Champ Lexicale

vie des Blancs et celui des Noirs. a – Différence dans l’habitat : lexique de l’opposition entre « la maison » des Blancs et « des huttes » qui connote la précarité du matériau chez les asservis. b – Inégalités sociales traduites par : - Le champ lexical de la servitude « élevaient nos enfants », « dressaient nos tables… », « vidaient nos pots de chambre, nous appelaient Baas et Miestes » opposé à celui du dénuement « huttes de boue séchée », « venaient à la porte de la cuisine », « vieux vêtements

secondaire à considéré. En effet, il y a la jeunesse, l’innocence. L’homme est tout juste un adolescent tandis que le chevreuil lui sort enfin de sa forêt pour la première fois. Ils ne connaissent aucunement ce qu’ils les attendent. Les mots du champ lexical sont très simples. L’un est le mot << libre>>, au vers numéro 8 et l’autre est << espoir>>, au vers numéro 12. Dans les deux cas, ils deviennent libre de leurs actions, de ce qu’ils peuvent ou ne pas faire. Ils ont tous

vers 685 "Ja n'en soiez desconfortez". L'auteur utilise ce type de verbes parce qu'il raconte ce qui est arrivé à Brun l'ours, comme Renart l'a trompé et comme les paysans l'ont maltraité et ont jugé. Au niveau du lexique, l'auteur utilise le champ lexical de la guerre ou de la dispute. Nous pouvons trouver des verbes par exemple comme, battre, se défendre, blesser, attaquer... Il y a aussi quelques substantifs mis en relation avec la guerre, comme flèches, pierres, traîtrise... Et aussi quelques

une dimension litanique à la déploration de la condition de l’aveugle ; dimension litanique accentuée par la lenteur et la majesté du rythme qui découlent de l’usage de l’alexandrin et de la parataxe. ( Le premier vers met également en place un champ lexical de la « luminosité ». Cf. « rayons » et « lumières » (prolongement au vers 5 « ténèbres premières. D’où l’opposition « lumière pour le commun des mortels/obscurité pour les aveugles). ( Au vers 2, le pathétique passe par l’hyperbole « vingt mille

le temps.   B. (2e argument secondaire) le temps est une puissance inexorable   1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire) vaste champ lexical du temps.   a) « Jours », v.6, « Âges » v.5, « Année » v.7   b) (commentaire) souligne l’omniprésence du temps.   2. (2e preuve : procédé + citation + commentaire) Double champ lexical du bonheur et du malheur.   a) « Attentif » v.21, « seul » v.9, « bonheur » v.40.   b) (commentaire) relève d’insensibilité, l’indifférence

Développement : 1ère idée principale : La souffrance du héros. 1ère idée secondaire : L’incomplet dans la vie du héros semble le faire souffrir Explication : L’idée du manque est renforcée par le champ lexical et c’est ce manque qui fait souffrir le héros. Illustration : Champ lexical dans la comparaison (l. 3 à 5) 2e idée secondaire : Le héros semble souffrir car il fait plusieurs fois allusion à sa mort qu’il implore. Explication : L’appel de la mort dans le titre de l’extrait. Cet

rendent ce poème exotique et tourné vers lʼOrient. Finalement, nous démontrerons la tragique réalité du malheur. Tout dʼabord, ce poème évoque lʼhistoire dʼune sultane à sa fenêtre, intriguée par un bruit venant de la mer. En effet, on retrouve le champs lexical de lʼouïe, comme par exemple : «vibrant» (vers 5), «la guitare» (vers 5), «bruit sourd» (vers 6) ou encore «les sourds échos» (vers 6) et celui de la mer qui contient, notamment les mots suivants: «vague bercé» (vers 14) ou encore «mer» (vers

personnage de l'Anderer et des villageois. Cette cérémonie d'accueil est un événement inhabituel qui marque une opposition entre l'Anderer et le groupe des villageois. Si l'évènement semble très important aux yeux des villageois. Le recours au champ lexical du mouvement avec des thermes tels quel : « onde, agitées, bouger, s'écartent, mouvement, avançait » indique qu'il y a une agitation dans le village, que quelque chose d'inhabituel va se produire, il y a un véritable bouleversement dans le village

poème très particulier contient une foule de figures de styles et recèle de nombreux messages que tous peut interpréter différemment. Pour mieux comprendre ce poème, il faut évoquer la panoplie de figures relatives au thème du poème ainsi que ces champs lexicaux et le message qui semble ressortir de celui-ci. Pour commencer, ce poème, d'une quinzaine de vers, comporte près d'une quarantaine de figures de styles variés, qui peuvent changer totalement la perception que nous avons d'un vers ou du groupe

heures" car nous nous mettons tout de suite dans le contexte d'une rue très calme, car à six heures du matin, il n'y a pas beaucoup de personnes qui se promènent. Nous pouvons également relever le champ lexical de la sérénité "calme" (v.29) ; "la rue est vide" (v.10) ; "silence" (v.10). Ce champ lexical nous donne l'impression de solitude éprouvée par le poète. Le décor construit autour de la bicyclette est celui d'un monde imaginaire, comme dans un rêve où les éléments défilent les uns après les