ancien

droits des parties ». Aucune des parties dans le procès pénal ne doit être avantagée par rapport à l’autre. II. Les sources internationales du droit à un procès équitable Cf. article 6 CESDH, tel que complété par les protocoles additionnels et la jp Cour EDH. Cf. article 14 PIDCP est une source d’origine onusienne, qui consacre un droit au procès équitable. C’est une norme exécutoire en droit national, car ratifiée par la France. Section 2 : Les garanties issues du droit à un procès équitable Les

l’histoire constitutionnelle que les constituants français ont énormément varié dans le choix du type de régime à mettre en oeuvre. En effet, quatre constitutions ont bâti un régime de confusion des pouvoirs au profit d’un homme (celles du 13 décembre 1799 ou 22 frimaire an VIII, du 4 août 1802 ou 16 thermidor an X, du 18 mai 1804 ou 28 floréal an XII et celle du 14 janvier 1852). Il s’agit de constitutions fondées autour ou pour un homme : Napoléon Bonaparte s’agissant des trois premières