Chambre étoilée

précède celle de l'industrie, l'art désigne l'activité produite en générale, de manière à ce que l'artiste et l'artisan ne peuvent être facilement distingués. La technique est différente pour chaque artiste car pour Van Gogh dans son tableau la nuit étoilée du Rhône, il a utilisé un couteau ce qui donne du relief et donc de la perspective avec ses couleurs froides, essentiellement dans le bleu. Par conséquent le savoir- faire est important car grâce à lui, on peut identifier une époque, apprécier

La nuit étoilée sur le Rhône de Vincent Van Gogh Ce tableau de Vincent Van Gogh est exposé au Musée d’Orsay. Moins connu que « Ciel étoilé » qui est exposé au MoMa à New York mais cependant il dégage du tableau une très grande beauté, il est lumineux. Par ailleurs, ayant aussi pu voir « Ciel étoilé », je préfère celui-ci, en effet on a un sentiment de sérénité en le regardant alors que dans Ciel étoilé, on ressent le trouble de Van Gogh. Van Gogh après être arrivé à Arles se mis en tête de

déléguée du destinateur de la /Mort/ est appréhendée par le sujet-observateur non seulement comme de l’Eau, mais encore comme un délégué du « Feu solaire », figure cosmologique dans laquelle Greimas avait identifié le destinateur de la /Vie/12. La nuit étoilée, réunissant secrètement les deux destinateurs mortels « Ciel » et « Terre », réussit ainsi à se faire passer aux yeux du sujet pour le délégué des deux destinateurs vitaux, l’ « Eau » et le « Feu solaire ». Notons, enfin, que le soleil se caractérise

multiplie les diverses procédures d'exécution. À la fin des années 1990, l'œuvre se radicalise en une succession de gestes reliés à l'objet (Accumulations en Relation, Casca-des, Sandwiches Combo). Il montre un intérêt renouvelé pour la peinture (La Nuit étoilée, Nec Mergitur). Une grande rétrospective a lieu à la Galerie nationale du Jeu de Paume de janvier à avril 1998, exposition qui réunit plus de cent œuvres (de 1959 à 1997). La rétrospective voyage ensuite jusqu'en 2001 en Allemagne, Portugal

prêtent à créer une véritable musique alternative qui se déploie bien au-dessus du standard et de l’habituel. Une musique aussi en mesure de tisser un lien fort ou plutôt une symbiose entre l’artiste et le public. Et ce n’est que dans la nuit étoilée du 23 juin que l’odyssée prend fin avec Awalé et Tinariwen. Rien de mieux que ces deux groupes d’origine et de style différents pour clôturer ce festival. Comme pour dire une fois de plus que l’heure est à la diversité. Et on pourrait dire de ce

nuit étoilée apparu en 1888. [pic] Musée D’Orsay Sur cette peinture on voit, un ciel d’un bleu- marine éclatant recouvert d’étoiles scintillantes. Au loin, on aperçoit les lumières à gaz de la ville brillent d'un orange intense et se reflètent dans l'eau. Sur le devant du tableau, il y a deux petits bateaux accompagnés d’un couple qui les contemple. J’ai choisi cette peinture appartenant au mouvement Impressionniste car, « le soir » c’est d’une manière la nuit parfois étoilée. Les

rayonnement. Les impressionnistes ne se préoccupaient ainsi pas de nous donner les détails, préférant à ceux-ci l’impression elle-même. La part issue de la sensation de l’artiste est de ce fait dominante. C’est le cas dans son tableau : La nuit étoilée 6 

ce moment entreposé au musée d'Orsay à Paris. Dès son arrivée à Arles, le 8 février 1888, la représentation des "effets de nuit" constitue une préoccupation constante pour Van Gogh. En avril 1888, il écrit à son frère Théo : "Il me faut une nuit étoilée avec des cyprès ou, peut-être, au-dessus d'un champ de blé mur". En juin, c'est au peintre Emile Bernard qu'il confie : "Mais quand donc ferai-je le Ciel étoilé, ce tableau qui, toujours, me préoccupe" et, en septembre, dans une lettre à sa sœur,

lumière se reflétant sur l’eau. Mais il est aussi possible de ressentir la grande colère de l'auteur qui l’envahit et qu’il exprime. Il en veut au temps qui passe de faire disparaître toutes ces beautés de la nature. Illustré par le tableau "La nuit étoilée" de Vincent Van Gogh. Les étoiles se reflétant sur le lac donnent un sentiment de prolongation de l'espace et du temps. Puis vient le poème de «L'Horloge » de Charles Baudelaire, dans ce poème l'auteur nous montre la vitesse du temps qui s'écoule

d’Otto Dix : section de mitrailleurs à l’assaut (1916), assaut des troupes de choc sous les gaz (1924) et cadavres dans les barbelés (1924). Voici d’autres œuvres du courant expressionniste : le cri d’Edvard Munch (fait entre 1893 et 1910), la nuit étoilée de Vincent Van Gogh (1889) et femme à la veste verte d’August Macke (1913).