Champignon aquatique

biodiversité a été définie par la Convention sur la Diversité Biologique au Sommet de Rio en 1992 comme étant : "La variabilité des organismes vivants de toute origine y compris, entre autres, les écosystèmes terrestres, marins et autres écosystèmes aquatiques et les complexes écologiques dont ils font partie ; cela comprend la diversité au sein des espèces et entre espèces ainsi que celle des écosystèmes." La biodiversité est partout, aussi bien sur terre que dans l’eau. Elle comprend tous les organismes

plusieurs décennies. En Europe, la directive 2000/60/CE du 23 octobre 2000 [1] est le cadre pour le domaine de l’eau. Il rappelle et renforce les orientations communautaires relatives au bon état des écosystèmes aquatiques. Son article 16 vise à renforcer la protection de l'environnement aquatique par des mesures spécifiques conçues pour réduire progressivement les rejets, émissions et pertes de substances prioritaires, et l'arrêt ou la suppression progressive des rejets, émissions et pertes de substances

l’affecter en altérant les objets physiques qu’il possède ou les possibilités récréatives du milieu. Définition de la pollution de l’eau : La pollution de l'eau est une altération qui rend son utilisation dangereuse et perturbe l'écosystème aquatique. Elle peut concerner les eaux superficielles (rivières, plans d'eau) et/ou les eaux souterraines. II. Différents polluants de l’eau : 1. La pollution chimique |POLLUANTS |EXEMPLE

plusieurs décennies. En Europe, la directive 2000/60/CE du 23 octobre 2000 1 est le cadre pour le domaine de l’eau. Il rappelle et renforce les orientations communautaires relatives au bon état des écosystèmes aquatiques. Son article 16 vise à renforcer la protection de l'environnement aquatique par des mesures spécifiques conçues pour réduire progressivement les rejets, émissions et pertes de substances prioritaires, et l'arrêt ou la suppression progressive des rejets, émissions et pertes de substances

L’écologie est introduite dans les programmes scolaires. II/Clarification des concepts : définitions de base : Ecologie : L’écologie au sens strict, est la science qui étudie : | Les conditions d’existence des êtres vivants (animaux, végétaux, champignons, et microscopiques) Les interactions et relations existant entre les êtres vivants Les interactions entre les êtres vivants et leur milieu. * L'écologie, au sens large, désigne le domaine de réflexion qui prend pour objet l'étude des interactions

agricoles, d'industries | |  | |agro-alimentaires, Papeteries | |4 Microbiologique |Bactéries, virus, champignons |Effluents urbains, élevages, secteur | | | |agro-alimentaire | | 

l’abandon". Ecosystème : unité écologique de base englobant tous les éléments d’un milieu (?) donné ainsi que les relations des organismes animaux et végétaux entre eux et avec les autres éléments du milieu considéré (par exemple, écosystème aquatique, écosystème montagnard,…). Ecotoxicologie : étude des conséquences toxiques différées de la contamination de l’environnement par des substances chimiques persistantes. Effet œstrogénique : effet semblable à celui des hormones œstrogènes

Comprend les petits végétaux à tige mou, de hauteur entre 1m et 5cm comme les herbesStrate MuscinaleComprend les petites plantes de hauteur inférieure à 5 cm comme les champignons Strate SouterraineComprend des structures végétales souterraines comme les racines 5. Les techniques pour étudier un milieu aquatique exemple : la Daya de sidi BoughabaDaya Sidi Boughaba se situe à l’ouest de Mehdia, et s’étend sur 200 hectares. On y trouve une multitude d’espèces animales et végétales

milliards d'années. Tout les êtres vivants animaux, végétaux ect... ont donc une origine commune. Darwin était le premier à évoquer la théorie de l'évolution, cette théorie ci dessus. Toutes les especes s'adaptent à leur milieu (terrestre, aquatique ..) et quand ils ne s'adaptent pas ces espéces disparaissent : La séléction naturelle. La hierarchie du monde vivant : La classification philogenetique basé sur l'étude de l'ADN. Les trois domaines : Les eubacteries, les archées, les

déroulement des cycles biogéochimiques (notamment des éléments nutritifs), le devenir des polluants organiques et métalliques du sol (fonction de filtre et de réacteur biologique) et le transfert de ces polluants dans les chaînes trophiques terrestres et aquatiques, le fonctionnement plus global des écosystèmes terrestres (ex : symbioses racinaires), l’émission/séquestration de gaz à effet de serre (N2O, CO2, CH4). en lien avec le Gis Sol, www.gissol.fr Ces fonctions, connues depuis longtemps, sont réalisées